La force d’aimer
Elle est arrivé un jour de septembre ou décembre !
Je me rappelle plus comme si c’était si lointain
Une journée pluvieuse, froide, sèche à mon goût
Comme à chaque hiver..
Ma maladie était au rendez-vous
Je commençais peine à me reprendre en main d’un sou
Je ne me souviens que d’un son presque absent !
Qui flûtait un mot tendrement calme et drôle
Une voix pétillante à mon oreille,
Pour me dire : Bonjour cher ami je suis une personne,
Qui vous a connu d’un certains temps..
Mais sur un temps qui ne vous connaît pas !
Très curieux je me rapproché de dix pas..
Et l’histoire commençait déjà avec un amour
Un amour timide se cachant derrière chaque mot
Chaque syllabe, chaque geste et manière
On croyait se baigné dans le plain vrai délire
Sur le sable mouillé d’une eau de parfum claire
L’odeur parfaite d’une femme,
Une femme parfaite à l’odorat,
Bien sur, j’exagère dans ma superstition sentimentale
Mais c’est une femme pas comme les autres
Une femme comme moi je l’aime.. et comme je l’aime
Je dirai encore tant d’expressions et d’exceptions
De ma fascination..
Pour cette cavalière qui a su surmonter tous les obstacles
Jusqu’à mon cœur, au sommet de mes indifférences
Mon cœur qui était brisé fatigué d’aimer sans rien sentire
Sans référence..
Qui se résigna décidément dans la solitude volontaire
Pour fuire le soleil doux, le jaune et le vert du printemps
Fuir avec le vent de liberté comme un libertin insoucieux
Elle, elle m’a arraché d’un désespoir solide périlleux
Elle m’a retenu la main par amour et compassion
Par abnégation, admiration et passion
Je sais qu’elle en assimilera pas toutes ces aspirations
Car modestement elle ne se croit que comme toute compagne
D’un respectueux jeune homme à ses années
Elle était là, toujours là, pour moi
J’espère que je serais toujours là pour elle..
Postr@
Elle est arrivé un jour de septembre ou décembre !
Je me rappelle plus comme si c’était si lointain
Une journée pluvieuse, froide, sèche à mon goût
Comme à chaque hiver..
Ma maladie était au rendez-vous
Je commençais peine à me reprendre en main d’un sou
Je ne me souviens que d’un son presque absent !
Qui flûtait un mot tendrement calme et drôle
Une voix pétillante à mon oreille,
Pour me dire : Bonjour cher ami je suis une personne,
Qui vous a connu d’un certains temps..
Mais sur un temps qui ne vous connaît pas !
Très curieux je me rapproché de dix pas..
Et l’histoire commençait déjà avec un amour
Un amour timide se cachant derrière chaque mot
Chaque syllabe, chaque geste et manière
On croyait se baigné dans le plain vrai délire
Sur le sable mouillé d’une eau de parfum claire
L’odeur parfaite d’une femme,
Une femme parfaite à l’odorat,
Bien sur, j’exagère dans ma superstition sentimentale
Mais c’est une femme pas comme les autres
Une femme comme moi je l’aime.. et comme je l’aime
Je dirai encore tant d’expressions et d’exceptions
De ma fascination..
Pour cette cavalière qui a su surmonter tous les obstacles
Jusqu’à mon cœur, au sommet de mes indifférences
Mon cœur qui était brisé fatigué d’aimer sans rien sentire
Sans référence..
Qui se résigna décidément dans la solitude volontaire
Pour fuire le soleil doux, le jaune et le vert du printemps
Fuir avec le vent de liberté comme un libertin insoucieux
Elle, elle m’a arraché d’un désespoir solide périlleux
Elle m’a retenu la main par amour et compassion
Par abnégation, admiration et passion
Je sais qu’elle en assimilera pas toutes ces aspirations
Car modestement elle ne se croit que comme toute compagne
D’un respectueux jeune homme à ses années
Elle était là, toujours là, pour moi
J’espère que je serais toujours là pour elle..
Postr@
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