J’ai longtemps veillé, en priant, assise par terre
Puis, le ciel bleu et noir s’est soudainement ouvert,
Exactement comme me l’avait promis ma grand mère,
Sur des champs, à perte de vue, du plus beau vert..
Ils étaient tous la, heureux et souriants
Les bras tendus, le regard doux, encore vigilant,
Tous ceux que j’avais connu quand j’étais enfant,
Tous ceux que j’avais aimé et perdu à cause du temps...
L’espace d’une seconde, apaisée, j’ai pleuré puis souri,
Mes yeux comblés, emerveillés leur ont tout dit:
Mes joies, mes peines, mes grands et petits soucis...
Le temps, pour une fois, est devenu mon meilleur ami!
Ils m’ont caressé de leurs mots silencieux,
Et puis très doucement m’ont fermé les yeux...
Le cœur heureux, j’ai fait un seul vœu
Chaque Nuit du Destin, les revoir… juste un peu…
Beau rêve de bonheur parfait, de paix totale
D’un monde parfumé de bien, sans le moindre mal,
Beau rêve naissant et mourant avec le destin fatal,
Seul et doux espoir qui expire avec le souffle final…
Puis, le ciel bleu et noir s’est soudainement ouvert,
Exactement comme me l’avait promis ma grand mère,
Sur des champs, à perte de vue, du plus beau vert..
Ils étaient tous la, heureux et souriants
Les bras tendus, le regard doux, encore vigilant,
Tous ceux que j’avais connu quand j’étais enfant,
Tous ceux que j’avais aimé et perdu à cause du temps...
L’espace d’une seconde, apaisée, j’ai pleuré puis souri,
Mes yeux comblés, emerveillés leur ont tout dit:
Mes joies, mes peines, mes grands et petits soucis...
Le temps, pour une fois, est devenu mon meilleur ami!
Ils m’ont caressé de leurs mots silencieux,
Et puis très doucement m’ont fermé les yeux...
Le cœur heureux, j’ai fait un seul vœu
Chaque Nuit du Destin, les revoir… juste un peu…
Beau rêve de bonheur parfait, de paix totale
D’un monde parfumé de bien, sans le moindre mal,
Beau rêve naissant et mourant avec le destin fatal,
Seul et doux espoir qui expire avec le souffle final…
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