Blanche de peau, cheveux dorée, les yeux noirs
En eux rien de sombre, de la joies profonde
A ravir les pauvres âmes qui se fondent
Qui voudraient s’y noyer, et se laisser boire.
Mais ces pauvres âmes ont tellement et si peur
Impressionnées par ce beau, pétillant regard
Que par égard ils baissent leur sombre regard
Préférant dans l’ombre, boire seul le bonheur.
Puis vint le soir où le monde se sépare
Puis vint la solitaire, et profonde nuit
Où les ombres, seules et terrifiées parent
Par les lumières Pourchassées et les bruits.
Une ombre fixe près d’un réverbère repose
Deux larmes tristes dans leurs larmiers se posent.
En eux rien de sombre, de la joies profonde
A ravir les pauvres âmes qui se fondent
Qui voudraient s’y noyer, et se laisser boire.
Mais ces pauvres âmes ont tellement et si peur
Impressionnées par ce beau, pétillant regard
Que par égard ils baissent leur sombre regard
Préférant dans l’ombre, boire seul le bonheur.
Puis vint le soir où le monde se sépare
Puis vint la solitaire, et profonde nuit
Où les ombres, seules et terrifiées parent
Par les lumières Pourchassées et les bruits.
Une ombre fixe près d’un réverbère repose
Deux larmes tristes dans leurs larmiers se posent.
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