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Le lait est un poison pour l organisme

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  • #61
    Le lait est un poison pour l organisme
    Non mais ! Dans ce cas, il faut tuer toutes les bêtes, qui donnent du lait consommable par l'être humain.

    On est d'accord que toute alimentation doit être prise avec modération, maintenant il y a des cas particuliers, les gens qui sont allergiques au gluten, aux arachides, aux aliments riches en protéine etc... Pour des raisons de santé, ils doivent bannir de leurs plats ces aliments qui peuvent leur porter préjudice, pour le reste, si tu fais confiance à toutes ces études, contradictoires parfois, on va se priver même de l'oxygène qu'on respire.
    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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    • #62
      Depuis quelques années on entend ces voix anti lait de vache raconter un tas de choses.

      A moins d'être allergique,ou intolérant ou lait de vache, c'est un excellent aliment.

      Il n'y a aucune preuve scientifique sur la soit disant nocivité du lait de vache qui est consommé par les hommes depuis des millénaires et qui est la première source de calcium.


      Tant que je peux j'en consommerai et j'encourage mes enfants à en consommer .
      Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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      • #63
        bonjour

        Vous voulez boire du lait ?

        Celui de la chamelle est meilleure.

        Mais Attention, si tous le monde s'y met, on en fera encore, comme pour les vaches, de l'élevage industriel avec les hormones de croissance, les farines animales, les OGM, les vaccins, les antibiotiques ....etc.

        Et on revient au même.

        Donc, lait de la chamelle qu'on élève nous même. Du bon lait quoi, hummmmmmm !

        Sinon contentons nous donc de remplir nos ventre avec toutes les saloperies de la modernité (élevage industriel, agriculture intensive et tous les produits chimiques de la pharmacie prétendument bons pour la santé). Et du même coup qui détruisent l'environnement, la terre, l'eau, les forêts, bref la Vie.

        Nous laisserons une planète invivable à nos enfants grâce aux conseils des médecins, économistes, et autres spécialistes ou prophètes. Le pouvoir d'achat nous offre la liberté de détruire, la liberté de gaspiller, la liberté de polluer, ...etc.

        Le pouvoir d’achat est un moyen de se libérer des activités fastidieuses en les transférant à d’autres personnes qu’on doit faire dépendre du système administratif, politique, éducatif, culturel et enfin et surtout économique ; l’objectif est réduire au maximum l’autonomie, les solidarité, les relations humaines des gens et des groupes et augmenter leur dépendance vis à vis du système politique, économique et culturel. Ce qui isole la personne qui est obligée d’accepter la misère et l’humiliation dans le système plutôt que de se retrouver démunit dans le vide et le désert humain créé. Ces personnes se situent au bas de la pyramide, obligées de travailler plus et dure et de plus en plus longtemps. Ces personnes au bas de l’échelle c’est elles qui vivent durement et moins longtemps.

        Le pouvoir d’achat qu’offre la monnaie devient ainsi le pouvoir de réduire les couches d’en bas à l’esclavage. ça se fait au nom d’un mérite, institué par les élites, qui justifie les conditions d’humiliation que subit une grande partie de l’humanité.

        Le pouvoir d’achat nous libère de l’esprit du don, de solidarité, d’entraide, de partage, de travail en groupe qui exigent l’entretient des relations humaines. L’esprit du don et de solidarité exige des sacrifices humains (la réciprocité) qui sont une reconnaissance de la valeur des autres. Protéger la dignité de tous n’est pas le résultat de discours et de paroles, elle est le résultat d’une vie réellement humaine, qui est le savoir vivre avec les autres en tissant des liens humains, ces liens qui exigent la réciprocité.

