Contemplations
Je te contemple dans le cœur des mots peuplant l’immobilité de l’aube qui se fige et tend l’oreille pour sonder nos horizons à la recherche des muettes solitudes de l’amour et des passions.
Je plonge ma vie dans ton regard pour abreuver mon âme de la rosée perlant sur les roses faites de splendeurs, fredonnant le nom des ailleurs enchanteurs dont le souvenir édifie un futur qui courbe les impossibles et arase les turbulences.
Je déambule dans les recoins transis de ma mémoire que ton étoile brillant à mes horizons réchauffe et éclaire de la lumière de la complicité des instants de bonheur.
Je suis l’élan enfantant la perdurabilité des instants libérés de l’inconsistance de la durée, je te prends par le cœur pour t’installer sur les ailes du vent inventeur des chemins qui effacent l’immédiateté des jours et arrêtent la fuite des nuits qui tremblent de désir.
Je contemple tes espaces intimes à la recherche des réalités qui tissent la trame des ralliements illuminateurs des profondeurs incendiées par l’interpénétration de deux destins se rejoignant au cœur des délires qui ébranlent les moments haletants et ivres de la liberté reconquise.
Je contemple tes horizons d’où perle un suc au goût ineffable dont les délices inondent les instants immobiles que l’amour suspend au bord des complicités qui vrillent le firmament dont l’azur apaise mes nuits réveillées et mes aubes nonchalantes.
Je contemple nos deux vécus dont l’interférence, ciel ouvert sur des occurrences, laisse jaillir des réalités libérant les regards subjugués par les ailleurs qui étonnent les horizons, inventent et dispensent des flots de bonheur infini.
Je contemple tes aurores qui s’évaporent et inventent des éternités dont les ailes fragiles caressent les heures frissonnantes des complicités murmurées au cœur des nuits dont le silence immobilise les désarrois et restaure la confiance.
Je lève le regard et contemple dans ton ciel, le soleil éclaté qui embrase et dore les heures perturbées des crépuscules au charme impalpable et dont les nuances magnifiques capturent les soupirs des cœurs avides de présence.
Je contemple tes rêves, origine et terme de mes voyages, clés des inaccessibles citadelles abritant le secret des mots, projections paradisiaques des moments de délicieuse connivence, images sublimes incarnations des nos espérances d’une vie apaisée et sans autres turbulences que celles de la passion amoureuse.
Je contemple la profondeur de ton regard pour sonder les mystères de ton être intérieur pourvoyeur de rêves éveillés qui troublent la vigilance de nos deux cœurs avides de la caressante présence des sereins éblouissements.
Je contemple ton univers, le cœur assailli de la prégnante nostalgie d’une réalité magnifiant l’arrivée de l’aube qui violine les souvenances enracinées dans les replis ensauvagés de notre vécu que nos âmes, enfin réunies, purifient et subliment.
Je contemple les moments qui inventent nos enlacements, fusion sacramentelle, pacte éternel qui unit nos âmes tremblantes de bonheur et apaise mes sens avides des nectars de tes sources pour calmer ma soif troublée et inextinguible.
Je contemple nos nuits, enchaînement régénérateur et dispensateur d’envoûtements intenses où prennent naissance une multitude de ruisseaux dont le courant ondoyant abreuve notre complicité et nos espérances.
Je contemple tes rêves fascinés par la lumièrei unissant adoré et désirant au cœur des moments troublés par les pulsions qui font palpiter les heures frémissantes tenaillées par l’aiguillon des désirs déferlant sur les silences des nuits de turbulences assumées.
Je te contemple dans le cœur des mots peuplant l’immobilité de l’aube qui se fige et tend l’oreille pour sonder nos horizons à la recherche des muettes solitudes de l’amour et des passions.
Je plonge ma vie dans ton regard pour abreuver mon âme de la rosée perlant sur les roses faites de splendeurs, fredonnant le nom des ailleurs enchanteurs dont le souvenir édifie un futur qui courbe les impossibles et arase les turbulences.
Je déambule dans les recoins transis de ma mémoire que ton étoile brillant à mes horizons réchauffe et éclaire de la lumière de la complicité des instants de bonheur.
Je suis l’élan enfantant la perdurabilité des instants libérés de l’inconsistance de la durée, je te prends par le cœur pour t’installer sur les ailes du vent inventeur des chemins qui effacent l’immédiateté des jours et arrêtent la fuite des nuits qui tremblent de désir.
Je contemple tes espaces intimes à la recherche des réalités qui tissent la trame des ralliements illuminateurs des profondeurs incendiées par l’interpénétration de deux destins se rejoignant au cœur des délires qui ébranlent les moments haletants et ivres de la liberté reconquise.
Je contemple tes horizons d’où perle un suc au goût ineffable dont les délices inondent les instants immobiles que l’amour suspend au bord des complicités qui vrillent le firmament dont l’azur apaise mes nuits réveillées et mes aubes nonchalantes.
Je contemple nos deux vécus dont l’interférence, ciel ouvert sur des occurrences, laisse jaillir des réalités libérant les regards subjugués par les ailleurs qui étonnent les horizons, inventent et dispensent des flots de bonheur infini.
Je contemple tes aurores qui s’évaporent et inventent des éternités dont les ailes fragiles caressent les heures frissonnantes des complicités murmurées au cœur des nuits dont le silence immobilise les désarrois et restaure la confiance.
Je lève le regard et contemple dans ton ciel, le soleil éclaté qui embrase et dore les heures perturbées des crépuscules au charme impalpable et dont les nuances magnifiques capturent les soupirs des cœurs avides de présence.
Je contemple tes rêves, origine et terme de mes voyages, clés des inaccessibles citadelles abritant le secret des mots, projections paradisiaques des moments de délicieuse connivence, images sublimes incarnations des nos espérances d’une vie apaisée et sans autres turbulences que celles de la passion amoureuse.
Je contemple la profondeur de ton regard pour sonder les mystères de ton être intérieur pourvoyeur de rêves éveillés qui troublent la vigilance de nos deux cœurs avides de la caressante présence des sereins éblouissements.
Je contemple ton univers, le cœur assailli de la prégnante nostalgie d’une réalité magnifiant l’arrivée de l’aube qui violine les souvenances enracinées dans les replis ensauvagés de notre vécu que nos âmes, enfin réunies, purifient et subliment.
Je contemple les moments qui inventent nos enlacements, fusion sacramentelle, pacte éternel qui unit nos âmes tremblantes de bonheur et apaise mes sens avides des nectars de tes sources pour calmer ma soif troublée et inextinguible.
Je contemple nos nuits, enchaînement régénérateur et dispensateur d’envoûtements intenses où prennent naissance une multitude de ruisseaux dont le courant ondoyant abreuve notre complicité et nos espérances.
Je contemple tes rêves fascinés par la lumièrei unissant adoré et désirant au cœur des moments troublés par les pulsions qui font palpiter les heures frémissantes tenaillées par l’aiguillon des désirs déferlant sur les silences des nuits de turbulences assumées.
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