Si un jour tu comprends que chacun des mots que j’écris n’est que pour toi
Si tu reconnais les villes où je me perds, les forteresses où je m’enferme
Si tu me devines dans la guerrière toujours vaincu, le loup solitaire qui te cherche
Si tu sais que mon palais aux vitres brisées, déserté par Casanova, n’existe que pour toi
Si tu regardes vers le ciel et si tu vois enfin mes oiseaux porteurs de messages
Alors fais moi le signe le plus imperceptible
Je ne me perdrai plus dans ces villes étrangères, j’abattrai les murs de ma forteresse
Je redeviendrai le guerrièr lumineux et victorieux, je ne serai plus loup solitaire
Je rappellerai tous mes oiseaux, je bâtirai un nouveau palais, plus magnifique encore
Mais si tu ne sais pas te reconnaître, si tu ne veux rien comprendre au-delà de mes mots
Alors je cesserai d’écrire
dani
Si tu reconnais les villes où je me perds, les forteresses où je m’enferme
Si tu me devines dans la guerrière toujours vaincu, le loup solitaire qui te cherche
Si tu sais que mon palais aux vitres brisées, déserté par Casanova, n’existe que pour toi
Si tu regardes vers le ciel et si tu vois enfin mes oiseaux porteurs de messages
Alors fais moi le signe le plus imperceptible
Je ne me perdrai plus dans ces villes étrangères, j’abattrai les murs de ma forteresse
Je redeviendrai le guerrièr lumineux et victorieux, je ne serai plus loup solitaire
Je rappellerai tous mes oiseaux, je bâtirai un nouveau palais, plus magnifique encore
Mais si tu ne sais pas te reconnaître, si tu ne veux rien comprendre au-delà de mes mots
Alors je cesserai d’écrire
dani
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