        Le pouvoir d’achat est avant tout un pouvoir. càd des capacités d’obliger, d’inciter, de menacer, ...etc.
        Rebbi yerrahmek ya djamel.
        "Tu es, donc je suis"
        Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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        • #64
          Laitages et santé : ce que disent les études scientifiques
          • Les laitages sont-ils indispensables à la santé des enfants et des adultes ?
          • Boire du lait prévient-il les fractures osseuses dans l'enfance et celles liées à l'ostéoporose après la ménopause ?
          • Est-ce sans danger pour la santé que de consommer 3 à 4 laitages par jour ?
          • Voici ce que disent réellement les études scientifiques





          Les autorités sanitaires de nombreux pays conseillent de consommer 3 à 4 laitages par jour toute la vie dans le but de favoriser la santé osseuse. Cependant, ces recommandations sont de plus en plus contestées par les chercheurs à la suite des résultats des études épidémiologiques et d’intervention indépendantes remettant en question l’efficacité de ces préconisations et leur innocuité à long terme.
          Dans un éditorial récent des Archives de pédiatrie, le Dr Vidailhet et des médecins du comité de nutrition de la société française de pédiatrie défendent « la place essentielle des laitages » et fustigent ceux qui la remettent en cause [1]. Cet éditorial se présente comme une synthèse « des donnée scientifiques concernant les bénéfices et les risques démontrés de la consommation du lait de vache et des produits laitiers pendant l’enfance et l’adolescence ». Ses auteurs, dont plusieurs ont des liens anciens et réguliers avec l’industrie laitière n’expliquent pas pourquoi, s’agissant d’une « synthèse des données scientifiques », ils ont choisi d’appuyer leur démonstration sur un petit nombre d’études – presque toutes favorables aux laitages, presque toutes financées par l’industrie laitière – plutôt que de mentionner les conclusions des très nombreuses méta-analyses et analyses qualitatives déjà publiées sur le sujet et disponibles. Ces analyses permettent pourtant de répondre sans équivoque à la question de savoir si les preuves ont été apportées que les laitages sont indispensables à la santé des enfants et qu’ils sont sûrs et sans risque.
          Le but de l'article qui suit est d’examiner les résultats des études qualitatives conduites sur les relations entre laitages et santé afin de répondre à la question de savoir si les recommandations actuelles en faveur de 3 à 4 laitages par jour sont basées sur des preuves suffisantes.
          Les risques de l’exclusion des produits laitiers chez les jeunes enfants

          Sous ce titre ambigu, Vidailhet et coll. suggèrent que les nourrissons et les enfants en bas âge qui à la place de préparations à base de lait de vache ou de lait animal reçoivent des « laits » végétaux voient leur santé « gravement mise en danger ». Ils citent à cet effet un article rapportant trois cas de malnutrition chez des enfants américains en bas âge nourris avec des « laits » végétaux achetés dans le rayon « diététique » des supermarchés [2]. Cette présentation est tendancieuse, car de tels produits ne sont pas plus adaptés aux besoins des enfants que le lait de vache vendu au rayon « lait ».
          Pour prendre le seul exemple du soja, on estime que 25 à 30 millions de bébés américains ont consommé depuis 40 ans des formules à base de soja destinées aux nourrissons, sans présenter de problème de malnutrition ni de croissance [3]. Donc les enfants qui ne reçoivent pas de préparations à base de lait de vache peuvent se développer parfaitement en consommant des préparations végétales formulées spécialement pour les besoins pédiatriques. C’est d‘ailleurs l’avis du comité de nutrition de la Société américaine de pédiatrie en ce qui concerne le soja [4].
          Les produits laitiers et la santé à court terme

