Ecrire une histoire d’amour.
Une histoire vrai, celle d’un amour véritable.
Véritablement exceptionnelle, comme celui que tu étais et que tu reste
Ma pensée fossilisée.
Ma vie tournée vers toi, comme se panneau.
« Avenir », voilà ce que j’y lit…
Moi qui pensait que se mot disparaissait avec toi…
Le ciel se grise, les nuage absorbe la vapeur de ton âme.
Je suis au milieu de la rue et mon visage se lève vers l’intouchable.
Des gouttes viennent se déposer sur lui. Le ciel pleut, pleure.
Pour toi.
Je te quitte sur une promesse.
Celle de ma vie.
Celle que je ne tiendrais jamais.
On c’est quitter sur des notes d’un amour saint.
Sur ton sourire et ta douceur sur ma joue.
A moi,
Je garde ce moment au présent avec un égoïsme avoué.
La pluie coule sur mon front, sur mon cœur et imbibe mon regard.
Allah pardonne moi ces larmes qui se mélange à celles du ciel.
Je part khallou,
Je revient tout à l’heure Inch Allah…
Ton esprit déjà loin de mon corps et du tient
Je sais qu’il m’entend, m’attend…
M’attendra jusqu’au jour ou je mourrais aussi.
J’ai embrassé ton front 2 fois
Je suis partie
Mais dans le couloir,
J’ai avancé
Puis fait demi tour
J’ai courru à ta chambre
Et je t’ai embrassé à nouveau je t’ai dit que je t’aimai
On c’est quitté sur des notes d’un amour saint
Lundi je suis aller à l’école en pensant à toi.
Ensuite, j’ai tenté de t’oublier
La journée ne finissait pas malgré tout
Je me forçais à rire.
Je me suis beaucoup amusé.
En me répétant que dès que l’école serait fini je courrais à l’hosto !
Puis l’école c’est fini
Et je ne sais pas ce qui m’a poussé à ne pas
Venir te voir.
A rentrer
Directement chez moi.
A ouvrire la porte à saluer bien fort tout le monde.
Maman m’a répondu timidement.
Je savais que tu était mort.
Je ne sais pas comment ni pourquoi
Mais je le savais.
C’est tout.
Mais personne ne me le disait.
J’ai regardé maman elle ne me regardait surtout pas
Elle avait si peur de voir ma souffrance.
Je suis partie m’asseoir dans le salon.
J’ai allumé la télé.
Puis j’ai attendu.
On ne vient pas me voir.
On fait comme si de rien était ?
« maman on va voir khallou vers quel heure ? »
aucune réponse…
« maman ? khallou on va le voir quand ? »
rien on ne me répond pas.
Je me lève. Je vais à la cuisine que maman n’a toujours pas quitté.
Papa à l’étage ne me parle toujours pas lui non plus.
Je le regarde il est fixé à son ordinateur.
« dit maman ? khallou t’es allez le voir aujourd’hui ? »
un silence.
Il à raison Devos… c’est silencieux un silence… //3 secondes//…c’est mort.
« tu sais, Soad, khalek était très malade
_ Oui je sais…
_ Fallait s’y attendre, les médecins…
_ Il est mort quand ?
_ Se matin à 11h. »
je part dans le salon, je revient, en colère après elle.
Je lui crie dessus. Je lui dit que c’est de sa faute si je n’ai pas tenue ma promesse. Je m’en veut, je ne sais plus ce qu’elle me répond.
Je monte les escalier.
Je m’en veut, je suis en colère après maman. Tout est sa faute.
Alors qu’elle n’y ait pour rien
Papa m’intercepte en haut des escalier
J’assassinerais mon chagrin en l’étouffant contre lui.
Merci mon dieu, il me tient fort.
Maman nous a rejoint.
Hamdoulillah ils sont tout les deux près de moi.
Hamdoulillah, khallou, tu es mieux là-bas.
« qu’Allah t’offre sa miséricorde. »
ta nièce.
