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Le petit poisson qui chamboule tout dans l'évolution

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  • #31
    Juste pour information :

    Carthage :
    A propos de l'entropie (2ème loi de la thermodynamique), le fait que le système soit ouvert et non fermé est une évidence !!.
    En d'autres termes beaucoup plus simples :
    - Mon corps est intelligent, il consomme de l’énergie pour garder l'ordre interne de ses cellules, après ma mort, mon corps trouvera le désordre.
    Citation : Évidences :
    1- Tu t'enfonce encore dans tes confusions et incompréhensions!
    2- On parlais évolution et maintenant tu nous parles de l'origine de la vie ?!! tu es confus ?
    3- que vient faire l'intelligence ici Einstein ?!!!

    - Une cellule vivante intelligente + Energie (nutrition) --> Combattre le désordre= Diminution de l'entropie = Garder les cellules vivantes

    - Un corps inerte (non intelligent) + Energie (nutrition) --> Augmentation du désordre ( entropie ++).

    Donc sans intelligence (pas de cellule vivante) --> pas de diminution de l’entropie même avec l’existence de l’énergie.

    Donc la première cellule ne peut pas voir le jour même avec l’existence de l’énergie d'ou la validation de la seconde loi de la thermodynamique.
    C'est pour ça que j'ai parlé de l'origine de la vie !!


    Bon, si, tu n'as pas pu comprendre un message pourtant très clair et bien expliqué, c'est qu'on est en train de perdre notre temps tous les deux,
    Chacun sa spécialité

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    • #32
      T'es plus vexé Carthage ? tant mieux.

      - Une cellule vivante intelligente + Energie (nutrition) --> Combattre le désordre= Diminution de l'entropie = Garder les cellules vivantes

      - Un corps inerte (non intelligent) + Energie (nutrition) --> Augmentation du désordre ( entropie ++).

      Donc sans intelligence (pas de cellule vivante) --> pas de diminution de l’entropie même avec l’existence de l’énergie.
      Je suis désolé de te le dire encore une n'ème fois, mais tu dis des inepties. Je ne peut rien pour toi, certainement pas si tu n'a jamais pris de cours de physique universitaire.

      Je te poserai une seule question, peut être elle t'inciterai à aller t'informer et t'instruire un peu plus et te montrerai l'étendue des inepties que tu viens de rcaonter.

      Comment les cristaux (de glace par exemple) peuvent-ils se former ?

      Je n'ose pas imaginer que ta réponse serait : il y a un démon intelligent et invisible qui conduit le processus !!

      Sans rancune.

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      • #33
        Lapi Lazuli

        Pour le moment, ce sont les pro évolutionnistes les propagandistes, en effet, bien que cette théorie soit "bancale", elle est encore enseignée à l'école (fr) telle une certitude scientifique; comme l'a soulignée Carthage.

        Et, vu que c'est une théorie bien établie dans la société, la réfuter ou bien apporter une quelconque preuve qui plus est vérifiée par des scientifiques que celle ci n'est pas cohérente, vous montez au créneau en accusant celui ou celle qui s'engage à montrer les incohérences, de faire de la propagande, or n'est ce pas montrer de bon sens scientifique que d'être exigeant envers les théories qu'on nous impose, et d'exiger des preuves, autres que des tas d'os remplis de chaînons manquants, plutôt que d'y croire ?
        Soit parce que tout le monde y croit, soit parce qu'on ne nous propose aucune alternative à cette théorie bancale, soit parce que c'est la théorie la plus en vogue depuis moins de 200 ans, et qu'on veut absolument nous faire croire que celle ci est une certitude parce qu'on nous l'assène dans le crâne à coup d'images de synthèse de mammouths etc...
        Si quelqu’un réussi a établir une faille dans la théorie de darwin, il peut vraiment la publier. Il ne va pas faire comme les charlatans qui sautent directement sur la chose et disent qu'ils ont montrer que la théorie de Darwin est fausse (malgré les dizaines de milliers de preuves qui la soutiennent accumulés durant ces deux derniers siècles). Mais il pourra faire publier son travail en soulignant l'erreur ou la faille avec preuves et d'une façon professionnelle. Petit a petit ces failles accumulés pourrons causer de vrais problèmes pour cette théorie, mais pour le moment il n'y a rien de tout ça. On a un ensemble d'amateurs qui critiquent la théorie par des arguments non publiables, des arguments non robustes et les journaux sérieux ne daignerons jamais publier de la médiocrité.

