La caresse de tes lèvres sur ma peau reposée
Un amour de tendresse que je ne sais nommer
Ta présence me protége me voici apaisée
Et au diable les discours sur l’Amour
Les envies de toujours sont bien là
Tu murmures ta tendresse douce caresse
Je murmure ton nom Dieu que c’est bon
Ainsi passe les jours et nos moments chéris
Tu inondes ma vie et mes nuits de douceurs
Et sonne l’horloge et résonne mon cœur
Ta patience d’ange me fait frissonner de bonheur
Mon impatience dérange ce silence en toi
Tu veilles telle mon ombre mon bonheur de toi
Je tremble de te perdre et pourtant Dieu sait que tu es là
Coulant dans mes veines et m’éclairant de toi
Je poursuis mon chemin à la recherche de moi
Tu me guides sans relâche avec bonheur de toi
Je sème l’orage je suis tempête parfois
Je mouille mes nuits du silence qui me broie
Je suis invisible parfois
Ma présence me dérange quand tu n’es pas là
Tout me parle de toi-même le vide est si pleins de toi
Je lève les yeux, tu es là et me prends dans tes bras.
morjane
20/01/04
Un amour de tendresse que je ne sais nommer
Ta présence me protége me voici apaisée
Et au diable les discours sur l’Amour
Les envies de toujours sont bien là
Tu murmures ta tendresse douce caresse
Je murmure ton nom Dieu que c’est bon
Ainsi passe les jours et nos moments chéris
Tu inondes ma vie et mes nuits de douceurs
Et sonne l’horloge et résonne mon cœur
Ta patience d’ange me fait frissonner de bonheur
Mon impatience dérange ce silence en toi
Tu veilles telle mon ombre mon bonheur de toi
Je tremble de te perdre et pourtant Dieu sait que tu es là
Coulant dans mes veines et m’éclairant de toi
Je poursuis mon chemin à la recherche de moi
Tu me guides sans relâche avec bonheur de toi
Je sème l’orage je suis tempête parfois
Je mouille mes nuits du silence qui me broie
Je suis invisible parfois
Ma présence me dérange quand tu n’es pas là
Tout me parle de toi-même le vide est si pleins de toi
Je lève les yeux, tu es là et me prends dans tes bras.
morjane
20/01/04
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