l'aube de l'obscur !
son coeur me fait mal
il torture ma poitrine
il veut s'échapper
de mes entrailles
il ne m'apporte rien de plus
de ce que je ne possède déjà
seul l'intérêt de ce guerrier
qu'il lui vouait
ce trésor m'interessait
le reste m'etait complétement
indispensable
je voulais savoir pourquoi
il ne m'aimait pas
pourquoi il m'a trompé
sans peine
alors que j'étais là
lui ayant offert l'immortalité
contre un mot
une attention
même celui qui était près de moi
je l'ai chasser de mes terres
pour lui plaire
mais
il était préoccupé par ses chants
j'ai fouillé sans honte
les moindres parcelles
de ces vaisseaux
de ces arthères
son sang coule en moi
essayant de s'échapper
par ma bouche
je le retiens
l'empechant de s'échapper
mon dragon est mort
ce fut si dure de survivre
également cela
mais ce chevalier blanc
m'a fait parvenir
à l'aube de l'obscur
un oeuf gris
la joie fut immense
quand celui ci c'est fendu
laissant apparaitre
trois petites têtes
fragiles, carnassières
d'un petit dragon
le bonheur a fait jaillir
de mes yeux
ce sang coagulant
ma robe tachée n'était que plus belle
je l'aide avec grande tendresse
a libérer de sa coquille
mon nouveau né
je le porte a mes lèvres
et sans la moindre hésitation
la lèche
engloutit ce sang ténébreux
poussant des cris
faisant apparaître des petites flammes
cette nuit j'ordonne la fête
je souhaite lui offrir
un repas de Maître
d'un pas décidé
je me rends aux cellules
je fais capturer par ma garde
une de ces prisonnières
elle sera préparer selon mes rituels
et offert en pature a mon ami
mon enfant, ma descendance
mon dragon
lily
la diablesse!
"pubiquement diaqbolique"
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Le son du glas
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Invité a réponduJe ne peux te toucher
et par telekinesie
d un souffle j envoie
le mouchoir de soie
pour t effleurer.
ce tissu et ce qu il representait
pour lequel je me suis damné.
du haut de ma fierté
je te jauche et t entends
le condamner en hurlant
a quoi bon! laisse le donc
sa vie n est que marasme
il n aimait que ses illusions
il pronait sa foi
comme gage d honneteté
ne sait il pas que l on ne ment qu aux humains
ses mots a la bave de chiens
polluent tous ceux qui l ont croisé
la rage est son energie
sa rancoeur une ignominie.
ne salit pas ta noirceur
par un peu de couleur,
rouge sanguinolant
ne va pas avec obscur purifiant.
Regarde dans ta cour
ces mendiants qui font la cour
et s en vont en s envolant
gonglés a bloc par leurs egos
et ces libertines aux yeux cajoleurs
parfumées a la flagonerie...
Rapproche ton Trucidor
caresse le de tes mains
qui ont trop griffées
en oubliant d effleurer
celui qui t es fidele
qui te rends belle
dans ta delicieuse ame
de diablesse
tu as mon coeur a present
et tu devras lutter constament
entre l egoisme et l empathie
la haine et son ironie
l obscurantisme et l impassibilité
je serai la pour essayer
d inhaler mes qualités
afin qu elle ne rendent pas
ton ame enclins
a attirer les gueux
aux desseins
visceux...
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-
oui zac tu es raison entre une princesse des ténèbres et la diablesse on peut rien rajouté merci à vous les filles bravoDernière modification par agour amechtouh, 06 février 2008, 20h22.
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-
Rien n’est plus passionnant à entendre que le ‘’dialogue’’ entre une princesse des ténèbres et une diablesse. Un échange de ‘’confidences’’ qui vous tient en haleine et combien passionnant.
Enfin, enfin, enfin, un topic qui n’est pas pollué.
Merci les filles.
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-
tissus soyeux
son sang
a séché sur mon visage
il me tiraille la peau
je ne veux m'essuyer
les morceaux de miroirs
brisés sur les dalles noirs
reflètent la densité
de ma colère
pourquoi m'a t'elle trahi
en me quittant ainsi
mon armée est partie
à la recherche de celui
qui est la cause
de cette névrose
son coeur désormais
est en moi
jamais il ne pourra s'appaiser
il va battre au rythme
du mien une chamade
glorieuse glorifiant
ce chevalier en lui chantant
des chants venant d'elle
ma tromperie sera t elle
qu'il sera pris au piège
mes guerriers me le rameneront
je l'ordonne, je l'exige!
