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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Point d'aumone dans cette vallée
    sinon qu'un seul récit inavoué
    qui commence par ....
    sans entrave ni embûche
    juste une soif de vaincre
    des chants, des hymnes au passage des nuées
    je suis soumis.
    Espoir d'une incantation plusieurs fois récitée
    un doigt dressé dans l'espoir de voir sa façe
    El Hamdoulillah
    prosternée sur ce sable engloutiné
    vers un songe délicieux pour l'éternité.
    vent de liberté me transportant entre anges et cieux.
    coule dans mes veines la charité

    Salut l'Epervier voici la version ' islamisé '
    Fantomet

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  • Virginie
    a répondu
    Bonjour Epervier,

    Bravo pour vos poésie et pour votre site même si je n'arrivepas à télécharger la page Je ne désecpère pas cependant, j'y arriverait!
    Je souhaitais vous poser une question : le choix de ce pseudo a t'il un rapport avec la bd les 7 vies de l'épervier ?

    bonne soirée à vous et à tous

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  • epervier
    a répondu
    Velours

    Thirga,
    Je vous remercie de votre commentaire.
    Il est vrai que j'aurais pu continuer
    mais je l'ai terminer ainsi.
    Je vous incite à visiter mon site de poésie
    http://www.epervier.ca.tc

    André Labrosse , épervier

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  • Thirga.ounevdhou
    a répondu
    Bonjour,

    J’aurais aimé que ce poème soit plus long, car en commençant a le lire, je suis partie avec toute cette imagination et quand je me suis retrouvée vite a la fin, je me suis dite dommage, je voulais restée un peu plus longtemps a imaginer….Mais…

    Merci beaucoup, c'estait tres beau.
    Bonne et heureuse journée,

    Thirga,

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  • epervier
    a crée une discussion Velours

    Velours

    Velours

    Glisse dans mes veines un espoir érudit,
    Un parchemin inachevé.
    Trace des sillons sinueux de partage,
    Point de cailloux!
    Un fort vent de justice dans une mélopée.
    De la douceur, des caresses à travers monts,
    Je le désire!
    Essoufflement d’une prière acceptée, louangée.
    Des mains douces à l’appel d’un Dieu béni.
    Alléluia!
    Agenouillé, tout n’est que cendre et poussière
    Dans une imagination savoureuse, mortuaire.
    Me voilà liberté entre cumulus et radiosus!
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