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Si la situation sanitaire continue à s'améliorer, le gouvernement envisage de lever le pass vaccinal à la fin du mois de mars. Tout dépendra du taux d'incidence, et de la pression hospitalière.
Le pass vaccinal pourrait disparaître avec plusieurs mois d'avance, à la fin du mois de mars ou au début du mois d'avril. C'est une possibilité évoquée en conseil des ministres mercredi 9 février par Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, en raison de l'amélioration de certains indicateurs. Après le pic du 24 janvier, les contaminations et le taux d'incidence marquent le pas. La France compte à ce jour moins de 2 500 cas pour 100 000 habitants.
Des améliorations dans les hôpitaux
La situation à l'hôpital reste néanmoins fragile, avec plus de 3 500 personnes en réanimation. La tension commence à redescendre. Gabriel Attal a évoqué "un début d'amélioration", avec des modélisations qui "peuvent laisser espérer qu'a cet horizon de fin mars, début avril, la situation se soit suffisamment détendue à l'hôpital pour que nous puissions lever le pass vaccinal". Certains épidémiologistes restent toutefois prudents, et recommandent, en cas de levée du pass vaccinal, de continuer à surveiller de près les indicateurs.
Le pass vaccinal pourrait disparaître avec plusieurs mois d'avance, à la fin du mois de mars ou au début du mois d'avril. C'est une possibilité évoquée en conseil des ministres mercredi 9 février par Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, en raison de l'amélioration de certains indicateurs. Après le pic du 24 janvier, les contaminations et le taux d'incidence marquent le pas. La France compte à ce jour moins de 2 500 cas pour 100 000 habitants.
Des améliorations dans les hôpitaux
La situation à l'hôpital reste néanmoins fragile, avec plus de 3 500 personnes en réanimation. La tension commence à redescendre. Gabriel Attal a évoqué "un début d'amélioration", avec des modélisations qui "peuvent laisser espérer qu'a cet horizon de fin mars, début avril, la situation se soit suffisamment détendue à l'hôpital pour que nous puissions lever le pass vaccinal". Certains épidémiologistes restent toutefois prudents, et recommandent, en cas de levée du pass vaccinal, de continuer à surveiller de près les indicateurs.
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