même une épave de sa chaire
me suffira amplement
pour assouvir ma vengeance
il ne me reste d'elle
que le souvenir de sa voix
qui me parlait si bas
dans mes émoies
de Reine
je reste là
sans bouger
j'attends un souffle
un murmure de son âme
je sais qu'elle me reviendra
elle partira par les mondes
de lumière chassant
sans merci la paix
cherchant dans le désespoir
de son geste la clef
de son échapatoir
le vent m'a poussé a mes pieds
un tissus soyeux
je le pousse sans preter attention
le vent insistait
me le collant sur ma cheville
je baisse le regard
et là
il y avait ce fameux mouchoir
je le ramasse délicatement
je le respire
esperant trouvé leur odeur
je le brandis au ciel
et j'hurle
Princesse des Ténèbres
tu m'as fuie mais regarde
ce que tu as oublié dans
ton empressement de rejoindre
le monde du néant
cela, ce que tu me cachais
ce bout de chiffon
qui ne sent rien
celui qui pour toi était si important
seule j'ai été depuis
toutes ses années d'errance
attendant le retour
de celui qui ne voulait plus me voire
un sourire cruel se dessina sur mes lèvres
il sera forcer de m'aimer
tant que tu seras en moi
Princesse des Ténèbres
je te rendrai ton coeur
en échange du sien
a vous les gueuses
qui se riacanaient sur mon passage
j'arrive et je vous promet
un chatiment tel
que vos cris dechireront
hanteront la moindre parcelle
de terre des âmes soi disante
respectables
je vous maudit jusqu'a la fin des temps
lily
la diablesse!
"pudiquement diabolique"
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-
Invité a répondudes faisceaux de lumieres
m ouvrent les bras
je me sens si legere
loin de toutes les souffrances
que portaient cette terre
ou suis je ?
je ne le sais guere
je ne ressent ni desarroi
ni de grande joie
une voix au son de tonnerre
s adresse a moi
''De quel droit t otes tu la vie
quand dans ton destin
cette date n etait point ecrite"
les lumieres s amenuisent
je ressent une opression
c est l angoisse qui me dit :
je te suis fidele o princesse!
je tombe... je tombe
dans une chute sans fin
un vide me happe
que se passe t il ?
des sons de flutes
sifflent dans mes oreilles
et ces brides de mots
que je capte legerement
'ton coeur ne t a pas suivi
pour ce crime commit
ta repentance ne se fera
qu au prix d une errance
a l infini''
le noir total s offre a moi
desormais...le donjon
a jamais ma prison
j erre dans mon lieu de perdition
Elle est la !
torturant les gueuses
qui avaient osé se moquer
de sa souffrance quand je l ai quitté..
Elle ne me voit pas,
et pourtant je suis la
si prés...
Ma main s essaie a caresser
son visage crispé,
je ne fais que le traverser.
O ma reine,
quelle est donc cette destinee?
ou est mon role
dans cette funeste épopée?Dernière modification par absente, 04 février 2008, 22h23.
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-
Guerrier tsella !
une raisonnance mortuaire
résonne dans ma tête
tels des marteaux tapant
sur des morceaux de fer
grinçant insuportable
vulnérable
j'étais forcée à l'écouter
quand un long frisson
parcourt mon corps
glacial, bestial
mon âme veut s'échapper
de mon enveloppe
elle me cogne à l'intérieur
m'étrangle
m'empêche de respirer
m'étouffe
quand sans raison apparente
je me suis mise à courir
à travers les couloirs
de mon manoir
comme une folle
je me dirige vers la tourelle
sans me rendre compte
que je me faisais mal
mal à mes émotions
mal à ma force interieur
les larmes ne pouvaient sortir
elles noyaient mon esprit
un souffle m'accompagnait
dans ma course furieuse
je tombe je me relève
je l'ai reconnue
ma robe je la déchire
m'empechant d'aller plus vite
les gueuses ricanaient
sur mon passage
se moquaient, se moquaient
riaient a s'en rendre hystériques
chantaient a tue tête
des sons de requiem
les violoncelles battaient leur plein
ces pucelles vociféraient en rebelles
dès que j'aurai découvert
leur acharnement de vipères
je m'occuperai particulièrement
de chacune d'entre elle
sans peine,
avec la plus grande haine
je leur ferai regretter leur moquerie
en festoyant leur agonie
arrivée devant ses appartements
la porte n'était plus
déchiquetée, anéantie
la Princesse des Ténèbres
était là allongé
à même le sol
je lance un cris sauvage
en me jetant à terre
je rampe jusqu'a son corps
je la secoue, je la prends dans mes bras
je lui carresse les cheveux
je panique la perte
de ma protégé
elle est là
sans vie
son regard à jamais fermé
j'essaie pourtant de la ramener
à la vie en disant
des remèdes de resurection
j'implore mes Démons
mais rien
Comment vous ne me servez a rien
vous n'etes que des vauriens
je vous chasse
je vous congédie
vous n'etes que des incapables
ses cheveux noirs si beaux
donnaient à son visage
un appaisement de douceur
comme une enfant
j'osais espérer entendre
le battement de son coeur
près d'elle une fiole
je la prends
l'odeur de cette potion
dont seul le guerrier
connaissait l'existence
était là
je me lève
les murs éclattés
laissaient percevoir le sombre
de ma colère inviolable
mes loups, mes hyennes
mes rapaces scrutent chacun
de mes mouvements
attendent le signe
de la traque mortelle!