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        • #34
          Lapi Lazuli

          quelques arguments de la part de célèbres biochimistes à propos de la complexité de la cellule et non évangélistes ou curés de paroissse :
          Ce problème a été pas mal discuté dans ce topique il y a un certain temps:

          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=287752

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          • #35
            Sofiane_Oujda

            Si quelqu’un réussi a établir une faille dans la théorie de darwin, il peut vraiment la publier. Il ne va pas faire comme les charlatans qui sautent directement sur la chose et disent qu'ils ont montrer que la théorie de Darwin est fausse (malgré les dizaines de milliers de preuves qui la soutiennent accumulés durant ces deux derniers siècles). Mais il pourra faire publier son travail en soulignant l'erreur ou la faille avec preuves et d'une façon professionnelle. Petit a petit ces failles accumulés pourrons causer de vrais problèmes pour cette théorie, mais pour le moment il n'y a rien de tout ça. On a un ensemble d'amateurs qui critiquent la théorie par des arguments non publiables, des arguments non robustes et les journaux sérieux ne daignerons jamais publier de la médiocrité.

            Bonjour,

            Je vois qu'il y a un réel problème de manque d'information.

            La théorie synthétique de l'évolution stipule que le moteur de l’évolution est la sélection naturelle des mutations aléatoires...
            Darwin a détrôné Jean Baptiste Lamarck (fondateur de la théorie du transformisme) et l'a envoyé aux oubliettes.

            Beaucoup de scientifiques étaient septiques quand à la capacité de la sélection naturelle des mutations aléatoires d'expliquer toutes les évolutions sans pouvoir le dire par peur de la réaction du reste de la communauté scientifique, les publications se sont multipliées depuis 2005.
            (Je vais donner tous les liens pour appuyer mes affirmations).

            depuis 2005/2007, les recherches sur l’Épigénétique ont bien avancé
            et surtout elles ont été confirmées par des expériences scientifiques irréfutables.

            * Avant tout, c'est quoi l'épigénétique ? : c'est un autre moteur d’évolution complètement indépendant de l'ADN (on soupçonne que ses mécanismes se situent sur la membrane cellulaire), c'est un moteur d’évolution qui se situe à l’intérieur du sujet lui même.
            C'est aussi la capacité de transmettre le caractère acquis (en contradiction avec les lois de Mandel et la sélection naturelle de Darwin).


            * L'épigénétique contredit-elle la théorie de l’évolution ? : Les avis sont partagés entre les scientifiques qui disent qu'elle complète et d'autres qui disent qu'elle invalide ....
            Ce qui est plus ou moins admis par plusieurs scientifiques :
            -L’évolution c'est 25 % de "sélection naturelle des mutations aléatoires" et 75% d’épigénétique.

            * Y a-il des expériences scientifiques qui prouvent que épigénétique est juste ? :
            - Les expériences sur la transmission du caractère acquit des mouches drosophiles.
            - Une étude suédoise (Université d'Uméa) qui prouve la transmission des caractères acquis.




            Quelques liens :

            - Google : hominidés theories-evolution-en-evolution
            - Google : épigénétique evolution collège de france troy day
            - Google : canal u épigénétique
            - Google : canal u yves_coppens_questions_sur_l_evolution

            Il y a des centaines de vidéos de très grands scientifiques qui vont dans le même sens.

            La sélection naturelle, même si elle n'est pas invalidée à 100%, elle n'est plus perçue comme moteur principal de l’évolution.

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            • #36
              Carthage

              Bonjour,

              Je vois qu'il y a un réel problème de manque d'information.
              Je ne suit pas tout ce qu'il y a de nouveau dans le domaine de la biologie en effet, ce n'est pas ma spécialité. Ce qui me dérange c'est la démarche des créationnistes qui veulent détruire tout ce qui a été fait en évolution et ils ne mettent rien de concret a la place a part l'idée de dieu. La démarche du scientifique qui a exposé au collège de France par exemple n'a rien a voir avec ça, c'est une démarche scientifique, il veut modéliser l'évolution en des équations plus générales qui incluent autres composantes que l'ADN seul, et il explique avec ses nouvelles équations des paradoxes et des phénomènes que le modèle génétique et lois de mendel seuls n'expliquent pas. C'est tout a fait intéressant et c'est ça la science, non pas le créationnisme.
              Dernière modification par soufiane-oujda, 12 octobre 2013, 14h42.