          Vidailhet et coll. assurent que l’exclusion des laits et des laitages chez l’enfant plus âgé et l’adolescent nuit à la santé osseuse et les expose à un « risque accru de fractures. » A l’inverse, poursuivent-ils, le lait aurait un impact bénéfique sur la santé osseuse de l’enfant et de l’adolescent. A l’appui de ces deux affirmations, ils citent 2 petites études néo-zélandaises émanant d’une équipe de l’université d’Otego [5] [6], 3 études australiennes émanant d’une équipe de l’université de Sydney [7] [8] [9], et une étude conduite par une équipe de l’université de l’Ohio [10]. Ces études présentent de sérieuses limitations, d’ailleurs admises par leurs auteurs. De surcroît, elles ont toutes sans exception reçu un financement - partiel ou total selon le cas - de l’industrie laitière, et plusieurs de leurs auteurs ont des liens financiers anciens et réguliers avec l’industrie laitière – un facteur potentiel de biais relevé à de multiples reprises.
          Lesser et coll. ont récemment examiné les résultats de 206 articles scientifiques sur les relations entre aliments et santé - dont 35 portant sur le lait - et trouvé que la conclusion d’une étude est étroitement liée à la source de financement. Lorsqu’une étude est financée par l’industrie, les chances de voir sa conclusion favorable au sponsor sont 4 à 8 fois plus élevées que lorsqu’il n’y a eu aucun financement de l’industrie [11].
          Plus généralement, il est inapproprié, dans un article qui se présente comme une "synthèse scientifique", d’asseoir des affirmations sur la sélection d’un petit nombre d’études favorables en occultant les dizaines d’autres résultats qui le sont moins. Ainsi, quatre analyses qualitatives des données de la littérature ont été publiées depuis dix ans afin de savoir si consommer plus de calcium ou de laitages est bénéfique aux os des enfants ou des adultes jeunes. Deux ont conclu qu’il est impossible de dire si l’augmentation modeste des gains osseux attribuée à une consommation accrue de laitages ou de calcium a la moindre chance de se traduire par une réduction significative du risque d’ostéoporose à l’âge adulte, ni même si ces gains persistent au-delà de la période de traitement [12] [13].

          Une méta-analyse de 2005 a conclu qu’une consommation plus importante de laitages ou de calcium alimentaire total n’augmente de pas de manière fiable la densité minérale osseuse pas plus qu’elle ne réduit le taux de fractures chez les enfants et les adolescents [14]. Une autre méta-analyse de 2006 a jugé improbable qu’un supplément calcique réduise le risque de fracture dans l’enfance ou plus tard [15].
          Donc l’analyse de l’ensemble des données disponibles ne permet pas d’affirmer que les laitages chez l’enfant et l’adolescent sont bénéfiques à leur santé osseuse ni que leur limitation ou leur éviction nuisent à leur santé.
          Les produits laitiers et la santé à long terme

          Vidailhet et coll. affirment que « l’exclusion de l’apport lacté pendant l’enfance influence également la santé osseuse à long terme, et en particulier le risque d’ostéoporose et de fractures chez la femme à la ménopause. » A l’appui de cette affirmation ils produisent un petit nombre d’études portant sur l’évolution de marqueurs intermédiaires du métabolisme osseux, et les résultats d’une étude rétrospective sur 3251 femmes [16]. Les résultats de cette dernière sont contredits par les conclusions de deux grandes études. Dans l’Etude des infirmières, qui portait sur 77761 femmes, les chercheurs de Harvard n’ont pas trouvé que les femmes qui avaient consommé le plus de lait dans l’adolescence avaient connu moins de fractures à l’âge adulte que celles qui en avaient consommé le moins [17]. Dans l’étude NORA publiée en 2008, et qui portait sur 76507 femmes ménopausées, celles qui ont consommé le plus de calcium alimentaire et de laitages dans l’enfance ou à l’âge adulte n’ont pas moins de risque de fractures que celles qui en ont consommé le moins, malgré une densité minérale osseuse moindre [18].
          Donc si l’on examine l’ensemble des données associant la consommation précoce de lait et le risque de fracture à l’âge adulte, il est impossible d’affirmer comme le font Vidailhet et coll. que le lait de vache absorbé dans l’enfance protège des fractures plus tard dans la vie.
          Les résultats de l’étude NORA et d’autres [19] [20] montrent par parenthèse que les marqueurs intermédiaires comme la densité minérale osseuse ne peuvent pas servir de substituts à bon compte pour les événements que sont les fractures. Les Suédoises ont les os les plus lourds et les plus denses de la planète, et détiennent dans le même temps des taux records de fractures [21]. Dans l’étude SOF plus de la moitié des femmes ménopausées qui ont souffert d’une fracture du col du fémur avaient un score de densitométrie (T-score) suffisamment élevé pour qu’elles ne soient pas considérées comme ostéoporotiques [22]. De la même manière, une densité osseuse faible ne traduit pas forcément un état pathologique. Dans les pays asiatiques et africains, la densité minérale osseuse est plus faible qu’en Occident, et pourtant les fractures y sont bien plus rares [23] [24]. Enfin, l’hypothèse selon laquelle il faudrait maximiser le « pic de masse osseuse » dans l’enfance et l’adolescence [en consommant des laitages] pour se mettre à l’abri de l’ostéoporose n’a jamais été prouvée.
          Les laitages et la santé osseuse à l’âge adulte

