Je ne sais pourquoi ,
Toi , non plus !
Quelques métres , une table ,
Nous séparaient !
On se serait retrouvé de dos ,
La normalité aurait pesé de sa présence ,
Toi , parlant de tout et de rien avec ton mari ,
Moi de Paris , la France et travail avec ma collégue !
J'ai vite su ,
A chaque fois attendu ,
Ton regard qui se levait ,
Cherchant le mien ,
Quelques instants ,
Pour comprendre que c'étais le mien ,
Que tu cherchais .
Je mes suis , à un moment retourné ,
Voir ce qu'une si belle femme , pouvait chercher du regard de cette maniére , douce et insistante !
Un des nombreux tableaux ?
Ou objets d'art supendus aux murs ?
Un des anglais attablés à côté ?
Ton mari , s'est levé ,
M'a suivi aux toilettes ,
Voir qui était celui qui détournait ,
Impudique le regard de sa belle !
J'aurais tellement préféré que ce soit toi !
Je t'aurais dit , bonjour
J'aurais senti ton parfum , ton souffle !
Tu as du mal à manger ton désert !
J'ai pensé que tu voulais reculer l'échéance ,
Le moment où il fallait que nos regards cessent de se toucher !
J'ai repris un 3. café ,
Pour retarder la fin !
Fin il devait y avoir ,
Merci pour ces caresses , du regard
Ces paroles , sans voix !
Ce geste léger et doux de la main pour me dire bye !
Cette main fine et belle ,
Légérement levée à moitié !
En sortant , un regard ,
Non , il devait être autre chose que le dernier !
Il fût long ,
Je le voulais ,
Nous le voulions , je crois ,
Infini , fixé sur l'autre ,
Doux et cruel , car innasouvi !
Ma collégue a compris ,
Cette recherche du regard de l'autre ,
Ces instants de silence à vouloir t'entendre ,
Devinant les mots que tu prononcaient ,
La nature de ta relation vers ton mari !
Tout cela ne pouvait passer inaperçu !
Folie , rêve ou simple fantasme ?
A un moment , je me suis pris à rêver !
Je t'ai vu te lever ,
Venir t'asseoir à notre table ,
En silence ,
Laissons nos regards parler ,
Laissons les se toucher !
Saïd
Paris st michel /dec 17
PS : g aimé le relire ! g donc pensé que vous aussi , peut-être ?
Toi , non plus !
Quelques métres , une table ,
Nous séparaient !
On se serait retrouvé de dos ,
La normalité aurait pesé de sa présence ,
Toi , parlant de tout et de rien avec ton mari ,
Moi de Paris , la France et travail avec ma collégue !
J'ai vite su ,
A chaque fois attendu ,
Ton regard qui se levait ,
Cherchant le mien ,
Quelques instants ,
Pour comprendre que c'étais le mien ,
Que tu cherchais .
Je mes suis , à un moment retourné ,
Voir ce qu'une si belle femme , pouvait chercher du regard de cette maniére , douce et insistante !
Un des nombreux tableaux ?
Ou objets d'art supendus aux murs ?
Un des anglais attablés à côté ?
Ton mari , s'est levé ,
M'a suivi aux toilettes ,
Voir qui était celui qui détournait ,
Impudique le regard de sa belle !
J'aurais tellement préféré que ce soit toi !
Je t'aurais dit , bonjour
J'aurais senti ton parfum , ton souffle !
Tu as du mal à manger ton désert !
J'ai pensé que tu voulais reculer l'échéance ,
Le moment où il fallait que nos regards cessent de se toucher !
J'ai repris un 3. café ,
Pour retarder la fin !
Fin il devait y avoir ,
Merci pour ces caresses , du regard
Ces paroles , sans voix !
Ce geste léger et doux de la main pour me dire bye !
Cette main fine et belle ,
Légérement levée à moitié !
En sortant , un regard ,
Non , il devait être autre chose que le dernier !
Il fût long ,
Je le voulais ,
Nous le voulions , je crois ,
Infini , fixé sur l'autre ,
Doux et cruel , car innasouvi !
Ma collégue a compris ,
Cette recherche du regard de l'autre ,
Ces instants de silence à vouloir t'entendre ,
Devinant les mots que tu prononcaient ,
La nature de ta relation vers ton mari !
Tout cela ne pouvait passer inaperçu !
Folie , rêve ou simple fantasme ?
A un moment , je me suis pris à rêver !
Je t'ai vu te lever ,
Venir t'asseoir à notre table ,
En silence ,
Laissons nos regards parler ,
Laissons les se toucher !
Saïd
Paris st michel /dec 17
PS : g aimé le relire ! g donc pensé que vous aussi , peut-être ?
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