Caresse du soleil de tes lèvres
Emerveille ma peau et c’est beau
Douceur de tes rêves sont sur moi
Et la tendresse de ta voix me réveille
Je me lève le sourire endormi
De ma nuit étire mon regard
Loin vers toi
Tu es là ! Alors ça me va !
Ombre fugitive et câline
Tourne en moi
J’étire mon soleil plein de joie
Hum te sentir là, ça me va !
Amour mon amour
Qu’est ce que tu crois ?
Gourmande comme je suis
Est ce que je dors ?
Héhé ! Tu ne le sauras pas comme ça
Mutine je minaude et soupire
Hum !comment te dire mon Amour
Le silence de nos bisous partout
Mots d’amours qui se sont envolés
Et puis en nous dispersés
Plaine d’amour je revis
Pleine de toi qu’est ce que c’est bien !
Le jour d’amour devient ma nuit
Ma nuit de jour tu es mon Roy !
Allons ensemble nous promener
Dans notre pays qu’on s’est créer
Loin de tout bruits hormis nos rires
Vive la joie de notre Amour !
Alors, tu me montres le chemin ?
Hé hé ! !!tu vas voir j’adore jouer
Muse endormie va se réveiller
Sous l’assaut de tes baisers
Et ça j’aime trop ça !
Morjane
03/06/2003
Emerveille ma peau et c’est beau
Douceur de tes rêves sont sur moi
Et la tendresse de ta voix me réveille
Je me lève le sourire endormi
De ma nuit étire mon regard
Loin vers toi
Tu es là ! Alors ça me va !
Ombre fugitive et câline
Tourne en moi
J’étire mon soleil plein de joie
Hum te sentir là, ça me va !
Amour mon amour
Qu’est ce que tu crois ?
Gourmande comme je suis
Est ce que je dors ?
Héhé ! Tu ne le sauras pas comme ça
Mutine je minaude et soupire
Hum !comment te dire mon Amour
Le silence de nos bisous partout
Mots d’amours qui se sont envolés
Et puis en nous dispersés
Plaine d’amour je revis
Pleine de toi qu’est ce que c’est bien !
Le jour d’amour devient ma nuit
Ma nuit de jour tu es mon Roy !
Allons ensemble nous promener
Dans notre pays qu’on s’est créer
Loin de tout bruits hormis nos rires
Vive la joie de notre Amour !
Alors, tu me montres le chemin ?
Hé hé ! !!tu vas voir j’adore jouer
Muse endormie va se réveiller
Sous l’assaut de tes baisers
Et ça j’aime trop ça !
Morjane
03/06/2003
Commentaire