Quelle étoile peut illuminer le désespoir des hommes, quand le parfum des muguets semble transit par la blancheur des cimes? Quant le temple sacré loge le profane, qu’il lui fait son lit et le lit du marasme?
Quel astre brillant, quand partout il fait noir, quel geste vrillant, menant à l’entonnoir, lorsque les doigts s’agrippent aux pentes du silence et que les hommes s’étripent, marquant de leurs absences, les histoires banales, sous les murs racontées, abreuvant les annales et les hymnes chantés.
Ils badigeonnent l’histoire dans les yeux des enfants, dans nos yeux point de place, il y en avait pourtant, gluant comme des limaces, nous n’en demandions pas tant et tous de guerre lasse, de labeur éreintant, nous n’acceptions de grâce que celle de nos vingt ans.
Attelez vos espoirs qui s’attellent déjà, à tirer l’horizon vers nos proches rivages, si proches de nos rivages qu’ils écument l’espoir, de confirmer l’adage surgissant du terroir, qui dit qu’il n’y a d’image qu’à l’issue du mouroir.
:wink:
Quel astre brillant, quand partout il fait noir, quel geste vrillant, menant à l’entonnoir, lorsque les doigts s’agrippent aux pentes du silence et que les hommes s’étripent, marquant de leurs absences, les histoires banales, sous les murs racontées, abreuvant les annales et les hymnes chantés.
Ils badigeonnent l’histoire dans les yeux des enfants, dans nos yeux point de place, il y en avait pourtant, gluant comme des limaces, nous n’en demandions pas tant et tous de guerre lasse, de labeur éreintant, nous n’acceptions de grâce que celle de nos vingt ans.
Attelez vos espoirs qui s’attellent déjà, à tirer l’horizon vers nos proches rivages, si proches de nos rivages qu’ils écument l’espoir, de confirmer l’adage surgissant du terroir, qui dit qu’il n’y a d’image qu’à l’issue du mouroir.
:wink:
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