          Les recommandations nutritionnelles officielles préconisent de consommer à l’âge adulte 3 à 4 laitages par jour pour prévenir les fractures de l’âge avancé. Or ce type de préconisation n’est soutenu ni par les études de population, ni par les données épidémiologiques, ni par les données cliniques.
          Les études écologiques nous apprennent que les populations qui consomment le plus de lait de vache et d’autres laitages connaissent des taux d’ostéoporose et de fractures du col du fémur parmi les plus élevés au monde. Ce « paradoxe du calcium » pour reprendre les termes de l’Organisation mondiale de la santé [25] est mis par l’industrie laitière sur le compte de caractéristiques génétiques différentes, mais une telle tendance existe dans toutes les populations génétiquement homogènes qui ont augmenté leur consommation de laitages, comme c’est le cas à Hong-Kong [26].
          Les études épidémiologiques et cliniques menées sur le sujet ont, elles, fait l’objet de 6 grandes analyses qualitatives. Toutes [27] [28] [29] [30] [31], sauf une, ont conclu que le calcium laitier ne donne pas des os plus solides à l’âge adulte. La seule analyse ayant trouvé des vertus aux laitages a été signée par un chercheur travaillant pour l’industrie laitière américaine [32].
          Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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          • #65
            Les bénéfices des laitages

            Vidailhet et al. écrivent que la consommation de laitages est associée à une réduction du risque de surcharge pondérale sur la foi d’un article de Michael Zemel, un chercheur de l’université du Tennesse à Knoxville qui a reçu un financement important de l’industrie laitière américaine pour conduire des travaux sur ce sujet [33].
            Que dit réellement la littérature ? Les données publiées ont fait l’objet depuis 2003 de quatre grandes analyses qualitatives portant sur plus de 20 études. Aucune de ces analyses – la dernière datant de mai 2008 - n’a trouvé que les laitages ou le calcium font maigrir [34] [35] [36] [37].
            En conclusion, les données disponibles ne permettent pas de dire que la consommation de laitages est associée à une perte de poids.
            Vidailhet et coll. écrivent également que la consommation de lait ou de produits laitiers a des effets positifs sur le syndrome métabolique, sur la foi d’un article de synthèse écrit par deux chercheurs du Centre fédéral de recherches laitières de Kiel (Allemagne), un organisme au service de l’industrie laitière allemande et financé par elle –facteur potentiel de biais. En réalité, si des études épidémiologiques ont bien trouvé une association inverse entre la consommation de laitages et le risque de syndrome métabolique, d’autres ont montré l’inverse [38] [39] [40]. Les laitages, en particulier le lait et les yaourts ont un index insulinémique élevé, un facteur connu dans l’étiologie de l’insulino-résistance et du diabète de type II [41]. Ce qui conduit aujourd’hui des chercheurs à demander qu’il soit fait usage de « prudence dans les recommandations qui visent à inciter les adultes à consommer plus de laitages, en particulier ceux qui ont un risque de résistance à l’insuline.» [42]
            Vidailhet et coll. écrivent également que la consommation de laitages protège du cancer du côlon. Cette protection est généralement admise mais le lien entre laitages et cancer colorectal est de plus en plus délicat à interpréter en raison de résultats contradictoires récents [43]. Dans leur rapport de 2007, les experts du Fonds mondial de recherches sur le cancer estiment que le lait protège probablement, mais que le fromage et les aliments contenant des graisses d’origine animale (comme les laitages) pourraient au contraire favoriser ce type de cancer [44].
            Vidailhet et coll. estiment aussi que les laitages pourraient prévenir le cancer du sein sur la base des résultats d’une étude prospective française [45]. Cependant, l’analyse des résultats de l’ensemble des études de ce type ne trouve pas de relation significative entre le régime alimentaire et le risque de cancer du sein [46].
            Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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            • #66
              Les recommandations en faveur des laitages doivent être révisées

