330
Merci Allyson
Pour m’avoir accompagnée sur le chemin
Tu n’étais pas obligée
Et pourtant tu as été volontaire
En me faisant grâce de ta douceur
De tes mots simples et délicieux à entendre
Comme peut l’être la soyeuse caresse du sable blanc
Tu attendris toute rage en moi
Merci d’être présente
Et de m’avoir si tendrement ému le cœur :
Dans ton élégance tu es si fine
Que dans les hauteurs où tu chemines
La beauté des anges s’achemine
Sur ton corps Ô combien sublime
Je me pardonne mes pensées d’homme
Quand je regarde tes courbes en somme
Les paroles sont pour moi un somme
C’est certain je suis dans les pommes!
J’étais timide à te mentir
Quand j’ai refusé de te dire
Que oui tes yeux ils me chavirent
Que tu es BELLE dans ton sourire
Si mes sentiments peuvent fleurir
Je suis content que tu m’inspires
À m’apprécier sans me maudire
À m’aimer dans tous mes désirs
Même si ils sont pour l’avenir
Dans le vestiaire nous sommes venus
À nous entendre sur l’avenue
Qu’un partage soit le bienvenu
Pourvu qu’on respecte mon élu
Je t’ai offert une limonade
À boire en libre promenade
Tu as dis oui en sérénade
Mon cœur bondit dans cette charade
Je frémis encore de ce mot
Que tu as prononcé si beau
Que rien de tel que dans cette Eau
Il n’existe aucun son de faux
Par la suite nous avons suivi
La voie de l’unique sortie
Je t’ai demandé qui je Suis
Tu m’as répondu Oui Je Suis
Sur le pont nous avons parlé
De l’Amour et de l’Infini
Tu m’as dis qu’Ils sont bien unis
Je t’ai répondu : bien parlé!
Devant chez moi j’ai refusé
De t’annoncer ma maisonnée
Je ne voulais pas raisonner
Quand tu parlais tout amusée
Tu travaillais durant l’été
Dans un état qui te plaisais
Et en Septembre que tu connais
T’entraîner à mieux relaxer
Devant chez toi au trois cent trente
Je t’ai reconduis en balade
Je suis parti sans accolade
Et me voici au 330
Merci!
Moreny
Merci Allyson
Pour m’avoir accompagnée sur le chemin
Tu n’étais pas obligée
Et pourtant tu as été volontaire
En me faisant grâce de ta douceur
De tes mots simples et délicieux à entendre
Comme peut l’être la soyeuse caresse du sable blanc
Tu attendris toute rage en moi
Merci d’être présente
Et de m’avoir si tendrement ému le cœur :
Dans ton élégance tu es si fine
Que dans les hauteurs où tu chemines
La beauté des anges s’achemine
Sur ton corps Ô combien sublime
Je me pardonne mes pensées d’homme
Quand je regarde tes courbes en somme
Les paroles sont pour moi un somme
C’est certain je suis dans les pommes!
J’étais timide à te mentir
Quand j’ai refusé de te dire
Que oui tes yeux ils me chavirent
Que tu es BELLE dans ton sourire
Si mes sentiments peuvent fleurir
Je suis content que tu m’inspires
À m’apprécier sans me maudire
À m’aimer dans tous mes désirs
Même si ils sont pour l’avenir
Dans le vestiaire nous sommes venus
À nous entendre sur l’avenue
Qu’un partage soit le bienvenu
Pourvu qu’on respecte mon élu
Je t’ai offert une limonade
À boire en libre promenade
Tu as dis oui en sérénade
Mon cœur bondit dans cette charade
Je frémis encore de ce mot
Que tu as prononcé si beau
Que rien de tel que dans cette Eau
Il n’existe aucun son de faux
Par la suite nous avons suivi
La voie de l’unique sortie
Je t’ai demandé qui je Suis
Tu m’as répondu Oui Je Suis
Sur le pont nous avons parlé
De l’Amour et de l’Infini
Tu m’as dis qu’Ils sont bien unis
Je t’ai répondu : bien parlé!
Devant chez moi j’ai refusé
De t’annoncer ma maisonnée
Je ne voulais pas raisonner
Quand tu parlais tout amusée
Tu travaillais durant l’été
Dans un état qui te plaisais
Et en Septembre que tu connais
T’entraîner à mieux relaxer
Devant chez toi au trois cent trente
Je t’ai reconduis en balade
Je suis parti sans accolade
Et me voici au 330
Merci!
Moreny
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