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              • #37
                Carthage

                Par contre il y en a ici qui ont parler de harun yahya et je ne t'ai vu s'adresser a eux ni critiquer le charlatan harun yahya, pour ça que je croyais que tu été de cette école la .

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                • #38
                  Je vois qu'il y a un réel problème de manque d'information.
                  Je ne te le fait pas dire, surtout de la part de quelqu'un qui nage dans les confusions et lance des bourdes aussi grosse que celle de l'entropie.

                  La théorie synthétique de l'évolution stipule que le moteur de l’évolution est la sélection naturelle des mutations aléatoires...
                  Elle stipule que la sélection naturelle est le mécanisme prédominant, rien n'empêche l'existence qu'autres mécanisme comme la dérive génétique qui joue un rôle dans certains cas.
                  sans pouvoir le dire par peur de la réaction du reste de la communauté scientifique, les publications se sont multipliées depuis 2005.
                  (Je vais donner tous les liens pour appuyer mes affirmations).
                  Arrête de répéter ce genre de conneries. Avoir peur ?! Lorsque tu as quelque chose de solide à publier et des preuves, de quoi avoir peur ???!!! Tu te moques de qui là ?

                  Va y donc montre nous ces milliers, ou centaine pour être gentils, d'articles qui mettent à mal le rôle central de la sélection naturelle, chiche ! On attend, ne te met pas dans l'embarras en ignorant encore une fois nos requêtes.

                  depuis 2005/2007, les recherches sur l’Épigénétique ont bien avancé
                  et surtout elles ont été confirmées par des expériences scientifiques irréfutables.
                  Tu donnes trop d'importance à l'Épigénétique et penses faussement qu'elle remet en cause le cadre général de la théorie synthétique et notamment sa composante darwinienne, tu est tombé facilement dans le panneau en lisant trop la propagande sans prendre le soin de lire les réponses des scientifiques à ces allégations.

                  * L'épigénétique contredit-elle la théorie de l’évolution ? : Les avis sont partagés entre les scientifiques qui disent qu'elle complète et d'autres qui disent qu'elle invalide ....
                  Ce qui est plus ou moins admis par plusieurs scientifiques :
                  -L’évolution c'est 25 % de "sélection naturelle des mutations aléatoires" et 75% d’épigénétique.
                  Ababaaa le mensonge sans honte bue !! Ahchem chwiya
                  ou alors tu t'es encore fait arnaqué par les marchants d'illusions ?? Renseigne toi bien, tu lances des affirmations complètement erronés sans prendre le soin de vérifier, tu sais, après le coup de l'entropie, du consensus sur l'origine extraterrestre de la vie et mnt avec ces chiffres farfelues, ta crédibilité commence à en prendre de sacrés coup. Ressaisi toi l'ami.
                  elle n'est plus perçue comme moteur principal de l’évolution.
                  Et tu continue ta désinformation ! Si tu n'arrive à filtrer le bon du faux et du prétentieux et ne veut pas écouter les scientifiques, on va t'aider un peu :

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                  • #39
                    Tiens instruit toi

                    Jerry Coyne, l'un des plus grands biologistes spécialistes mondiaux de l'évolution sur le phénomène de l’épigénétique et la fausse prétention que lui donne les créationnistes et ID'ist.


                    Is “epigenetics” a revolution in evolution?

                    One often hears the suggestion that the neo-Darwinian view of evolution is on the skids, and that view will be completely changed—if not overturned—by new biological ideas like modularity, genetic assimilation, evolvability, and epigenetics. Epigenetics in particular (I’ll define it in a moment) has been especially touted as a concept that will revolutionize evolutionary biology.

                    Call me an old fogey, but I think the idea of epigenetics as a Darwin-destroyer is completely bogus. Although certain discoveries in that area are interesting, and have certainly expanded our notion about how genes work, there is not the slightest evidence that the findings of epigenetics will dispel the main ideas of neo-Darwinism, which include the ideas of evolutionary change via natural selection and genetic drift, the randomness of mutations, the ideas of speciation and common descent, and the gene-centered view of evolution. I’ve explained my views on epigenetics as a revolution in several previous posts, for example here, here, here, and here, but, like the Lernean Hydra, each time you cut off a head of the epigenetic beast, it grows another one.

