Encore et encore.
Lorsque ton cœur chantait en chœur avec ton corps, à cors à cris mon corps, de mon cœur dépendant, te défrichait encore.
Lorsque tes yeux versaient tous tes désirs, habillés en sourire, enrobés de délires dans le fond de mes yeux, je te cherchais alors.
Lorsque dans tes mots, haranguant tes milices, tu dictais les supplices afin que je subisse ton châtiment injuste, je m’inclinais à tors.
Lorsque tu te figeas, cet instant m’infligea la peur et m’affligea, ma honte m’obligea à revoir mes chansons pour conjurer le sort.
Tu te muras en moi, usant de tes morsures en m’offrant tes blessures, attisant mes brûlures, réduisant mes efforts,
A jeter ce carcan, lui et ses serments qui s’avéraient vraiment, un terrible ferment d’un amour qui ment, qui ment jusqu’aux aurores.
Quelle ne fut ma hantise, d’assumer mes sottises pour que je réalise et que j’idéalise ton image qui balise mes rêves jusqu’à la mort.
:wink:
Lorsque ton cœur chantait en chœur avec ton corps, à cors à cris mon corps, de mon cœur dépendant, te défrichait encore.
Lorsque tes yeux versaient tous tes désirs, habillés en sourire, enrobés de délires dans le fond de mes yeux, je te cherchais alors.
Lorsque dans tes mots, haranguant tes milices, tu dictais les supplices afin que je subisse ton châtiment injuste, je m’inclinais à tors.
Lorsque tu te figeas, cet instant m’infligea la peur et m’affligea, ma honte m’obligea à revoir mes chansons pour conjurer le sort.
Tu te muras en moi, usant de tes morsures en m’offrant tes blessures, attisant mes brûlures, réduisant mes efforts,
A jeter ce carcan, lui et ses serments qui s’avéraient vraiment, un terrible ferment d’un amour qui ment, qui ment jusqu’aux aurores.
Quelle ne fut ma hantise, d’assumer mes sottises pour que je réalise et que j’idéalise ton image qui balise mes rêves jusqu’à la mort.
:wink:
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