Le sursis.
Linceul après linceul,
On se retrouve seul.
On n’oublie pas les jours
Où on vivait d’amour.
Pour les âmes blessées,
Les rêves caressés
Restent bien vivants
Et reviennent souvent.
Parfois la vie est telle
Qu’elle nous semble éternelle.
Tout est aléatoire,
Chacun a son histoire,
Ses rires et ses larmes,
Chacun sa destinée.
Quand l’horloge a sonné
On dépose les armes.
On pleure quelquefois,
Mais on garde la foi
Pour chasser les remords
Quand on pense à la mort.
Parfois les souvenirs
Nous aident à sourire.
Penser aux lendemains
Se prendre par la main
Car il faut écouter
Ceux qui nous ont quittés.
Qui prient du fond du coeur
Pour que cessent nos pleurs.
Les souffrances sont vaines
Pour les heures prochaines
Il faut vivre très fort
Vivre avant la mort.
Linceul après linceul,
On se retrouve seul.
On n’oublie pas les jours
Où on vivait d’amour.
Pour les âmes blessées,
Les rêves caressés
Restent bien vivants
Et reviennent souvent.
Parfois la vie est telle
Qu’elle nous semble éternelle.
Tout est aléatoire,
Chacun a son histoire,
Ses rires et ses larmes,
Chacun sa destinée.
Quand l’horloge a sonné
On dépose les armes.
On pleure quelquefois,
Mais on garde la foi
Pour chasser les remords
Quand on pense à la mort.
Parfois les souvenirs
Nous aident à sourire.
Penser aux lendemains
Se prendre par la main
Car il faut écouter
Ceux qui nous ont quittés.
Qui prient du fond du coeur
Pour que cessent nos pleurs.
Les souffrances sont vaines
Pour les heures prochaines
Il faut vivre très fort
Vivre avant la mort.
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