                    The latest head appeared in Friday’s Guardian, in a book review written by Peter Forbes; the book is The Epigenetics Revolution by Nessa Carey, and Forbes sees the book as tremendously important, implying that is part of a scientific revolution and explicitly saying that it’s a book that would “make Darwin swoon.” I haven’t read the book, and although it might make Darwin swoon if the old git were to be resurrected, the discoveries of genetics and the mechanism of inheritance itself would make him swoon far more readily. And I know scientific revolutions; scientific revolutions are friends of mine; and believe me, epigenetics is no scientific revolution.

                    So what is epigenetics? The term is actually used in two different ways. When I was younger, it simply meant “developmental genetics,” that is, the study of the way the DNA code of genes is translated into the bodies and physiologies of organisms. That, of course, was a tremendously important and exciting area, and still is. It involves understanding how genes are turned on and off in different tissues and cells, how different genes interact with each other, and how the products of a one-dimensional sequence of information can build a three-dimensional body. This study has segued into the new field of “evo devo,” which tries to understand the evolutionary basis of developmental genetics. “Evo devo” itself has, of course, led to its own important discoveries, like the presence and conservation of homeobox genes, the use of the same genes over and over again in forming similar but non-homologous traits (e.g., PAX6 in the formation of fly eyes and vertebrate eyes), and the linear arrangement of genes in some organisms (e.g., Drosophila) that correspond to the linear arrangement of body parts they affect.

                    So developmental genetics, and evo devo, are fascinating areas that produce a stream of surprising discoveries. But they’ve done nothing to alter the going paradigm of neo-Darwinian evolution. It is telling that, for example, Sean Carroll, a famous practitioner of “evo devo” and a popular writer, is a firm adherent to neo-Darwinism. What we learn from these areas is precisely how evolution has acted to sculpt bodies, but it still does so using randomly-generated genetic variation and good old natural selection (and yes, Larry Moran, genetic drift also plays a role). Gene regulation itself is a phenomenon molded by natural selection, and how genes are turned on and off is itself a phenomenon residing in the genes: in the genes that make the DNA or proteins that regulate other genes, and in the many ways that genes evolve (through, for example, the evolution of regulatory regions), to respond to internal “environmental” influences.
                    The second meaning of “epigenetics” is more recent, and involves actual changes in the DNA itself that are not based on mutational changes in nucleotides, but in environmental modifications of nucleotides—things like methylation of nucleotide bases or changes in DNA-associated proteins like histones—that can temporarily modify genes and affect their actions. I say “temporarily,” because such environmental modification of DNA, while it can be adaptive, is not usually passed on from one generation to the next. For example, we get our genes in pairs—one from mom and one from dad—but they can be differentially “marked” (the technical term is “imprinted”) during the formation of sperm and eggs, and so the copy from dad can act differently from the copy coming from mom. This imprinting is probably due to natural selection: scientists like David Haig have argued that the different and conflicting “interests” of paternal versus maternal genes has, through natural selection, molded the way they are imprinted, allowing them to act in different ways in the embryo. But an “imprinted” gene is reset each generation: the imprinting disappears and has to re-form depending on which sex the gene is in.

