Terre de braise, terre de cristal
Sur cette terre étrangère
Je force mes pas pour pouvoir avancer
J’ai oublié comment se promener, comment traîner, comment danser
On dirait que je marche sur des braises toutes rouges foncées
De temps à autre, je trempe mes brûlures
Dans le lac d’un parc
Dans la Seine sous un pont en arc
Dans un musée aux tableaux et figures qui marquent
Juste le temps d’un instant,
Le temps qu’elle se remette à chavirer, ma petite barque
Elle cherche la terre ferme, ‘sa’ terre
Où le ciel est ‘son’ ciel
Où la terre est ‘sa’ terre
Où les gens sont les ‘siens’
Où les murs sont ‘ses’ murs
Où l’air, qu’avec joie, elle respire
Est à elle, ‘son’ air, si pur
Je me remets à marcher sur ce bûcher
Avec un sourire que je dessine, juste pour tricher
Avec des yeux rouges aux larmes cachées
M’éloigner de toi mon amour était il un péché ?
Peut être bien que oui et c’est ma punition
Je reviendrai bientôt mon ange, ne sois pas si fâché
Je reviendrai même si j’aurai à nager et à marcher
Pour t’atteindre, toi, que je cesserai enfin de chercher
Chaque nuit dans mes rêves, car je serai tout près
N’arrête pas de me guetter du haut de notre rocher
Je veux tous vous retrouver pour réapprendre à vivre, à sourire, à rire
C’est le mal du pays, mon pays, toi l’Algérie
Le mal de ma mère, mon père, mes frères, de toi mon chéri
Je veux retrouver cette terre si pure
Où mes pas sont si légers, si sûrs
Une terre si douce et fraîche que pour marcher dessus je pourrai refaire les gestes de la Reine de Sabaa dans le royaume du prophète Soulaimène.
Sur cette terre étrangère
Je force mes pas pour pouvoir avancer
J’ai oublié comment se promener, comment traîner, comment danser
On dirait que je marche sur des braises toutes rouges foncées
De temps à autre, je trempe mes brûlures
Dans le lac d’un parc
Dans la Seine sous un pont en arc
Dans un musée aux tableaux et figures qui marquent
Juste le temps d’un instant,
Le temps qu’elle se remette à chavirer, ma petite barque
Elle cherche la terre ferme, ‘sa’ terre
Où le ciel est ‘son’ ciel
Où la terre est ‘sa’ terre
Où les gens sont les ‘siens’
Où les murs sont ‘ses’ murs
Où l’air, qu’avec joie, elle respire
Est à elle, ‘son’ air, si pur
Je me remets à marcher sur ce bûcher
Avec un sourire que je dessine, juste pour tricher
Avec des yeux rouges aux larmes cachées
M’éloigner de toi mon amour était il un péché ?
Peut être bien que oui et c’est ma punition
Je reviendrai bientôt mon ange, ne sois pas si fâché
Je reviendrai même si j’aurai à nager et à marcher
Pour t’atteindre, toi, que je cesserai enfin de chercher
Chaque nuit dans mes rêves, car je serai tout près
N’arrête pas de me guetter du haut de notre rocher
Je veux tous vous retrouver pour réapprendre à vivre, à sourire, à rire
C’est le mal du pays, mon pays, toi l’Algérie
Le mal de ma mère, mon père, mes frères, de toi mon chéri
Je veux retrouver cette terre si pure
Où mes pas sont si légers, si sûrs
Une terre si douce et fraîche que pour marcher dessus je pourrai refaire les gestes de la Reine de Sabaa dans le royaume du prophète Soulaimène.
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