              Les laitages sont d’introduction très récente dans l’histoire alimentaire de notre espèce. Ils sont absents du régime qu’ont suivi nos ancêtres pendant plus de sept millions d’années, ne faisant leur apparition que dans certains foyers de la population il y a environ dix mille ans, au néolithique [47]. Ainsi, malgré l’absence totale de laitages dans son alimentation, l’espèce humaine a joui d’une excellente santé osseuse jusqu’à la fin du paléolithique supérieur. Les premiers signes de stress et de maladies des os, qu’il s’agisse du rachitisme, de l’ostéomalacie ou de l’ostéoporose sont relevés au néolithique, dans les populations qui se livrent à l’agriculture et l’élevage [48]. Preuve de l’introduction très récente des laitages et de leur acceptation encore délicate : on estime que les trois quarts de la population de la planète ne tolèrent pas le lactose après le sevrage (40% de la population française, surtout au sud de la Loire) [49].
              Il n’existe en l’état actuel des connaissances aucune preuve que ces aliments d’introduction récente sont indispensables à la santé osseuse de l’espèce humaine pas plus qu’il n’existe de preuves qu’en consommant 3 à 4 laitages par jour du berceau au cercueil, la population française se mettra à l’abri de l’ostéoporose. Continuer, en dépit des données disponibles, de présenter les laitages comme des aliments incontournables, qui règleront les problèmes de santé osseuse, présente le risque de détourner l’attention du public et des professionnels de santé d’autres moyens de prévenir les fractures, d’ailleurs absents de l’éditorial de Vidailhet et coll., comme l’exercice physique régulier, la diminution du sel alimentaire, la consommation accrue de fruits et légumes, la limitation des protéines animales, le statut en vitamine D et l’exposition régulière et modérée au soleil, l’arrêt du tabac.
              Vidailhet et coll. semblent s’offusquer du fait que des recommandations officielles (concernant les laitages) soient contestées. Pourtant, le caractère officiel d’un avis ou d’une recommandation ne lui confère pas le statut de vérité démontrée. Il y a encore quelques décennies, les autorités sanitaires et les pédiatres conseillaient aux mamans de coucher leur bébé sur le ventre en dépit des données cliniques suggérant que c’était une erreur ; jusqu’en juillet 2007, la vaccination contre le BCG est restée obligatoire pour tous les enfants entrant en collectivité malgré les dizaines d’études montrant que cette stratégie était inefficace et malgré les décisions d’y renoncer prises des années plus tôt par d’autres pays, etc...
              Les recommandations actuelles concernant les laitages n’étant pas soutenues par des preuves suffisantes, elles sont amenées à être de plus en plus souvent remises en question par la communauté scientifique et médicale et à rejoindre la liste des avis et conseils officiels inutiles, voire néfastes, donc abandonnés.
              Sachant par ailleurs qu’à ce niveau de consommation ces aliments contribuent grandement à la consommation de graisses saturées et trans et de sucre chez l’enfant [50] ; qu’ils sont soupçonnés de favoriser l’acné à l’adolescence [51] ; qu’ils sont associés chez l’adulte à un risque accru de cancers agressifs de la prostate [52] et dans un moindre mesure à un risque de cancer du poumon (beurre), de cancer colorectal (graisses d’origine animale) [53], de maladie de Parkinson [54] et de lymphome non-hodgkinien [55].
              Les autorités sanitaires devraient entendre la demande des très nombreux chercheurs qui réclament une révision des recommandations sur les laitages, au premier rang desquels figurent ceux de la plus importante et la plus célèbre équipe de recherche en nutrition au monde - l’Ecole de santé publique de Harvard [56]. Ces recommandations devraient refléter plus fidèlement l’état des connaissances : les laitages ont certes - si on les tolère - toute leur place dans notre alimentation, mais ils devraient être consommés avec modération (probablement moins de deux portions par jour), et un régime équilibré, sans laitages, ne pose pas de risque particulier pour la santé osseuse.
              Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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              • #67
                Références

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                Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas? S21 V30

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                • #68
                  reponse pour megane

                  1-certains peuples ont vecu des milliers d annees sans lait.

                  2-le calcium du lait est ZERO pour la sante,etant donne que il faut la vitamine D pour fixer le calcium sur les os.or le lait ne comporte pas en quantite necessaire cette vitamine.

