Petite fille au visage frêle,
Ouvre-moi ton coeur que j'y dessine l'arc-en-ciel.
Laisse-moi te dire que tu es forte, que tu es belle.
Petit ange déchu, trop jeune pour supporter cette souffrance,
Malheur à celui qui t'a fait perdre à jamais ton innocence !
Honte à cet homme qui a souillé ton corps si pur,
Qui a brûlé ton coeur, qui t'a rendu si dure !
Seule dans cette pièce tu as hurlé, tu as pleuré,
Tu t'es détesté, tu as sombrer mais il a continué !
Il t'a laissé tremblante, souffrante, presque mourante,
Tu t'es senti sale, démuni de vie et dégoutante.
Petite fille aux yeux si touchants,
Rien ne sera comme avant, c'est ton âme qui saigne à présent.
Je voudrais effacer ton mal, prendre ta douleur,
Gommer tes larmes et tuer ton malheur !
C'est ta vie qu'il a violé, c'est ton corps qu'il a déchiré,
Tu devras vivre avec désormais et hélas tu ne pourras l'oublier.
Petite fille aux cheveux noirs,
Tu ne souris plus, tu n'as plus d'espoir,
Tu portes en toi même le désespoir !
Ouvre-moi ton coeur que j'y dessine l'arc-en-ciel.
Laisse-moi te dire que tu es forte, que tu es belle.
Petit ange déchu, trop jeune pour supporter cette souffrance,
Malheur à celui qui t'a fait perdre à jamais ton innocence !
Honte à cet homme qui a souillé ton corps si pur,
Qui a brûlé ton coeur, qui t'a rendu si dure !
Seule dans cette pièce tu as hurlé, tu as pleuré,
Tu t'es détesté, tu as sombrer mais il a continué !
Il t'a laissé tremblante, souffrante, presque mourante,
Tu t'es senti sale, démuni de vie et dégoutante.
Petite fille aux yeux si touchants,
Rien ne sera comme avant, c'est ton âme qui saigne à présent.
Je voudrais effacer ton mal, prendre ta douleur,
Gommer tes larmes et tuer ton malheur !
C'est ta vie qu'il a violé, c'est ton corps qu'il a déchiré,
Tu devras vivre avec désormais et hélas tu ne pourras l'oublier.
Petite fille aux cheveux noirs,
Tu ne souris plus, tu n'as plus d'espoir,
Tu portes en toi même le désespoir !
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