Juste une pensée
Pour tous ceux qui sont seuls
Dehors la ville a vêtus ses beaux habits de lumière
Les boutiques sont pleines à craquer
De victuailles si bonnes à croquer
Et pourtant alors que règne la joie
Certains sont dans le froid, dans l’oubli
Hivers glacials
Eté infernal
Sans abri sans logis sans amis
Ne connaissant de la vie
Que le dégoût qu’ils inspirent
La répulsion est leur compagne
La chaleur est bien loin de leurs cœurs
Bien sur on ne tombe pas ainsi mais il suffit de si peu
D’un abandon d’un deuil
ou d’une envie de tuer celui que l’on est devenu
Envie d’être différents de sortir de ce monde des vivants
La vie est si dure parfois
Peu importe pourquoi ils ont fait ce choix qui n’en est pas un
Ils sont seuls avec leur faim pour compagne
Il ya aussi tous ces vieux, ces aïeuls
Qu’on délaisse trop vieux trop ennuyeux
Alors qu’ils ont tant à nous apprendre
Tant de récits à nous conter
Il y a toutes ces blessés de la terre
Qui n’ont que la misère pour amie
Le ventre vide, le regard perdu
La vie est devenue guerre
Et chaque jour devient bataille pour tout
A toutes les âmes seules et incomprises
A tous les oubliés de la vie
Que l’esprit de Nöel soit dans votre coeur
Qu’un jour enfin vous puissiez dire
Voici mon heure, je n’ai plus froid
la voici belle Je renais à la vie
morjane
24/12/04
Pour tous ceux qui sont seuls
Dehors la ville a vêtus ses beaux habits de lumière
Les boutiques sont pleines à craquer
De victuailles si bonnes à croquer
Et pourtant alors que règne la joie
Certains sont dans le froid, dans l’oubli
Hivers glacials
Eté infernal
Sans abri sans logis sans amis
Ne connaissant de la vie
Que le dégoût qu’ils inspirent
La répulsion est leur compagne
La chaleur est bien loin de leurs cœurs
Bien sur on ne tombe pas ainsi mais il suffit de si peu
D’un abandon d’un deuil
ou d’une envie de tuer celui que l’on est devenu
Envie d’être différents de sortir de ce monde des vivants
La vie est si dure parfois
Peu importe pourquoi ils ont fait ce choix qui n’en est pas un
Ils sont seuls avec leur faim pour compagne
Il ya aussi tous ces vieux, ces aïeuls
Qu’on délaisse trop vieux trop ennuyeux
Alors qu’ils ont tant à nous apprendre
Tant de récits à nous conter
Il y a toutes ces blessés de la terre
Qui n’ont que la misère pour amie
Le ventre vide, le regard perdu
La vie est devenue guerre
Et chaque jour devient bataille pour tout
A toutes les âmes seules et incomprises
A tous les oubliés de la vie
Que l’esprit de Nöel soit dans votre coeur
Qu’un jour enfin vous puissiez dire
Voici mon heure, je n’ai plus froid
la voici belle Je renais à la vie
morjane
24/12/04
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