Quand le vent souffle sur laplaine,
moi issu des Beni-Yennis, je suis las
de tant de solitude et de majesté.
La brise fait rougir mes joues
mais mon coeur lui c'est durci
depuis que tu es parti
Dans ce matin blème
je m'accroche à ton doux souvenir
moi le berger solitaire.
Tu as choisis la richesse de l'homme
et à laissé la bonté du coeur
qui battait dans ma poitrine.
Chaque matin, moi le beni-yenni
je scrute au loin dans la vallée
tout mouvement qui changerait
mon ame à jamais meurtri.
Où es-tu ? que fais-tu ?
j'existe encore pour toi.
Peut-être que tu te lasseras
là tout en bas, et qu'un jour
notre souvenir se réveillera
pour qu'enfin, moi l'enfant des montages
puisse encore croire en cette vie
si dérisoir....
moi issu des Beni-Yennis, je suis las
de tant de solitude et de majesté.
La brise fait rougir mes joues
mais mon coeur lui c'est durci
depuis que tu es parti
Dans ce matin blème
je m'accroche à ton doux souvenir
moi le berger solitaire.
Tu as choisis la richesse de l'homme
et à laissé la bonté du coeur
qui battait dans ma poitrine.
Chaque matin, moi le beni-yenni
je scrute au loin dans la vallée
tout mouvement qui changerait
mon ame à jamais meurtri.
Où es-tu ? que fais-tu ?
j'existe encore pour toi.
Peut-être que tu te lasseras
là tout en bas, et qu'un jour
notre souvenir se réveillera
pour qu'enfin, moi l'enfant des montages
puisse encore croire en cette vie
si dérisoir....
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