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Songez que maintenant

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  • Songez que maintenant

    Frederik Mey
    Paroles et Musique: Frederik Mey 1988
    --------------------------------------------------------------------------------
    Songez que maintenant
    La lune pale est sur la ville
    Songez que maintenant
    Dans cette nuit douce et tranquille
    Un homme ferme les yeux
    A jamais dans cette seconde
    Et dans un lit miséreux
    Un rêveur est venu au monde
    Songez-y dans cette nuit
    Songez que vous avez
    Du pain et du vin sur vos tables
    Songez que vous avez
    Là des richesses incroyables
    Songez à ceux qui la nuit
    Voient la lumière à vos fenêtres
    Qui n'ont ni table ni lit
    Songez que la misère est traître
    Songez-y dans cette nuit
    Songez à ceux qui rient
    Pour cacher qu'ils n'ont plus de larmes
    Songez à ceux qui crient
    La voix brisée dans le vacarme
    Et songez à ceux qui noient
    Leur désespoir et leur faillite
    Et songez comme parfois
    Un verdict se prononce vite
    Songez-y dans cette nuit
    Songez que quelque part
    Dans cette nuit sombre et secrète
    Songez que quelque part
    On va compter les baïonnettes
    Songez que s'il n'en manquait
    Rien qu'une seule à cette somme
    Cela pourrait épargner
    Peut-être alors la vie d'un homme
    Je me demande parfois
    S'il faut quand même aimer ce monde
    Il faut l'apprendre je crois
    A chaque instant à chaque seconde
    Songez-y dans cette nuit

  • #2
    Bonsoir Danielle!

    Je ne connais pas du tout Frederik Mey
    Qui est-ce?
    (Ne me répond pas "un chanteur" )

    Crie leur qu'on est le monde...Que le peuple finira par vaincre,
    Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre...Et que la rue nous appartient!

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    • #3
      les mendiants

      merci danielle pour ce jolie poème au plaisirs de te lire
      je me rejoint à toi pour rajouté ce poème triste

      Les mendiants

      Passant un jour par une rue animée,
      je fus soudain saisie d'une profonde pitié.
      A quelques pas de moi, je vis un homme âgé
      vêtu de pauvres haillons et recroquevillé.
      Une petite assiette à ses pieds,
      c'étaient quelques sous qu'il espérait.
      Mais son assiette restait tout vide
      et lui, tête baissée semblait presque timide.
      Maintes gens passaient devant lui
      mais personne ne semblait se faire de soucis
      sur un homme bien âgé
      qui n'avait de quoi manger.
      J'allais vers lui pour lui tendre un billet
      puis j'eus une grande envie de lui parler.
      Sans hésiter, je m'assieds à ses côtés
      Et jamais je n'oublierai son regard étonné.
      Il ne pouvait comprendre que quelqu'un prenait son temps
      Pour bavarder avec lui, un simple mendiant.
      Je levai à un moment la tête
      et me rendis compte des réactions bêtes
      des autres passants trouvant aberrant
      d'engager une conversation avec un mendiant.
      Je n'attachai guère d'importance à ces stupides
      ma confiance en moi était bien plus solide.
      Et puis, cet homme avait besoin de chaleur
      un moment d'amitié, pour oublier son malheur.
      Il me parla de sa triste vie
      Sans sous, sans famille
      Toutes ses errances
      Les joies de son enfance
      Lorsque père et mère étaient encore là
      Vivant dans la douceur, ne connaissant pas le froid.
      Je ne trouvais de mots pour le consoler
      Et pourtant j'aurai tant aimé l'aider.
      Moi-même une simple étudiante
      pour l'aider financièrement, j'étais bien impuissante.
      C'est le cœur serré que je ne pouvais lui offrir
      que mes paroles, que mon sourire
      et un bien maigre billet
      pour s'offrir pendant deux jours à manger.
      Au moment de le quitter, je lui fis part de mes regrets
      de n'avoir la possibilité de l'aider.
      Il me répondit chaleureusement que depuis bien longtemps
      quelqu'un n'avait parlé à lui, un simple mendiant
      ( A-F)
      les larmes et le temps n'efface pas tous les souvenirs
      on peut pleurer un océan mes il restera des vagues de désir!

      Commentaire


      • #4
        afaroudj

        Moi-même une simple étudiante

        Ce poème est très beau et touchant. Il n'est pas de toi, bien sûr, je ne pense pas que tu sois étudiante. Il faudrait peut être en citer l'auteur.

        Commentaire


        • #5
          bonjour laari j'aime bien lire tes poème oui mon amis ce poème et pas de
          je ne si pas si ta remarqué son et on bat de la page ses initiale
          on à pas obliger de marqué son nom comme il mon amis zac on les rond hommage sa ma juste touché moi aussi j' ai mes poèmes.mes on tombe toujours les mauvais gens qui donne pas la valeur au plaisirs
          les larmes et le temps n'efface pas tous les souvenirs
          on peut pleurer un océan mes il restera des vagues de désir!

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          • #6
            chama

            http://www.denisdumoulin.net/index.html?mey/index.html
            Reinhard Mey c'est Frédérik Mey

            Dernière modification par Absente, 22 décembre 2006, 20h22.

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            • #7
              merci danielle pour ce beau poeme !

              joyeux noel et meilleurs voeux

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