N'as-tu point vue,
les larmes qui glisses sur ma joue
et qui trangressent le temps
en s'acharnant sur toi.
N'as-tu point remarqué
celle qui brille sur les chemins
de cette vallée escarpée
celle qu'on appelle dans le sombre
d'une nuit étoilée et voilée.
N'as-tu point compris
l'origine de ces mots
toi pour qui tout est infini.
Je n'ose l'imaginée
riant très fort pour échapper
à son tragique destin
elle qui n'a jamais priée
qui que se soit même pas pour un festin.
Je n'ose même pas participer
à ses rêves si longtemps cachés.
n'a-t-elle point vue que je l'aimais ?
L'homme n'est qu'une nature morte
qui naît quand une femme à lui s'offre.
Sitôt tiré de son lit qu'il pavane
tel un dindon dans sa basse-court.
L'homme n'est en vérité
que vanité et imbécilité.
c'est ainsi qu'à ce terme, j'ai compris !
que de trop s'aimer soi-même
finit toujours par augmenter sa médiocrité !
qui au fond n'insipre nul autre que son moi
qui jamais ne deviendra ....toi
Le Fantome ( qui débloque de temps en temps )
les larmes qui glisses sur ma joue
et qui trangressent le temps
en s'acharnant sur toi.
N'as-tu point remarqué
celle qui brille sur les chemins
de cette vallée escarpée
celle qu'on appelle dans le sombre
d'une nuit étoilée et voilée.
N'as-tu point compris
l'origine de ces mots
toi pour qui tout est infini.
Je n'ose l'imaginée
riant très fort pour échapper
à son tragique destin
elle qui n'a jamais priée
qui que se soit même pas pour un festin.
Je n'ose même pas participer
à ses rêves si longtemps cachés.
n'a-t-elle point vue que je l'aimais ?
L'homme n'est qu'une nature morte
qui naît quand une femme à lui s'offre.
Sitôt tiré de son lit qu'il pavane
tel un dindon dans sa basse-court.
L'homme n'est en vérité
que vanité et imbécilité.
c'est ainsi qu'à ce terme, j'ai compris !
que de trop s'aimer soi-même
finit toujours par augmenter sa médiocrité !
qui au fond n'insipre nul autre que son moi
qui jamais ne deviendra ....toi
Le Fantome ( qui débloque de temps en temps )
Commentaire