COMME UN MONDE PARFAIT
le voilà enfin, le soleil
Cette douceur incomparable
Ces rayons jaunes chevelure de fée
cette chaleur "luisante"un moi de Mai
Moi , seul sur l'herbe allongé
Des papillons qui volent tout près de mon nez
Mon esprit frivole, prend son envole
Vers des cieux plus vaste , je pense plus gais
Tu sais !. la beauté du coin ça se manifeste
Elle te prend des mains , te fait oublier le reste
Ces oiseaux qui chantent , je crois entendre un orchestre
Ces petits nuages aux alentours , forme une voûte céleste
Et ses arbres magnifiques aux troncs bien droits
Ne serait-ce pas des piliers qui tiennent ce jolie toit
Ces branches et ces feuillages qui s’unissent au loin, qui s'entrelacent
Ne forment elles pas les murs de la salle et la place
Cette herbe humide d'une rosée matinale
Au touché elle te guide vers cette grande sale
Ta dulcinée est là parmi tant de fleurs
Elle te voit venir ce joli coeur
Elle ne voit que toi, parmi ceux et celles ,
Elle ne pense qu'à toi cette jolie pucelle
Toi tout en approchant ton coeur est tout frêle
Il va voler , tu lui vois naître des aile
Il n'apprécit guère la manière dont tu cours
Vers elle tu dois a la sienne prendre des cours
Elle le mérite bien , même plus que bien
Comparé a sa beauté, rien de ses superlatifs ne tient
Comparé a sa gaieté , la joie de vivre de mes semblables
Ne serait et je le dis qu'un petit grain de sable
Comparé a sa générosité , de toutes c'est elle
Sans le moindre doute , sans aucun excès de zèle
Enfin :Le passé est loin ,l’avenir incertain
Prenez là des deux mains, quand elle se présente
L’occasion est une . Seule quand elle se valent
Râtez- là et, vous et vos pécunes ne feraient que dalle
Vous voilà , tout deux , dans le rêve entrelacés
Un moment unique qui fait oublié l'avenir aussi le passé
Le moment qui compte , c'est bien le présent
Poser la question à quiconque ,il vous répond
Que moi j'ai raison
SIN et SAIN
ORIFARDI
le voilà enfin, le soleil
Cette douceur incomparable
Ces rayons jaunes chevelure de fée
cette chaleur "luisante"un moi de Mai
Moi , seul sur l'herbe allongé
Des papillons qui volent tout près de mon nez
Mon esprit frivole, prend son envole
Vers des cieux plus vaste , je pense plus gais
Tu sais !. la beauté du coin ça se manifeste
Elle te prend des mains , te fait oublier le reste
Ces oiseaux qui chantent , je crois entendre un orchestre
Ces petits nuages aux alentours , forme une voûte céleste
Et ses arbres magnifiques aux troncs bien droits
Ne serait-ce pas des piliers qui tiennent ce jolie toit
Ces branches et ces feuillages qui s’unissent au loin, qui s'entrelacent
Ne forment elles pas les murs de la salle et la place
Cette herbe humide d'une rosée matinale
Au touché elle te guide vers cette grande sale
Ta dulcinée est là parmi tant de fleurs
Elle te voit venir ce joli coeur
Elle ne voit que toi, parmi ceux et celles ,
Elle ne pense qu'à toi cette jolie pucelle
Toi tout en approchant ton coeur est tout frêle
Il va voler , tu lui vois naître des aile
Il n'apprécit guère la manière dont tu cours
Vers elle tu dois a la sienne prendre des cours
Elle le mérite bien , même plus que bien
Comparé a sa beauté, rien de ses superlatifs ne tient
Comparé a sa gaieté , la joie de vivre de mes semblables
Ne serait et je le dis qu'un petit grain de sable
Comparé a sa générosité , de toutes c'est elle
Sans le moindre doute , sans aucun excès de zèle
Enfin :Le passé est loin ,l’avenir incertain
Prenez là des deux mains, quand elle se présente
L’occasion est une . Seule quand elle se valent
Râtez- là et, vous et vos pécunes ne feraient que dalle
Vous voilà , tout deux , dans le rêve entrelacés
Un moment unique qui fait oublié l'avenir aussi le passé
Le moment qui compte , c'est bien le présent
Poser la question à quiconque ,il vous répond
Que moi j'ai raison
SIN et SAIN
ORIFARDI
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