Tu la voulais pour la vie, ta moitié, ta destinée
En elle tu t’oubliais, tu recevais plus que tu en donnais
Tu l’avais choisi, ta complice, son regard te comprenait
La vie vous avait façonné, pour n’être qu’UN à jamais
Humble est ton cœur, ta raison se perd avec ton aimée
Tu te laisses aller à revivre le passé au présent
Face à tes souvenirs, tu te fuis par moment
Tu n’es qu’un être qui se cherche, qu’enfin renaisse
L’envie de suivre le chemin tracé, que tu le reconnaisses
Présente dans tes jours, elle effleure ton esprit sans bruit
Elle visite ton royaume, dans les rêves de tes nuits
Prisonnier, tu t’enfermes dans vos souvenirs imprégnés
Tu lui survis, tes larmes ne suffisent pour accepter
Fidèle promesse, tenue, gravée pour l’éternité
Pourrais-tu un jour surpasser ce chagrin démesuré ?
Permettre à la vie de te sourire à nouveau, te pardonner
Par ses mots, je ne veux toucher ton jardin secret
Entouré mais solitaire, la douleur se fait ton amie
Pensif et lointain, tu te perds dans la tourmente infinie
Je ne peux bousculer, une vie déjà entamée et touchée
Je reste persuader que rien n’arrive sans y être destiner
Ton prénom signifie « beauté », une âme troublée et chagrinée
Tu loges ton être dans l’oubli, l’éveil des jours endort tes pensées
Je devine cette fuite, ce besoin de survie acharné
Le vécu ne s’efface, reste qu’à comprendre, se résigner
Meubler le temps, un instant, endosser l’armure de vérité
On ne peut changer ce qui semble déjà entamer
Acteurs par nos faits, on subit parfois l’imprévu
Je me surprends à peser le poids des actes incontrôlés
Un mot dit, une voix au loin rassurante et camouflée. :1039989653:
En elle tu t’oubliais, tu recevais plus que tu en donnais
Tu l’avais choisi, ta complice, son regard te comprenait
La vie vous avait façonné, pour n’être qu’UN à jamais
Humble est ton cœur, ta raison se perd avec ton aimée
Tu te laisses aller à revivre le passé au présent
Face à tes souvenirs, tu te fuis par moment
Tu n’es qu’un être qui se cherche, qu’enfin renaisse
L’envie de suivre le chemin tracé, que tu le reconnaisses
Présente dans tes jours, elle effleure ton esprit sans bruit
Elle visite ton royaume, dans les rêves de tes nuits
Prisonnier, tu t’enfermes dans vos souvenirs imprégnés
Tu lui survis, tes larmes ne suffisent pour accepter
Fidèle promesse, tenue, gravée pour l’éternité
Pourrais-tu un jour surpasser ce chagrin démesuré ?
Permettre à la vie de te sourire à nouveau, te pardonner
Par ses mots, je ne veux toucher ton jardin secret
Entouré mais solitaire, la douleur se fait ton amie
Pensif et lointain, tu te perds dans la tourmente infinie
Je ne peux bousculer, une vie déjà entamée et touchée
Je reste persuader que rien n’arrive sans y être destiner
Ton prénom signifie « beauté », une âme troublée et chagrinée
Tu loges ton être dans l’oubli, l’éveil des jours endort tes pensées
Je devine cette fuite, ce besoin de survie acharné
Le vécu ne s’efface, reste qu’à comprendre, se résigner
Meubler le temps, un instant, endosser l’armure de vérité
On ne peut changer ce qui semble déjà entamer
Acteurs par nos faits, on subit parfois l’imprévu
Je me surprends à peser le poids des actes incontrôlés
Un mot dit, une voix au loin rassurante et camouflée. :1039989653:
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