Les lumières d’Alger
(1ère partie)
La femme de ma vie avait juste vingt ans
Au hasard des chemins nous nous sommes connus
Nous étions elle et moi, candides, ingénus
Comme les personnages des romances d’antan
C’est un ami d’enfance que je voyais souvent,
Qui m’invita un soir à un anniversaire.
Des rencontres mondaines, je n’étais point fervent
J’acceptai néanmoins, n’ayant rien d’autre à faire.
Alger était alors capitale d’Afrique
Splendide de lumière, vibrante, féerique,
Les gens ne rêvaient pas encore d’Amériques
Le spectacle et les rires n’avaient rien d’hérétique.
Les promeneurs étaient fort nombreux cette nuit,
Piétons et véhicules n’étaient pas si pressés
Cafés et restaurants ne fermaient qu’à minuit
Les clients semblaient riches et nullement stressés.
La course ne fut pas longue, mais plutôt agréable
Nous sommes arrivés quelques minutes après
Devant une demeure entourée de cyprès
Immense et habillée de marbres véritables.
(1ère partie)
La femme de ma vie avait juste vingt ans
Au hasard des chemins nous nous sommes connus
Nous étions elle et moi, candides, ingénus
Comme les personnages des romances d’antan
C’est un ami d’enfance que je voyais souvent,
Qui m’invita un soir à un anniversaire.
Des rencontres mondaines, je n’étais point fervent
J’acceptai néanmoins, n’ayant rien d’autre à faire.
Alger était alors capitale d’Afrique
Splendide de lumière, vibrante, féerique,
Les gens ne rêvaient pas encore d’Amériques
Le spectacle et les rires n’avaient rien d’hérétique.
Les promeneurs étaient fort nombreux cette nuit,
Piétons et véhicules n’étaient pas si pressés
Cafés et restaurants ne fermaient qu’à minuit
Les clients semblaient riches et nullement stressés.
La course ne fut pas longue, mais plutôt agréable
Nous sommes arrivés quelques minutes après
Devant une demeure entourée de cyprès
Immense et habillée de marbres véritables.
(à suivre)
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