                  3-le lait pollue la flore intestinale qui est en faite le centre de notre sante et de notre bien etre.

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                  • #69
                    Verité89 et MKH merci pour vos conseils mais je préfère croire mon médecin d'autant que je suis maman que je dois faire attention à la croissance de mes enfants et que l'âge avance et que je dois penser à l'ostéoporose qui menace beaucoup de femmes après la ménopause.

                    Donc je maintient, je continuerai à consommer du lait, sauf en cas d'allergie ou d'intolérance, me dit mon cher médecin.
                    Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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                    • #70
                      le lait frais est excellent pour la santé
                      sauf dans ces conditions:

                      -1- quand il n est pas frais GARE A CERTAINES FERMENTATIONS -heureusement trés rares ET HEUREUSEMENT QUE LE LAIT SE COMPORTE COMME UN ANTISEPTIQUE TEMPOREL A DUREE DE VIE LIMITEE

                      -2- QUand le lait n est pas de bonne qualité PRESENCE DE CERTAINS PRODUITS TOXIQUES DANS LE LAIT et pésticides et polluants agricoles qui auraient passés dans le lait

                      -3- un lait tiré de mammifères malades

                      -4- intolérences aux laits : lactose etc...

                      -5- le Lait contient des matières grasses a éviter de consommer beaucoup de lait si vous avez du choléstérol

                      -6- pour le calcium et vitamine D trés peu dans le lait pour prévenir ou soigner une ostéoporose !

                      - etc
                      Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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                      • #71
                        L'alimentation de masse

                        Un gros n'importe quoi ! Ce n'est pas le lait qui est un poison pour l'organisme mais c'est bien ce qui est additionné à ce breuvage. Les industriels n'ont aucun scrupule pour se faire de l'argent, ils ne reculent devant rien, ni morale, ni foi !





                        ../..
                        “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                        • #72
                          Peut etre tu veux dire quand ça provient d une adresse pareille et similaire peut etre douteux : a cause des manipulations génétiques !!!! possible mais réste a prouver .

                          Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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                          • #73
                            Un article sur les pratiques de Nestlé (par exemple )