Désormais j'interdit
toute luminosité sur mon monde
je veux l'âme de celui
qui se prétendait Sir
le guerrier qui m'a encore trahi
le vent fouette sans merci ma terre
mes volcans se réveillent un par un
aux éclats rougeoyants
laissant s'échapper une chaleur extrème
brulante, calcinant le peu qui reste
de potable dans mon domaine
dans ma main la lame d'argent
je m'approche de la Princesse
et sans hésitation sans remord
sans pardon je fais une entaille
et je retire son coeur
que je mange, que j'affectionne
elle reviendra hanté ma vie
en symphonie
ta vie en chant évoquant ta mesquinerie
je l'ordonne, je le veux
je suis la Reine!
la Reine des Diablesses!!
mes soldats vaillants, fidèles
sont là debout devant moi
en garde à vous
attendent un ordre de ma part
un mouvement de ma main
les voilàs prenant la beauté
aussi légère qu'un nuage noir
elle flotte à porté de bras
sa robe danse
aux rytmes de leur pas
je contemple celle
que je ne verrai plus près de moi
d'une voix claire
je me suis mise à hurler
en m'adressant au guerrier
Sir tsella
jamais, jamais
tu m'entends
je ne te laisserai
avoir la satisfaction d'avoir gagné
désormais elle est en moi!
je te déclare la guerre des âmes
de cette lame je t'arracherai ton coeur
et je me ferai un plaisir
non de le manger car tu serais près d'elle
mais de l'offrir aux gueuses
sans cervelles de festoyer celui ci en diner
je me réjouie à l'avance de ce spectacle
Moi Moi la Reine je vocifère
par tous les monts
que ton existence est
sera à jamais un enfer
dans cet univers!
lily
la diablesse!
"pudiquement diabolique"Dernière modification par lily, 04 février 2008, 16h47.
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-
merci Princesse des ténèbres c'est toujours un plaisirs de te lire très jolie
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-
Le son du glas
Tous ce brouhaha
me fait mal, ces voix
immitant la tienne...
Est ce toi qui m envois
des hologrammes
a ton efigie...?
Ces chants assaillants
mes oreilles bourdonnent
je deviens folle,
je fais les cents pas
la tete entre mes mains
en implorant
a ces ames de se taire !
Comment on t ils osés
croire que mes appels
etaient dirigés
vers leurs personnes.
Moi qui n ai jamais posé
la prunelle de mes yeux
sur leurs présences autour de moi
et je les ressens qui virevoltent autour
d une princesse noire,
me laissant croire
qu ils etaient le roi du Maror...
je ne veux plus rien entendre
que le silence de mon noir assourdissant
J ai quitté ce royaume et y suis revenue
j ai cherché la paix dans un monde
où elle n existe que pour les etres
emportées par les jardins de clarté.
O la reine saura tu accepter
que ton donjon de moi soit vidé !
Cette fiole je la regarde
je m agrippe de mes mains tremblantes
a son deversoir
cet elixir aux aromes de folies
extrait d une plante aux vertus
desctructrice issu de la communauté
des Celtors dont j etais la derniere lignée...
Le liquide descend lentement
dans ma gorge,l enflammant,
de douleurs je me tord
les vitres de ma chambre sombre
volent en eclats,
l unique miroir fait d un cristal de l ombre
se brise sur le sol de mon agonie,
ce baldaquin aux couleurs de la nuit
tombe dans un bruit sourd.
Les murs de ma solitude gémissent.
Recroquevillée dans un etat de prostration,
les mains se crispants sur mon giron,
j entend la mort psalmodier...
De mes jambes le froid monte
et se concentre dans mes entrailles
pour faire surgir de ma bouche
un dernier souffle....
éteignant les quelques chandelles
qui eclairaient faiblement le donjon.
Un dernier son pour moi
celui du glas...
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