tawenza les nitrites NH2 sont cancérigènes dans l'eau... teneur massique <0.1%
nécessairement dans la transmutation. Pour le proton de 90 centimètres de parcours, l'énergie est égale à 1,4 fois celle du rayon a de RaC' qui lui a donné naissance. Au lieu d'un dégagement d'énergie, la désintégration peut être accompagnée d'une absorption d'énergie, comme dans le cas de l'azote.
Le rendement de la désintégration est de l'ordre de 10 à 20 atomes transformés pour 106 rayons a de RaC' ou de ThC'. Les expériences faites par la méthode de détente de Wilson pour observer les fourches dues au choc de rayons a contre des noyaux légers, ont permis de mettre en évidence quelques cas de transmutation. Blacquett a observé 8 fourches, ne satisfaisant pas aux lois de choc élastique et présentant, après le choc, deux trajectoires, dont l'une fine et allongée, correspond au proton de transmutation, tandis que l'autre, courte et plus épaisse, correspond à un noyau d'azote qui aurait incorporé la particule ri. incidente. Il y a là un exemple de « transmutation avec capture » donnant lieu à la production d'un isotope d'oxygène de masse 17. Les quantités de mouvement des deux particules après choc sont calculées, par rapport à celle du rayon x incident, d'après les angles que forment, avec la direction de celui-ci, les bras de la fourche.
Si une transmutation avec capture est toujours accompagnée d'une même variation d'énergie Q, on peut calculer les quantités de mouvement (dont on admet la conservation) pour chaque direction d'émission du proton par rapport au rayon a incident. Les relations obtenues paraissent applicables à la transmutation de l'azote, tandis que dans d'autres cas, les conditions paraissent plus complexes. Au point de vue théorique on peut envisager les types d'interaction suivants, pour le choc non élastique d'un rayon a et d'un noyau
1° Excitation du noyau, sans transmutation, avec perte d'énergie pour le rayon x et avec émission ultérieure de rayons y. 2° Transmutation avec émission d'un proton et avec capture de la particule x.
3° Transmutation avec émission d'un proton, sans capture de la particule a, celle-ci étant renvoyée avec une vitesse réduite. Ces problèmes ont été examinés au point de vue de la mécanique ondulatoire. La probabilité de l'excitation est d'autant plus petite que le niveau excité est plus élevé et que le nombre atomi-
Le rendement de la désintégration est de l'ordre de 10 à 20 atomes transformés pour 106 rayons a de RaC' ou de ThC'. Les expériences faites par la méthode de détente de Wilson pour observer les fourches dues au choc de rayons a contre des noyaux légers, ont permis de mettre en évidence quelques cas de transmutation. Blacquett a observé 8 fourches, ne satisfaisant pas aux lois de choc élastique et présentant, après le choc, deux trajectoires, dont l'une fine et allongée, correspond au proton de transmutation, tandis que l'autre, courte et plus épaisse, correspond à un noyau d'azote qui aurait incorporé la particule ri. incidente. Il y a là un exemple de « transmutation avec capture » donnant lieu à la production d'un isotope d'oxygène de masse 17. Les quantités de mouvement des deux particules après choc sont calculées, par rapport à celle du rayon x incident, d'après les angles que forment, avec la direction de celui-ci, les bras de la fourche.
Si une transmutation avec capture est toujours accompagnée d'une même variation d'énergie Q, on peut calculer les quantités de mouvement (dont on admet la conservation) pour chaque direction d'émission du proton par rapport au rayon a incident. Les relations obtenues paraissent applicables à la transmutation de l'azote, tandis que dans d'autres cas, les conditions paraissent plus complexes. Au point de vue théorique on peut envisager les types d'interaction suivants, pour le choc non élastique d'un rayon a et d'un noyau
1° Excitation du noyau, sans transmutation, avec perte d'énergie pour le rayon x et avec émission ultérieure de rayons y. 2° Transmutation avec émission d'un proton et avec capture de la particule x.
3° Transmutation avec émission d'un proton, sans capture de la particule a, celle-ci étant renvoyée avec une vitesse réduite. Ces problèmes ont été examinés au point de vue de la mécanique ondulatoire. La probabilité de l'excitation est d'autant plus petite que le niveau excité est plus élevé et que le nombre atomi-
chaque atome possede son propre comportement.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Isotopes_de_l%27azote
les implications de NH sur les radicaux libres:
Exemples et implications toxicologiques
Les dérivés réactifs de l'oxygène :
l'oxygène singulet •O-O• (ou 1O2) ;
l'anion radicalaire superoxyde O2•- ;
le radical hydroxyle HO• ;
le radical hydroperoxyle HO2 ;
les radicaux peroxyde (ROO•), radical alkoxyle (RO•) où R est une chaîne carbonée.
Les radicaux dérivant d'un acide gras insaturé.
Le peroxynitrite ONOO•.
Le monoxyde d'azote NO•.
Ces substances peuvent peroxyder les lipides insaturés qui composent les structures membranaires et peuvent alors tuer la cellule. Le remplacement de la cellule oblige l'organisme à activer ses cellules souches, ce qui augmente le risque de cancérisation. Ceci contribue aussi à un vieillissement accéléré de l'organisme, les cellules souches ne pouvant éternellement se multiplier (limite de Hayflick).
Les dérivés réactifs de l'oxygène :
l'oxygène singulet •O-O• (ou 1O2) ;
l'anion radicalaire superoxyde O2•- ;
le radical hydroxyle HO• ;
le radical hydroperoxyle HO2 ;
les radicaux peroxyde (ROO•), radical alkoxyle (RO•) où R est une chaîne carbonée.
Les radicaux dérivant d'un acide gras insaturé.
Le peroxynitrite ONOO•.
Le monoxyde d'azote NO•.
Ces substances peuvent peroxyder les lipides insaturés qui composent les structures membranaires et peuvent alors tuer la cellule. Le remplacement de la cellule oblige l'organisme à activer ses cellules souches, ce qui augmente le risque de cancérisation. Ceci contribue aussi à un vieillissement accéléré de l'organisme, les cellules souches ne pouvant éternellement se multiplier (limite de Hayflick).
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