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En image : les 1.235 planètes découvertes par Kepler

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  • En image : les 1.235 planètes découvertes par Kepler

    Par Mylène Bertaux, Futura-Sciences

    Une image vaut parfois mille mots... ou 1.235 planètes ! Depuis le lancement de la mission en 2009, Kepler s'est imposé en véritable chasseur de planètes. Le travail d'illustration synthétise deux ans de recherche et de travail.


    Cette image représente la totalité des planètes découvertes par Kepler. Elles apparaissent en noir passant devant leurs étoiles étoiles respectives qui sont à l'échelle. © Jason Rowe et l'équipe de Kepler


    Une comparaison de la taille des exoplanètes découvertes par Kepler. Re désigne le rayon de la Terre, pris comme unité. © Nasa-JPL

  • #2
    Hello Nico,

    Est-ce qu'elles sont des planêtes solides ou liquides?

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    • #3
      Salut Moloud

      Et bien en théorie les planètes qui sont grosses, sont gazeuses. On le remarque dans le système solaire déjà. Donc les planètes les plus faciles à détecter sont les plus grosses (elles occultent mieux leur étoile), donc pour l'essentiel, ces planètes doivent être gazeuses.

      Formellement pour déterminer si une planète est gazeuse, il faut définir sa taille (ça Kepler sais le faire) en mesurant la quantité de lumière cachée quand la planète passe devant l'étoile, mais il faut mesurer la masse de la planète et pour ça il faut observer l'impact que la planète a sur son étoile question gravitation (l'étoile oscille légèrement). Lorsqu'on a taille et masse on déduit la densité et donc si la planète est gazeuse ou bien en dur !

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      • #4
        Salut nico et excuser mon ignorance encore.

        Est-ce que le coeur de ces planetes est aussi gazeux?

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        • #5
          Oui, il y a très vraisemblablement un coeur solide dans le centre de chaque planète. En fait c'est un gradient de densité, plus on s'approche du centre plus la matière est dense, jusqu'à devenir solide.

          Et si un astre possède assez de matière alors la densité au centre est telle que l'astre démarre une réaction de fusion nucléaire, et du coup, on l'appelle une étoile !

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          • #6
            Merci bcp pour la réponce.
            Donc si on envoie un sonde, elle va tomber jusqu'au fond de la planete.

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            • #7
              Disons qu'au bout d'un moment elle va sans doute soit s'immobiliser comme engluée dans la matière dense, s'écraser sur le dur ou alors ne pas résister à la pression, aux températures ou au effets de gravitation. Ca dépendra des caractéristiques de la planète et de la conception de la sonde. Mystère. On a déjà envoyé la sonde Galileo dans Jupiter (fin de mission), et Cassini pourrait finir aussi comme ça dans Saturne. Mais on sait pas ce qu'elle est devenue ! Elle a rapidement cessé de transmettre en tout cas.

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