                    As I have argued before, however, imprinting of genes, although a novel and recently-discovered phenomenon, is not a “revolution” in how we view evolution: it is an embellishment that doesn’t overturn the main ideas of neo-Darwinism. And many of the phenomena subsumed by this modern notion of “epigenetics” still evolved by natural selection. Imprinting, after all, is based on changes in DNA that somehow render paternal DNA more (or less) susceptible to modification than maternal DNA. Imprinting has evolved by changes in DNA, even though the modifications of DNA it causes are environmental.
                    In his review of Carey’s book, Forbes, a science writer, concentrates on the second, “revolutionary” sense of epigenetics:
                    Genes don’t just issue instructions: they respond to messages coming from other genes, from hormones and from nutritional cues and learning. Much epigenetics revolves around nutrition. If we drink a lot of alcohol an enzyme that metabolises it becomes more active – “upregulated” in the jargon. And similar mechanisms apply to much of our behaviour. The methods by which genes makes these responses often involve very small chemical modifications (usually the addition of a tiny methyl group to one base of DNA). It is almost certain that memory – a classic nurture problem: we learn something and it becomes biologically encoded – involves epigenetics. Once made, epigenetic changes can be very long lasting, which is how our long-term memory is possible.
                    Why is this “revolutionary?” Because some of the inherited changes of genes appear to be “Lamarckian,” that is, they aren’t really changes in DNA sequence itself, but environmental modifications of DNA that can be passed from one generation to the next. And if such “nongenetic,” environmentally-acquired inheritance were common, that would be a revolution in the way we think about evolution.
                    So what’s the evidence for this “revolutionary” notion? Forbes simply offers up the same tired old anecdotes I’ve addressed before:
                    So far, this is instructive and highly promising for medical research, but epigenetics finally reaches that “everything you’ve been told is wrong” moment when it claims that some epigenetic changes are so long-lasting they cover several generations: they can be inherited. This flouts one of biology’s most cherished dogmas – taught to all students – namely that changes acquired during life cannot be passed on – the heresy of Lamarckism.
                    But the evidence that this can occur in some cases appears to be growing. There are lab experiments with mice and rats in which epigenetic effects on coat colour and obesity can be inherited. More suggestive evidence comes from a vast, unwitting and cruel experiment played out in the second world war. In 1944, during the last months of the war, a Nazi blockade followed by an exceedingly harsh winter led to mass starvation in Holland. This had a huge effect on babies born at the time, and the effects of poor nutrition on the foetus seem to have persisted through subsequent generations.
                    Dernière modification par Evidences, 12 octobre 2013, 17h16.

                    Commentaire


                    • #40
                      Well, I won’t flog poor Mr. Forbes with the fact that these are only a few trivial examples of the phenomenon, examples that don’t appear to have any evolutionary importance. Nor will I flog him with the fact that when we can dissect the genetic basis of real adaptations in real organisms, they invariably turn out to rest on changes in DNA sequence, not in environmental and non-DNA-based modifications of nucleotides. Here’s what I said in an earlier post about Oliver Burkeman’s claims that epigenetics has profound implications for evolution (like Forbes, Burkeman is a science journalist):
                      All I can say to this is: “Profound implications my tuchus!” There are a handful of examples showing that environmentally-induced changes can be passed from one generation to the next. In nearly all of these examples, the changes disappear after one or two generations, so they couldn’t effect permanent evolutionary change. The proponents of epigenesis as an important factor in evolution, like Eva Jablonka and Marion Lamb, always wind up talking about the same tired old examples, like cases of coat color change in mice and flower pattern in toadflax. I am not aware of a single case in which an adaptive change in an organism—or any change that has been fixed in a species—rests on inheritance that is not based on changes in the DNA. (For a refutation of the pro-epigenesis arguments that Jablonka and Lamb make in their 2005 book, see Haig [2007].)
                      Moreover, some examples of “nongenetic” inheritance that do have adaptive significance, such as differential methylation of paternal versus maternal chromosomes, ultimately rest on changes in DNA that promote that differential methylation. And this “inheritance” lasts only one generation, for the methylation profile is reset in each sex every generation.
                      In contrast to the very few cases of one- or two-generation inheritance that cause nonadaptive changes in the phenotype stands the very, very large number of studies in which inherited changes within and among species map to the DNA. These include every case of evolutionary response to artificial or human-generated selection, adaptive changes within species (e.g., spiny-ness in sticklebacks), and differences among species in both morphology (e.g., the color differences in fruit flies I study) and reproductive barriers (the many mapping studies of “hybrid sterility” and “hybrid inviability” genes). Burkeman, of course, doesn’t mention these cases: it would ruin his nice story.
                      If we look just at studies of the inheritance of organismal changes that have evolved over time (and many of these would have detected profound epigenetic effects), the score would be something like this: DNA 757, Epigenesis 0. (I’m just making these numbers up, of course, to make a point.) If we look at all “inherited changes”, regardless of their evolutionary importance, we would have a handful of epigenetic changes versus literally thousands of DNA-based changes. So how can Burkeman say that epigenesis will profoundly revise our view of evolution?
                      So, Mr. Forbes, our “cherished dogma” of non-Lamarckian inheritance still holds strong, and you’ve done your readers a disservice by implying otherwise. Lamarckism is not a “heresy,” but simply a hypothesis that hasn’t held up, despite legions of evolution-revolutionaries who argue that it flushes neo-Darwinism down the toilet. If “epigenetics” in the second sense is so important in evolution, let us have a list of, say, a hundred adaptations of organisms that evolved in this Larmackian way as opposed to the old, boring, neo-Darwinian way involving inherited changes in DNA sequence.

