Le temps qui reste

[Scootie]

Il est parfois des sidib qui, de entre monsieur singe et mme. gueunon font que les supplices du soleil quand la neige tombe, même un peu sinon beaucoup, vous brûle la peau rafraîchissent les chevilles qui gonflent avec ou sans pommade d'un fastum gel qui fond et refont une bonne espèce de douleur extatique même d'un tendon d'achille ennivré d'une radio irm qui se ligue à mont et que quand même aussi en aval et ça lame mer si et ........ uniquement si

[nedjmala]

Salam,

et Scootie ressurgit,......

Salam, merci...

[Megane]

Bonjour SidiB,


Je ne connaissais pas du tout.

Je ne trouve pas ca triste, c'est juste la vie, l'élan de vie qui est en chacun d'entre nous.

En tout cas j'ai adoré, merci!

[Aloha]

Hello mon ami Sidib ! Hello Megane

Je sui un peu triste car mon ordinateur à lâché je crois j'écris mais je ne vois pas ce que j'écris très flou je crois que c'est l'écran !ou de l'électronics ;;;

En tout les cas j'ai passé une très belle journée avec des amis algériens merci Sidib ...

[Sidib]

Scootiiiiiiiiiiie!!!!

Il est parfois des sidib qui, de entre monsieur singe et mme. gueunon font que les supplices du soleil quand la neige tombe, même un peu sinon beaucoup, vous brûle la peau rafraîchissent les chevilles qui gonflent avec ou sans pommade d'un fastum gel qui fond et refont une bonne espèce de douleur extatique même d'un tendon d'achille ennivré d'une radio irm qui se ligue à mont et que quand même aussi en aval et ça lame mer si et ........ uniquement si

A la lecture de ton post, je suis sûr que certains diraient que c'est philosophique ou artistique! Quant à moi, ce qui me vient à la tête est de reprendre ce qu'a dit "8adak": Je vous ai compris!

Megane: "Un élan de vie"! Tout à fait, sauf que certains ne l'ont pas.

Aloha: "Heureux qui comme ...". Je suis très content pour cette rencontre, mon ami.

[Aloha]

Merci Sidib ! Je lirais Scootie après car je ne vois rien ... à l'écran !

[absente]

Merci pour ce beau partage sidib. Le temps, dans sa course folle, n'épargne personne, et les jours, les mois, les années fuient discrètement, emportant avec eux des moments précieux qu'on aurait ou pas vécus. Heureux celui qui sait profiter de chaque instant.

Ceci me fait penser à ce poème de Maupassant que je veux bien partager.

L’aïeul

L’aïeul mourait froid et rigide.
Il avait quatre-vingt-dix ans.
La blancheur de son front livide
Semblait blanche sur ses draps blancs.
Il entr’ouvrit son grand œil pâle,
Et puis il parla d’une voix
Lointaine et vague comme un râle,
Ou comme un souffle au fond des bois.

Est-ce un souvenir, est-ce un rêve ?
Aux clairs matins de grand soleil
L’arbre fermentait sous la sève,
Mon coeur battait d’un sang vermeil.
Est-ce un souvenir, est-ce un rêve ?
Comme la vie est douce et brève !
Je me souviens, je me souviens
Des jours passés, des jours anciens !
J’étais jeune ! je me souviens !

Est-ce un souvenir, est-ce un rêve ?
L’onde sent un frisson courir
A toute brise qui s’élève ;
Mon sein tremblait à tout désir.
Est-ce un souvenir, est-ce un rêve.
Ce souffle ardent qui nous soulève ?
Je me souviens, je me souviens !
Force et jeunesse ! ô joyeux biens !
L’amour ! l’amour ! je me souviens !

Est-ce un souvenir, est-ce un rêve ?
Ma poitrine est pleine du bruit
Que font les vagues sur la grève,
Ma pensée hésite et me fuit.
Est-ce un souvenir, est-ce un rêve
Que je commence ou que j’achève ?
Je me souviens, je me souviens !
On va m’étendre près des miens ;
La mort ! la mort ! je me souviens !

Guy de Maupassant

[Sidib]

Merci beaucoup, Chiquitita pour cet apport.
Parfois, nous confondons presque rêve et réalité, tellement que les moments réels vécus nous paraissent partis très vite. On aimerait que ça dure beaucoup plus longtemps.