Le marais de la mort
C’est une nuit glaciale inondée de lumière
De la lune radieuse sur les terres maudites
Survient une âme pure dans la zone interdite
Elle avance craintive murmurant des prières.
Le silence profond est soudain déchiré
Par le ricanement du monstre mort-vivant
Qui hante les marais et les sables mouvants
L’innocente s’arrête, tremblante, apeurée.
La lune dessinait des ombres fantastiques
Que la brise légère animait par moment
L’âme retint son souffle, perçut un sifflement
Et la chose apparut, terrifiante, lubrique.
La jeune s’élança sur les terres humides
Trébuchant, se blessant sur des tiges pointues
Là voilà fourvoyée dans le brouillard acide
L’ogre s’est approché mais ses pas se sont tus.
Dans sa fuite éperdue, elle ne savait pas
Que c’est vers les marais que la menaient ses pas
Prisonnière à présent des sables qui l’enlisent
Elle essaie de lutter, mais ne trouve pas prise.
En relevant la tête elle vit une branche
Parvint à la saisir dans un ultime effort
La boue est remontée jusque dans ses hanches
Le froid et les blessures meurtrissaient tout son corps.
Le temps changea soudain, et ce fut l’explosion
Le ciel zébré de feu s’abat sur la région
Découvrant le tableau où l’enfer apparaît
A cet instant surgit la reine des marais.
« Tu oses misérable pénétrer mon royaume?
Tu es une âme pure et ton cœur m’appartient
Tu seras prisonnière dans l’antre des fantômes
Je me nourris de sang, je goûterai au tien. »
(à suivre)
C’est une nuit glaciale inondée de lumière
De la lune radieuse sur les terres maudites
Survient une âme pure dans la zone interdite
Elle avance craintive murmurant des prières.
Le silence profond est soudain déchiré
Par le ricanement du monstre mort-vivant
Qui hante les marais et les sables mouvants
L’innocente s’arrête, tremblante, apeurée.
La lune dessinait des ombres fantastiques
Que la brise légère animait par moment
L’âme retint son souffle, perçut un sifflement
Et la chose apparut, terrifiante, lubrique.
La jeune s’élança sur les terres humides
Trébuchant, se blessant sur des tiges pointues
Là voilà fourvoyée dans le brouillard acide
L’ogre s’est approché mais ses pas se sont tus.
Dans sa fuite éperdue, elle ne savait pas
Que c’est vers les marais que la menaient ses pas
Prisonnière à présent des sables qui l’enlisent
Elle essaie de lutter, mais ne trouve pas prise.
En relevant la tête elle vit une branche
Parvint à la saisir dans un ultime effort
La boue est remontée jusque dans ses hanches
Le froid et les blessures meurtrissaient tout son corps.
Le temps changea soudain, et ce fut l’explosion
Le ciel zébré de feu s’abat sur la région
Découvrant le tableau où l’enfer apparaît
A cet instant surgit la reine des marais.
« Tu oses misérable pénétrer mon royaume?
Tu es une âme pure et ton cœur m’appartient
Tu seras prisonnière dans l’antre des fantômes
Je me nourris de sang, je goûterai au tien. »
(à suivre)
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