Encore faut il marcher à l’ombre de mes pas
Rechercher sans cesse le chemin qui me mène vers toi
Dans ce labyrinthe obscur sans torche et sans éclat
Je trébuche et me cogne parfois
Et au loin murmure ta voix
Qui me dis n’aie pas peur concentre toi
Respire mon cœur
Je suis là
Redresse la tête et tu verras
Encore faut il éclaircir les brouillards de ma vie
Chasser d’un geste sec ces fantômes qui m’ennuient
Encore faut il souffler vers le vent , vers l’oubli
J’étouffe et je pleure parfois seule sans un bruit
Mais ces sanglots sans voix ne sont pas venants de moi
Ils s’échappent comme un relent qui s’en va
Ils exhument les douleurs qui m’ont habités parfois
Ils ne sont que l’écho de pleurs qui ont froid
Encore faut il marcher dans ce dédale de fumée
Que le vent qui passe vient à chasser
D’un souffle si chaud il les fait s’envoler
Et un rayon de soleil vient me chatouiller
Et au loin du tréfonds de mon âme
A jaillis une douceur, une flamme
Des cendres qui jadis dormaient
Une fleur soudain a jaillit
Ses pétales caressent mon âme
A force de marcher à l’ombre de mes pas
De chercher à me perdre dans ce dédale de moi
J’ai enfin trouvé le murmure de ta voix
Et si je trébuche, ce n’est que pour mieux tomber dans tes bras…
morjane
02/11/04
Rechercher sans cesse le chemin qui me mène vers toi
Dans ce labyrinthe obscur sans torche et sans éclat
Je trébuche et me cogne parfois
Et au loin murmure ta voix
Qui me dis n’aie pas peur concentre toi
Respire mon cœur
Je suis là
Redresse la tête et tu verras
Encore faut il éclaircir les brouillards de ma vie
Chasser d’un geste sec ces fantômes qui m’ennuient
Encore faut il souffler vers le vent , vers l’oubli
J’étouffe et je pleure parfois seule sans un bruit
Mais ces sanglots sans voix ne sont pas venants de moi
Ils s’échappent comme un relent qui s’en va
Ils exhument les douleurs qui m’ont habités parfois
Ils ne sont que l’écho de pleurs qui ont froid
Encore faut il marcher dans ce dédale de fumée
Que le vent qui passe vient à chasser
D’un souffle si chaud il les fait s’envoler
Et un rayon de soleil vient me chatouiller
Et au loin du tréfonds de mon âme
A jaillis une douceur, une flamme
Des cendres qui jadis dormaient
Une fleur soudain a jaillit
Ses pétales caressent mon âme
A force de marcher à l’ombre de mes pas
De chercher à me perdre dans ce dédale de moi
J’ai enfin trouvé le murmure de ta voix
Et si je trébuche, ce n’est que pour mieux tomber dans tes bras…
morjane
02/11/04
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