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  • Hayet écrit ...

    Libre de mouvements, possédée je me sens
    Rêveuse que je suis, semblant de vérité
    Désir voulu, une douce nostalgie
    Gestes anodins, touché sans fin
    Une larme se dépose sur ma joue rose
    Rose épanouie, épineuse de beauté
    Regard perdu dans le vide rempli
    Etoile filante dans un ciel éclairé
    L’espace d’une nuit où la lune brille
    Calme profond, vibre le vent
    Une sphère emprisonne les pensées révoltées
    Un jour passe et les nuits se dépassent
    Instant recherché, perdu dans l’inconnu
    Le monde se résume au creux d’une main fragile
    D’une graine d’âme plantée, germent les cœurs agiles
    Feuilles mortes, saison aux couleurs orangées
    Danse capricieuse qui tourbillonne, abandonnée
    Le temps gris se fige pour mieux admirer
    Un spectacle souvent joué mais oh combien incontrôlé
    Une bougie parfumée à peine consommer
    Cette page blanche de mes mots se nourrit
    L’esprit confus à travers ma plume se confie
    Ainsi se fait intime de ce geste libéré
    Les yeux pétillants de ce cadeau reçu
    Inattendu destin qui me lie à l’infini
    Cet air sans fin qui contient ce parfum
    D’une nature généreuse, un don divin.


    :1039989653:
    "Quand l’inspiration devient poésie"

  • #2
    Salam aalikoum :slt:

    Ramadan karim o saha ftourkoum !

    "Quand l’inspiration devient poésie"

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    • #3
      Comme toujours, tu nous émerveilles avec tes écrits magiques, Hayet!

      Merci pour cet excellent poème et ramadan karim à toi aussi :1039989653:

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      • #4
        Ce fut un plaisir Anakin

        "Quand l’inspiration devient poésie"

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        • #5
          Azul Hayet

          :slt: Heureuse de te relire Hayet, C'est toujours aussi beau.

          Saha f'tourkoum

          Commentaire


          • #6
            Azul Hayet

            Rose épanouie, épineuse de beauté
            Regard perdu dans le vide rempli
            Etoile filante dans un ciel éclairé
            L’espace d’une nuit où la lune brille
            Calme profond, vibre le vent
            La figure de style employée est la métonymie?Tu as vraiment du talent. J'ai essayé, de composer un poème, il est vraiment laid.

            Cordialement :slt:

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            • #7
              Saha ftourkoum !

              Salam Lisebeth,

              J'écris les mots qui me viennent, et j'essaye de les faire rimer pour mieux exprimer ce qui m'inspire sur le moment. (Il m'arrive de me surprendre moi-même) :wink:

              Ton poème ne peut-être laid, puisqu'il est composé en partie ...de toi. :slt:
              "Quand l’inspiration devient poésie"

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              • #8
                Azul fellak ay Hayet

                -Es tu une pomponnette ou un garçon?
                -Non, je ne sais pas composer de poèmes. Je poste un poème émouvant sur la condition des jeunes à Alger. J'avais lu recemment dans un journal qu'il y aura dans le futur des graves conséquences sur l'avenir des jeunes en Algérie dont un grand nombre sont sans logement, sans travail et ont du mal à se marier

                Les enfants d'Alger ont des regards brûlants.

                Dans les rues d'Alger vivent sur des cartons
                De nombreuses familles qui n'ont pour horizon
                Que laideur et misère, violence et destruction.

                Dans les rues d'Alger, on se bat, on se tue,
                Quand on fait les poubelles pour quelques détritus
                Qui serviront alors de maigre collation.

                Dans les rues d'Alger on voit se prostituer
                De jeunes et petites filles qui viennent vous chercher,
                Proposer du plaisir pour gagner quelque argent
                Contribuant à nourir leurs frères, leurs parents.

                Les enfants d'Alger ont des regards brûlants,
                Ils se droguent et se tuent,
                Volent et se prostituent.

                Les enfants d'Alger ne sont plus des enfants
                Mais des âmes perdues et meurtries de douleur,
                Des êtres sans salut, sans espoir de bonheur.

                Dans les rues d'Alger, si vous avez le coeur
                Qui se serre de dégoût, de révolte et d'horreur,
                Peut-être pourrez-vous vous tourner vers les cieux,
                Mais dites-moi comment ne pas douter de Dieu
                En voyant le malheur qui frappe ces enfants !

                -J'ignore le nom de l'auteur de ce poème .

                ar tufat :slt:

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