Les habitants de la Nouvelle-Zélande adoptèrent comme symbole national le kiwi. Cet oiseau représente pour chacun de ces insulaires un élément de fierté, mais ils craignent de le voir disparaître puisqu’il figure parmi les espèces menacées. La déforestation massive, visant à accroître les terres agricoles, entraîna la perte de leur habitat naturel. Les autorités tentent de préserver ces kiwis auxquels s’identifient bien des Néo-Zélandais en créant des réserves naturelles. La venue des hommes dans ces îles isolées de l’océan Pacifique mit en péril ces oiseaux emblématiques.
Vivant autrefois sur des îles inhabitées, les kiwis et autres animaux présents ne développèrent pas de mécanismes de défense. Vers l’an 800 de notre ère, des Polynésiens arrivèrent par mer en ce pays transportant à bord de leurs embarcations des rats. Vers la moitié du XVIIe siècle, des chats, des chiens, des hermines et des furets les suivirent sur ces îles. Des opossums, lapins et belettes y débarquèrent également, grossissant le nombre de prédateurs. Ces derniers dérobèrent de la nourriture aux espèces indigènes ou se délectèrent de ces animaux sans défense.
Plus de 51 espèces d’oiseaux indigènes disparurent, ainsi que des grenouilles et lézards, poissons et plantes. Pratiquement disparu des îles principales, on retrouva cet oiseau dans les petites îles peu ou non habitées. Des bénévoles tentent aujourd’hui de chasser les prédateurs afin de préserver la vie des kiwis en des zones protégées. En l’an 2000, on relâcha quelques petits kiwis de l’espèce la plus rare dans une réserve. Les responsables estiment qu’en l’année 2009, l’arrivée de quarante nouveaux nés grossira la population des kiwis en ces réserves créées depuis quelques années. Cet oiseau que l’on ne retrouve à l’état sauvage qu’en Nouvelle-Zélande survivra grâce à la volonté des hommes déterminés à en promouvoir la protection.
Source: Cyberpresse
Vivant autrefois sur des îles inhabitées, les kiwis et autres animaux présents ne développèrent pas de mécanismes de défense. Vers l’an 800 de notre ère, des Polynésiens arrivèrent par mer en ce pays transportant à bord de leurs embarcations des rats. Vers la moitié du XVIIe siècle, des chats, des chiens, des hermines et des furets les suivirent sur ces îles. Des opossums, lapins et belettes y débarquèrent également, grossissant le nombre de prédateurs. Ces derniers dérobèrent de la nourriture aux espèces indigènes ou se délectèrent de ces animaux sans défense.
Plus de 51 espèces d’oiseaux indigènes disparurent, ainsi que des grenouilles et lézards, poissons et plantes. Pratiquement disparu des îles principales, on retrouva cet oiseau dans les petites îles peu ou non habitées. Des bénévoles tentent aujourd’hui de chasser les prédateurs afin de préserver la vie des kiwis en des zones protégées. En l’an 2000, on relâcha quelques petits kiwis de l’espèce la plus rare dans une réserve. Les responsables estiment qu’en l’année 2009, l’arrivée de quarante nouveaux nés grossira la population des kiwis en ces réserves créées depuis quelques années. Cet oiseau que l’on ne retrouve à l’état sauvage qu’en Nouvelle-Zélande survivra grâce à la volonté des hommes déterminés à en promouvoir la protection.
Source: Cyberpresse