                            Pourquoi j’essaie désespérément de boycotter Nestlé


                            Si je résume, je dirais que Nestlé est un peu responsable de la mort de centaines, voir milliers de bébés. Mais avant tout, laissez-moi vous expliquer.
                            Je ne suis pas le seul à (essayer de) boycotter Nestlé. Et ce n’est pas non plus un mouvement nouveau. Mais peu de gens sont au courant des pratiques de Nestlé, et c’est pourquoi peu de gens participent au boycott.
                            Des gens et des organisations ont commencé à boycotter Nestlé dans les années 1970. C’est dans ces années qu’une controverse a été rendue publique, à l’effet que Nestlé faisait la promotion d’un produit substitut au lait maternel dans certains pays d’Afrique.
                            Les produits substituts au lait maternel sont normalement sans danger, mais lorsqu’ils sont utilisés dans les pays moins développés économiquement, quatre problèmes peuvent subvenir :
                            La formule devait normalement être mélangée à une certaine quantité d’eau, mais qui est parfois contaminée dans certains pays, ce qui causait de graves maladies aux enfants vulnérables. L’Unicef estime qu’un bébé non nourri au lait maternel et qui est élevé dans des conditions antihygiéniques a entre 6 et 25 fois plus de chances de mourir de la diarrhée qu’un enfant qui y est nourri au lait maternel.
                            Étant donné la pauvreté des familles, plusieurs mères utilisaient moins de poudre afin d’en faire durer la quantité, ce qui menait à une nutrition inadéquate du bambin, le rendant ainsi plus susceptible de développer ou d’attraper des maladies.
                            Le lait maternel a beaucoup d’avantages que le substitut n’a pas. Les nutriments et anticorps sont transmis au bébé alors que des hormones sont créées dans le corps de la mère. Les bébés nourris au lait maternel sont protégés, dans une certaine mesure, contre plusieurs maladies, incluant méningite, gastroentérite, infection de l’oreille et infection respiratoire. Le lait maternel contribue également au bon développement neurologique du bébé.
                            Étant donné le niveau d’analphabétisme de plusieurs pays sous-développés, les mères ne connaissaient pas les méthodes d’aseptisation requises pour la préparation de la formule dans des biberons. Même celles qui connaissaient ces méthodes n’avaient pas toutes les moyens de les appliquer. Un problème qui ne survient pas lorsque le bébé est nourri au sein, évidemment.
                            Le plus dégueulasse dans tout ça…
                            Plusieurs organisations ont accusé Nestlé de méthodes de promotion non-éthiques en ventant les bienfaits de leur formule substitut à des mères du tiers-monde. Par exemple, Nestlé aurait fait la distribution gratuite d’échantillons de leur substitut au lait maternel dans des hôpitaux et maisons de maternité. Lorsque les nouvelles mères quittaient ces institutions, évidemment, le substitut n’était plus gratuit. Mais comme son utilisation avait interféré avec la lactation de la mère, celle-ci ne produisait plus suffisamment de lait, et devait donc continuer à utiliser le substitut de Nestlé.
                            Nestlé a également été accusée d’utiliser l’argument de l’aide humanitaire afin de créer un nouveau marché, alors que les étiquettes et instructions n’étaient même pas adaptées à la langue utilisée dans ces pays. Ils offraient également des cadeaux et des méthodes de sponsorisation afin d’inciter les travailleurs de la santé à promouvoir leurs produits.
                            Vous vous doutez bien que Nestlé a toujours nié ces allégations…
                            Aujourd’hui, le boycott est encore en cours et est coordonné par l’International Nestlé Boycott Committee. Plusieurs institutions scolaires d’Europe ont banni les produits Nestlé de leurs machines distributrices et cafétérias. Au Royaume-Uni, des centaines d’entreprises, groupes de support, groupes de santé, regroupements de consommateurs, autorités locales, politiciens et célébrités supportent ce boycott. Cependant, si le boycott est toujours en branle, je n’ai pas trouvé d’informations à savoir si Nestlé a perpétué ces pratiques inhumaines.
                            Je me fait également un plaisir de vous relater une anecdote. L’actrice Emma Thompson qui incarne le professeur Trelawney dans la série Harry Potter a, en 2001, appelé au boycott du Perrier Comedy Award, car Perrier est une propriété de Nestlé. L’année suivante, une compétition alternative appelée Tap Water Awards (Le Gala Eau de Robinet) a été créée.
                            Pas facile à boycotter
                            Si je dis que je tente désespérément de boycotter Nestlé, c’est parce que je doute que ce soit vraiment faisable. Nous consommons tous des produits Nestlé sans le savoir. Des dizaines de marques appartiennent à Nestlé en tout ou en partie, et ce sont souvent des produits que nous consommons au quotidien. Si je me fie au site web de Nestlé (je ne mets pas de lien, je ne voudrais quand même pas leur offrir de la visibilité, même avec mon petit PR4), voici une liste des produits qui sont reliés à cette compagnie, de près ou de loin :
                            Repas congelés Stouffer’s
                            Eau en bouteille Montclair
                            Crème glacée Häagen Dazs
                            Nestea
                            Chocolat Turtles
                            Nourriture pour animaux Purina
                            Eau gazéifiée Perrier
                            Nescafé
                            Chocolat Crunch
                            Nesquik
                            Chocolat Aero
                            Chocolat After Eight
                            Chocolat Butterfinger
                            Lait Carnation
                            Friandises glacées Drumstick
                            Friandises glacées Polar
                            Café Taster’s Choice
                            Crème Glacée Parlour
                            Chocolat Coffee Crisp
                            Chocolat Kit Kat
                            Chocolat Smarties
                            Coffee-Mate
                            J’imagine qu’une bonne solution serait de ne jamais manger de chocolat… pas trop difficile dans mon cas, mais quand même!
                            Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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                            • #74
                              Le lait est un poison pour l organisme
                              En effet, surtout celui de marque candya
                              a bon entendeur ....
                              tchek tchek tchek

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                              • #75
                                à croire tout ce que j'ai lu dans ce fil, je devrais être mort depuis belle lurette !

                                après les conspirationnistes, les alter-mondialistes, les écolo-naïfs, il me faut maintenant avaler encore les délires bio... ma3lich

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