Il était jeune il souriait,
Dans son uniforme, il la regardait
Il était beau, elle l’aimait.
« Pour mon seul et unique amour »
En dédicace
C’était eux en photo, en duo
Une photo jaunie par les années
Un sourire radieux les irradiait
Elle l’aimait tant
Il l’aimait tellement
Et maintenant qu’il est parti
Elle se demande pourquoi elle vit
Sans lui
Juste une photo jaunie
Dans cet album ternie
Par le poids des années passées
Juste à s’aimer
Il était là à chaque instant
Elle était là à chaque tourment
Il ne se quittait que très rarement
Ils étaient amoureux tout le temps
Quand il partait de bon matin
L’air était calme et serein
D’un doux bisous sur la joue
Il l’embrassait timidement
Surtout pas devant les enfants
Ils étaient seuls pourtant,
est ce qu’ils le savaient ?
On le savait on ne disait rien
Elle était là et le suivait
Jusqu’au bout de la route qu’il empruntait
C’était la même chaque matin
Mais c’était différent à chaque matin
Il était là sur le chemin
Faisant un signe de la main.
Puis il n’y avait plus qu’un point
Il était loin
Nous on regardait caché
Et on pouffait comme des benêts,
L’amour on trouvait ça idiot
On les croyait fous et c’était nous
Il était là à chaque instant
Elle était là à chaque moment
Et maintenant qu’il est parti
Qu’il est parti au paradis
Elle regarde encore ce chemin
Elle ne voit rien
Même pas un point
morjane
14/04/05
Dans son uniforme, il la regardait
Il était beau, elle l’aimait.
« Pour mon seul et unique amour »
En dédicace
C’était eux en photo, en duo
Une photo jaunie par les années
Un sourire radieux les irradiait
Elle l’aimait tant
Il l’aimait tellement
Et maintenant qu’il est parti
Elle se demande pourquoi elle vit
Sans lui
Juste une photo jaunie
Dans cet album ternie
Par le poids des années passées
Juste à s’aimer
Il était là à chaque instant
Elle était là à chaque tourment
Il ne se quittait que très rarement
Ils étaient amoureux tout le temps
Quand il partait de bon matin
L’air était calme et serein
D’un doux bisous sur la joue
Il l’embrassait timidement
Surtout pas devant les enfants
Ils étaient seuls pourtant,
est ce qu’ils le savaient ?
On le savait on ne disait rien
Elle était là et le suivait
Jusqu’au bout de la route qu’il empruntait
C’était la même chaque matin
Mais c’était différent à chaque matin
Il était là sur le chemin
Faisant un signe de la main.
Puis il n’y avait plus qu’un point
Il était loin
Nous on regardait caché
Et on pouffait comme des benêts,
L’amour on trouvait ça idiot
On les croyait fous et c’était nous
Il était là à chaque instant
Elle était là à chaque moment
Et maintenant qu’il est parti
Qu’il est parti au paradis
Elle regarde encore ce chemin
Elle ne voit rien
Même pas un point
morjane
14/04/05
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