Voila un souvenir que jai ecrit le 18/06/91
bien avant le cataclysme.
Quelque chose se prépare
d'une dimension énorme !
Pays de mes ancêtres ,
algérie bien aimée,
qu'a donc cette jeunesse
à vouloir te briser ?
et qui sont derrière elle ?
Les gens de raison,
se doivent d'intervenir,
d'arrêter ce massacre !
Toi, hier tu étais mon ami,
Toi, hier tu étais mon voisin,
Toi, hier tu étais mon frère,
Tu te cristallises, le sais tu ?
Autour d'une idée saugrenue.
Et moi, qui suis pacifique,
Je deviens ton ennemi.
Et je suis l'homme a abattre.
Les gens de raison,
pourquoi se cachent ils ?
Pourquoi tout ce silence,
Alors que le tumulte ,
Etant a l'apogée,
risque de détruire ce peuple.
Sens tu cette crispation,
au fond de tes entrailles,
cet appel déchirant,
qui monte et s'amplifie,
cette certitude de voir
le pays dans le sang ?
Et puis cet espoir
Et puis cette impression
Que rien ne sera plus
comme nous l'avons connu
Tout aura change
Lorsque le cataclysme
aura tout balayé
lorsque les gens iront
reconnaitre leurs morts
avec des yeux hagards
en parcourant les rues
jonchées de cadavres.
bien avant le cataclysme.
Quelque chose se prépare
d'une dimension énorme !
Pays de mes ancêtres ,
algérie bien aimée,
qu'a donc cette jeunesse
à vouloir te briser ?
et qui sont derrière elle ?
Les gens de raison,
se doivent d'intervenir,
d'arrêter ce massacre !
Toi, hier tu étais mon ami,
Toi, hier tu étais mon voisin,
Toi, hier tu étais mon frère,
Tu te cristallises, le sais tu ?
Autour d'une idée saugrenue.
Et moi, qui suis pacifique,
Je deviens ton ennemi.
Et je suis l'homme a abattre.
Les gens de raison,
pourquoi se cachent ils ?
Pourquoi tout ce silence,
Alors que le tumulte ,
Etant a l'apogée,
risque de détruire ce peuple.
Sens tu cette crispation,
au fond de tes entrailles,
cet appel déchirant,
qui monte et s'amplifie,
cette certitude de voir
le pays dans le sang ?
Et puis cet espoir
Et puis cette impression
Que rien ne sera plus
comme nous l'avons connu
Tout aura change
Lorsque le cataclysme
aura tout balayé
lorsque les gens iront
reconnaitre leurs morts
avec des yeux hagards
en parcourant les rues
jonchées de cadavres.
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