A l’aube de mes pas
Qui m’ont menés vers toi
Je marchais sans comprendre où j’allais.
le rire sonore des merles résonnait dans le ciel
Mais étrangement c'etait le silence qui était là
c' était le silence de mes pas sans toi
A l’ombre d’un chêne je me suis reposée
Bercés par ses branches qui me protégeaient
Des hordes de vautour qui rodaient
Lasse de marcher dans un dédale infernal
Je laissais enfin mon esprit se reposer
Une feuille est tombée près de moi j’ai frissonnée
Un doux souffle du vent l’emporte en tourbillonnant
Je la vois s’envoler légère et majestueuse
Elle est presque morte et si pleine d’envie de vivre,
Encore un petit instant
Elle s’élance dans les airs, elle ne fait pas de manière
Refusant de choir et d’être piétiné
Je la regarde amusée faire des spirales et s’envoler
Poussé par le souffle du vent qui la pousse si loin
Soudain un merle passe et la happe d’un bruit sec
Elle a disparu, brisée sans pitié par ce voleur des airs
Des morceaux viennent choir en une ultime danse
C’était la fin, je n’ai rien pus faire
Sans aucune manière elle a disparu comme elle était venue
Dans un bruissement d’ailes, elle s’est envolée
Je décidais de reprendre ma route…
morjane
23/11/04
Qui m’ont menés vers toi
Je marchais sans comprendre où j’allais.
le rire sonore des merles résonnait dans le ciel
Mais étrangement c'etait le silence qui était là
c' était le silence de mes pas sans toi
A l’ombre d’un chêne je me suis reposée
Bercés par ses branches qui me protégeaient
Des hordes de vautour qui rodaient
Lasse de marcher dans un dédale infernal
Je laissais enfin mon esprit se reposer
Une feuille est tombée près de moi j’ai frissonnée
Un doux souffle du vent l’emporte en tourbillonnant
Je la vois s’envoler légère et majestueuse
Elle est presque morte et si pleine d’envie de vivre,
Encore un petit instant
Elle s’élance dans les airs, elle ne fait pas de manière
Refusant de choir et d’être piétiné
Je la regarde amusée faire des spirales et s’envoler
Poussé par le souffle du vent qui la pousse si loin
Soudain un merle passe et la happe d’un bruit sec
Elle a disparu, brisée sans pitié par ce voleur des airs
Des morceaux viennent choir en une ultime danse
C’était la fin, je n’ai rien pus faire
Sans aucune manière elle a disparu comme elle était venue
Dans un bruissement d’ailes, elle s’est envolée
Je décidais de reprendre ma route…
morjane
23/11/04
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