Il y a des jours comme ça
Où rien ne va
A peine levé, je me prends les pieds
Dans mes souliers
Je veux juste me lever,
Je n’ai encore rien fait
Même pas penser
Que mon cerveau est débranché
J’ai mon réveil qui ne veut pas sonner
Il y a le café qui veut s’amuser
Il reste coincé Juste pour me narguer,
Trop entartée même si ce n’est pas vrai
Il veut juste jouer, rien que m’embêter
Moi l’empêtrée aux neurones gelée
Mon pain grillée qui est brûlée
L’eau de ma douche qui est glacée
Je trouve plus mes clés
L’ascenseur qui me dit "ta sœur "
Les escaliers n’arrêtent pas de tourner
Dans la voiture, c’est encore pire
Elle pique sa crise, elle cale tout le temps
Et au travail encore je râle
Pour le déjeuner, ce n’est pas le pied
La digestion alors pas question
Je dois m'activer pas m'énerver
c'est terminé je vais rentrer
Je pars faire des courses Je reste coincée
Et quand je rentre Je suis éreintée
Je renverse tout ça c’est génial
Il y en a partout Ça c’est normal
Après encore c’est le dîner
Prendre ma douche encore gelée
Berk la télé du réchauffé
Et puis Morphée qui se fait désirer
Bref une belle journée va s’achever
Je suis toujours en vie...
Alors demain… ben je verrais bien !
morjane
21/02/04
Ce poème, c'est en pensant à Angelnes qui est toute triste et bon là ce n'est pas a propos du spleen mais cela m'a fait penser à des jours comme ça, que l'on a toutes eu. Des jours où rien ne va et tout s'enchaine de l'aube au crépuscule...
Où rien ne va
A peine levé, je me prends les pieds
Dans mes souliers
Je veux juste me lever,
Je n’ai encore rien fait
Même pas penser
Que mon cerveau est débranché
J’ai mon réveil qui ne veut pas sonner
Il y a le café qui veut s’amuser
Il reste coincé Juste pour me narguer,
Trop entartée même si ce n’est pas vrai
Il veut juste jouer, rien que m’embêter
Moi l’empêtrée aux neurones gelée
Mon pain grillée qui est brûlée
L’eau de ma douche qui est glacée
Je trouve plus mes clés
L’ascenseur qui me dit "ta sœur "
Les escaliers n’arrêtent pas de tourner
Dans la voiture, c’est encore pire
Elle pique sa crise, elle cale tout le temps
Et au travail encore je râle
Pour le déjeuner, ce n’est pas le pied
La digestion alors pas question
Je dois m'activer pas m'énerver
c'est terminé je vais rentrer
Je pars faire des courses Je reste coincée
Et quand je rentre Je suis éreintée
Je renverse tout ça c’est génial
Il y en a partout Ça c’est normal
Après encore c’est le dîner
Prendre ma douche encore gelée
Berk la télé du réchauffé
Et puis Morphée qui se fait désirer
Bref une belle journée va s’achever
Je suis toujours en vie...
Alors demain… ben je verrais bien !
morjane
21/02/04
Ce poème, c'est en pensant à Angelnes qui est toute triste et bon là ce n'est pas a propos du spleen mais cela m'a fait penser à des jours comme ça, que l'on a toutes eu. Des jours où rien ne va et tout s'enchaine de l'aube au crépuscule...
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