Une histoire vrai, celle d’un amour véritable.
Véritablement exceptionnelle, comme celui que tu étais et que tu reste
Ma pensée fossilisée.
Ma vie tournée vers toi, comme se panneau.
« Avenir », voilà ce que j’y lit…
Moi qui pensait que se mot disparaissait avec toi…
Le ciel se grise, les nuage absorbe la vapeur de ton âme.
Je suis au milieu de la rue et mon visage se lève vers l’intouchable.
Des gouttes viennent se déposer sur lui. Le ciel pleut, pleure.
Pour toi.
Je te quitte sur une promesse.
Celle de ma vie.
Celle que je ne tiendrais jamais.
On c’est quitter sur des notes d’un amour saint.
Sur ton sourire et ta douceur sur ma joue.
A moi,
Je garde ce moment au présent avec un égoïsme avoué.
La pluie coule sur mon front, sur mon cœur et imbibe mon regard.
Allah pardonne moi ces larmes qui se mélange à celles du ciel.
Je part khallou,
Je revient tout à l’heure Inch Allah…
Ton esprit déjà loin de mon corps et du tient
Je sais qu’il m’entend, m’attend…
M’attendra jusqu’au jour ou je mourrais aussi.
J’ai embrassé ton front 2 fois
Je suis partie
Mais dans le couloir,
J’ai avancé
Puis fait demi tour
J’ai courru à ta chambre
Et je t’ai embrassé à nouveau je t’ai dit que je t’aimai
On c’est quitté sur des notes d’un amour saint
Lundi je suis aller à l’école en pensant à toi.
Ensuite, j’ai tenté de t’oublier
La journée ne finissait pas malgré tout
Je me forçais à rire.
Je me suis beaucoup amusé.
En me répétant que dès que l’école serait fini je courrais à l’hosto !
Puis l’école c’est fini
Et je ne sais pas ce qui m’a poussé à ne pas
Venir te voir.
A rentrer
Directement chez moi.
A ouvrire la porte à saluer bien fort tout le monde.
Maman m’a répondu timidement.
Je savais que tu était mort.
Je ne sais pas comment ni pourquoi
Mais je le savais.
C’est tout.
Mais personne ne me le disait.
J’ai regardé maman elle ne me regardait surtout pas
Elle avait si peur de voir ma souffrance.
Je suis partie m’asseoir dans le salon.
J’ai allumé la télé.
Puis j’ai attendu.
On ne vient pas me voir.
On fait comme si de rien était ?
« maman on va voir khallou vers quel heure ? »
aucune réponse…
« maman ? khallou on va le voir quand ? »
rien on ne me répond pas.
Je me lève. Je vais à la cuisine que maman n’a toujours pas quitté.
Papa à l’étage ne me parle toujours pas lui non plus.
Je le regarde il est fixé à son ordinateur.
« dit maman ? khallou t’es allez le voir aujourd’hui ? »
un silence.
Il à raison Devos… c’est silencieux un silence… //3 secondes//…c’est mort.
« tu sais, Soad, khalek était très malade
_ Oui je sais…
_ Fallait s’y attendre, les médecins…
_ Il est mort quand ?
_ Se matin à 11h. »
je part dans le salon, je revient, en colère après elle.
Je lui crie dessus. Je lui dit que c’est de sa faute si je n’ai pas tenue ma promesse. Je m’en veut, je ne sais plus ce qu’elle me répond.
Je monte les escalier.
Je m’en veut, je suis en colère après maman. Tout est sa faute.
Alors qu’elle n’y ait pour rien
Papa m’intercepte en haut des escalier
J’assassinerais mon chagrin en l’étouffant contre lui.
Merci mon dieu, il me tient fort.
Maman nous a rejoint.
Hamdoulillah ils sont tout les deux près de moi.
Hamdoulillah, khallou, tu es mieux là-bas.
« qu’Allah t’offre sa miséricorde. »
ta nièce.
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