Du phénix qui renaît de ses cendres
Il me reste un cœur de Décembre
Mois de Noël des cadeaux des offrandes
Au Dieu du commerce et de l'industrie
Devant tous ses achats éclatants et brillants
D'autres sont plus sincères moins éclairs
Ils sont là dans la vie avec nous
Ils sont pour nous maintenir debout
Ils sont là et pourtant personne ne le voit
IL est là et ne s'achète pas
Ça se donne ou plutôt ça s'offre
Désintéréssé spontané
Mais parfois mûrement réfléchit
Ne peut le recevoir que celui
Qui peut donner,
IL permet de tenir
Quand le cœur est en berne
De sa vie ,de son désespoir
IL permet de tenir pas tomber
Juste trébucher
IL permet de sourire
Quand le cœur est en sang
Plein d'aigreur et de tourment
Il permet de souffrir
Avec plus de délices
Car on sait par avance
Qui sera le vain cœur
Il permet de sortir la tête
Hors de l'eau
Pour ne pas se noyer s'étouffer
Quand l'oxygène est parti
Avec l'amour de sa vie
Il est là et nous fait pleurer
De rire,
Nous sort de l'ennui
Et du train train quotidien
Nous inonde de tendresse
De sa force de sa faiblesse
Et quand on le possède
On le garde bien au chaud
Bien en nous
Pour qu'il ne s'enrhume pas
Ce cadeau si beau
Dans ce monde d'assoiffés
De pouvoir de richesse et de gloire
Maquillés aux couleurs
Du mensonge ;
Ce cadeau si précieux et si beau
Il se nomme :
L'Amitié !
Morjane
Il me reste un cœur de Décembre
Mois de Noël des cadeaux des offrandes
Au Dieu du commerce et de l'industrie
Devant tous ses achats éclatants et brillants
D'autres sont plus sincères moins éclairs
Ils sont là dans la vie avec nous
Ils sont pour nous maintenir debout
Ils sont là et pourtant personne ne le voit
IL est là et ne s'achète pas
Ça se donne ou plutôt ça s'offre
Désintéréssé spontané
Mais parfois mûrement réfléchit
Ne peut le recevoir que celui
Qui peut donner,
IL permet de tenir
Quand le cœur est en berne
De sa vie ,de son désespoir
IL permet de tenir pas tomber
Juste trébucher
IL permet de sourire
Quand le cœur est en sang
Plein d'aigreur et de tourment
Il permet de souffrir
Avec plus de délices
Car on sait par avance
Qui sera le vain cœur
Il permet de sortir la tête
Hors de l'eau
Pour ne pas se noyer s'étouffer
Quand l'oxygène est parti
Avec l'amour de sa vie
Il est là et nous fait pleurer
De rire,
Nous sort de l'ennui
Et du train train quotidien
Nous inonde de tendresse
De sa force de sa faiblesse
Et quand on le possède
On le garde bien au chaud
Bien en nous
Pour qu'il ne s'enrhume pas
Ce cadeau si beau
Dans ce monde d'assoiffés
De pouvoir de richesse et de gloire
Maquillés aux couleurs
Du mensonge ;
Ce cadeau si précieux et si beau
Il se nomme :
L'Amitié !
Morjane
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