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mama Fatma

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  • mama Fatma

    ...............................

    ...........
    Désolé,
    les charognards des mots, adéptes du plagiat, m'ont poussé à retirer mes textes.

    .......................
    Dernière modification par Zacmako, 17 décembre 2011, 09h41.
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    Merci pour ce poème qui me rappelle ma grand mère Stsé Fatima qui s'est retrouvé veuve avec 3 enfants en 1943 ; elle a refusé toutes les demandes en mariage pour garder ses enfants pour qui elle s'est sacrifié jusqu'à sa mort.
    Paix à son âme.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      Quel bel hommage Zac, merci beaucoup de le partager !!
      ca me rappelle tout comme Zwina ma grand mere (Allah Yerhamha) retrouvé aussi veuve en 1956 avec 3 anfants apres la mort de son mari (mon grand pere) dans les champs de batailles, ca me rappelle ces sacrifices tout au long de sa vie.
      Merci

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      • #4
        Merci ZAC pour cette belle ode pour une belle maman qui a su malgré le destin et la vie cruelle, d'enfleurer les années de ses enfants avec ses années fanées...
        T’as su le faire comme toujours avec tes mots si tendres…
        une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

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        • #5
          Hello !

          Bonjour Zac, merci pour cette tres belle histoire et je suis certain que tous les etres ont quelque part en eux cette chose indescriptible qui nous rempli d'amour et de bonté, je vais essayer modestement de compter l'histoire furtive de cette dame dans les profondeurs de sa campagne et qui s'appelait madame Leroy.



          Un jardin bien rempli


          Au bout du chemin, vivait une dame dans son jardin bien rempli,
          Petit je l'ai connue, elle qui etait malgré son grand age, pleine de vie.
          Madame Leroy qui vivait seule, occupait ses jours avec des fleurs.
          Pour ses poules, avec mon sac et du pain sec, j'arrivais le regard rieur.


          Je penetrai, envahi par l'anarchie de parfums de couleurs et de plantes.
          Comme dans ses bras, c'etait une ombre fraîche douce et reposante.
          Lorsque je croisais son sourire amusé, son visage qui inspirait tant de respect
          Et devant son humilité, il n'y avait ni mots à dire, ni paroles à prononçer.


          Sa beauté restait comme cachée, le mystère d'un coeur qui me faisait taire.
          Ses yeux pleins de bonté, laissaient deviner aussi, les horreurs de la guerre.
          Elle s'approchait avec tout le poids d'une existence et venait tout doucement.
          J'avais bien du mal à cacher mon impatience dans chacun de ses mouvements.


          Et de ces petits pas et son regard enjôleur, elle rejoignait sa maison.
          Impatient, j'occupais mon regard de ce jardin qui parlait aux saisons,
          D'une main et d'une voix tremblante, m'interpellait comme son petit.
          Et d'un bonbon, ce jardin aujourd'hui, a comme un goût de paradis.



          Si tu as beaucoup de richesses, donne ton bien.
          Si tu possèdes peu, donne ton coeur!
          Charif Barzouk

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          • #6
            Trés joli poême Zackamco, merci d'avoir partagé.
            Tu es un maitre de la poésie.
            En amour il n'y a ni crimes ni délits. Il y a des fautes de goûts.

            Paul GERALDY

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            • #7
              Merci à vous toutes et à vous tous d'avoir pris le temps de vous arrêter et de lire ce témoignage...
              Jalal-a-Bad: belle empoignade. Joli texte dans lequel les mots s'entrelacent en laissant derrière eux plein de couleurs. J'ai beaucoup apprécié. Ta plume est prometteuse car elle parle clairement.
              Sefana: Heureux de te retrouver! Mais tu as complétement disparue. J'espère que tu vas bien.
              Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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