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Le voyage

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    salut à toutes et à tous, salut Beryll,

    si je comprends bien , c'est une nouvelles qui vient s'ajouter à celles déjà existant. eh bien qu'elle soit la bienvenue surtout avec cette extreme beauté qu'elle nous ramène.

    bravo et bonne continuation. coucou Morjane, coucou Thirga.

    C.B.

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  • Béryll
    a répondu
    Merci à vous deux. :wink:

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  • morjane
    a répondu
    Bonjour Thirga, bonjour Béryll,

    Malgré toute la beauté
    de ces splendides contrées
    malgré toutes ces fleurs
    ces effluves de bonheur
    Quand on est éxilé
    on ne sait que rêver
    A ceux qu'on a laissé
    a ce désert d'ici

    Que plane l'ombre d'un olivier
    D'une vieille toute ridée
    Si belle de toutes ces années
    La douceur d'un parfum
    L'effluve de son chagrin,
    Les larmes qu'on a caché
    parce qu'on devait y aller
    Alors le plus beau voyage
    sera comme un naufrage
    comme un dernier retour
    pour le plus beau séjour
    Au pays de l'Amour
    Celui là il dure toujours.


    Bienvenue Béryll et merci pour ton poème. il m'a fait voyager loin dans mes pensées et m'a laissé bien songeuse.

    Bonne soirée

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  • Thirga.ounevdhou
    a répondu
    Bonjour,
    Bienvenue au Forum Algerie.
    C’est un très joli poème que je vienne de lire avec tant de plaisir.
    Merci,

    Thirga,

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  • Béryll
    a crée une discussion Le voyage

    Le voyage

    Le voyage

    J’ai souvent voyagé dans des pays lointains
    Où le vent mélangeait les odeurs du jasmin,
    La poussière du désert, aux airs du matin
    Pour souffler dans mon cœur un parfum orphelin.

    Au balcon du rempart, se balançaient alors
    Le papier mauve froissé des plantes inodores,
    Bougainvilliers penchés, qui laisse ses fleurs éclore,
    Au regard du soleil qui complète le décor.

    Comme le temps est lent dans cet univers blanc !
    Jamais on ne se presse, il n’y a que le vent,
    Qui sans cesse se pends, se suspends, agitant,
    Le perpétuel été qui manque de mouvement.

    Les volets peints en bleu se referment souvent
    Sur les rêves cyan des voyageurs imprudents,
    Qui pensent sous ces cieux trouver l’apaisement,
    Le repos et le calme du dépaysement.

    Le lieu et le décor ne changent rien à l’affaire.
    Quand le mal de vivre est planté dans ta chair,
    Il devient difficile de le faire taire.
    Et tout l'art de vivre se complique d'éphémère.

    Beryll
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