Merci Thirga ! Et moi heureuse suis heureuse de te lire à nouveau.
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Libères toi.
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conte à l'andalouse
Libère ce jaloux
Des temps glorieux andalous.
Sa grâce ne vaut cette envie
Digne de la tauromachie.
Epargne ce matador
De ses vains efforts.
Les arènes, quand elles sont pleines,
Sont telles une meute de hyènes.
L'ibère de la grande Séville,
A l'image d'Al hambra,
Ne saurait être ce renégat
Coupable des larmes de cette fille.Méditerranéen, terrien et j'ai rien!
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Dans ton premier poème, tu te lâches ici pour dire libères-toi.
Des passages me rappellent les pensées que je lis quelquefois, disons honnêtement souvent, sur les minois de ceux qui me sont chers.
J'éprouve peine à lire ce poème et j'admets quelle vérité ces conseils.
le dernier poème évoque la tauromachie, et bien je suis en plein dedans, je suis en vacances près de NIMES, AVIGNON et ARLES, ces trois belles villes dotées d'arènes.
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