                      Forbes can’t produce such a list, because there’s not one. In fact, I can’t think of a single entry for that list.
                      Dernière modification par Evidences, 12 octobre 2013, 17h03.

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                      • #41
                        The 3 points below are from Oana Carja‘s excellent answer to the question, “Is it time to revise evolutionary biology textbooks to reconcile Darwin with Lamarck?”
                        1. A property of the DNA sequence itself is the ability to switch epigenetic state, and is therefore subject to natural selection on conventional mutations.


                        2. Natural selection will eliminate switches with maladaptive effects but perpetuate, and refine, those with adaptive effects.


                        3. The additional ‘information’ represented by a DNA sequence’s particular epigenetic state is repeatedly being reset.
                        Thus, epigenetic switches do not involve cumulative, open-ended evolutionary change. Switches are wonderful tools that increase the options available to DNA sequences but, in themselves, should not challenge the beliefs of a neo-Darwinist. The high rate of epigenetic change is also important because the level of achievable adaptive precision is limited by the fidelity of replication. Adaptation is constantly being degraded by copying errors and the higher the rate of errors, the larger the selective advantage that is required to maintain previous adaptation. Thus, small selective advantages are unable to be maintained in the presence of low-fidelity replication.
                        Therefore, significant adaptations are expected to be encoded genetically rather than epigenetically. Modern neo-Darwinists do not deny that epigenetic mechanisms play an important role during development nor do they deny that these mechanisms enable a variety of adaptive responses to the environment. Recurrent, predictable changes of epigenetic state provide a useful set of switches that allow genetically identical cells to acquire differentiated functions and allow facultative responses of a genotype to environmental changes (provided that ‘similar’ changes have occurred repeatedly in the past). However, most neo-Darwinists would claim that the ability to adaptively switch epigenetic state is a property of the DNA sequence (in the sense that alternative sequences would show different switching behavior) and that any increase of adaptedness in the system has come about by a process of natural selection.
                        In other words, epigenetic switches themselves are subject to evolution. Thus, I must sincerely apologize for my current inability to christen epigenetics as the long-awaited mechanism to bring the DC vs. Marvel debate into the scientific realm.

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                        • #42
                          D'après la vidéo que carthage lui même a donné (celle de la conférence au collège de france) l’épigénétique ne contredit en rien la sélection naturelle, c'est une tentative de généralisation, comme passer de la mécanique classique a la relativité. Une généralisation des équations et de concepts qui permet d'expliquer des paradoxes qui autrefois étaient inexplicables ... C'est très intéressant je trouve.

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                          • #43
                            Effectivement Soufiane
                            C'est ce qu'on essai de lui dire, mais apparemment il a horreur du rôle du hasard dans la théorie, il n'arrive à imaginer la vie sans concepteur et prend toute tentative propagandiste et désinformation comme argent comptant pour défendre ce que l'on pourrai qualifier de "pré-sentiment". On se demande s'il s'est jamais poser la question concernant le concepteur lui même!!!

                            Voila un article de la revue La recherche qui clarifie le statu actuel de l'épigénétique et son rôle dans le cadre de la théorie synthétique.

                            Ce que devient la théorie de l'évolution


                            dossier - 01/04/2012 par Rafaële Brillaud dans mensuel n°463 à la page 52 (1335 mots) | Gratuit
                            http://www.larecherche.fr/savoirs/do...-04-2012-90866


                            Les découvertes sur l'hérédité épigénétique signent-elles la fin du darwinisme ? C'est ce que prétendent les créationnistes, qui se dissimulent aujourd'hui derrière le dessein intelligent.



                            « A mesure que de nouvelles recherches sont menées dans le champ de l'épigénétique [...], la nature du déficit d'information auquel est confronté le darwinisme s'étend, et il est de moins en moins vraisemblable que de tels systèmes aient été construits par des moyens non intelligents.[...] Il est désormais évident que [...] la vie "empeste" le dessein [1]. »

                            Ces phrases, que l'on peut lire sur le site Internet Evolution News and Views, sous la plume d'un certain Jonathan M., sont emblématiques de la façon dont les créationnistes et autres partisans du dessein intelligent tentent d'utiliser les résultats de l'épigénétique pour attaquer la théorie de l'évolution par sélection naturelle.

                            Sélection naturelle

                            Leur cible préférée est l'importance du hasard dans la théorie darwinienne. En termes actuels, on peut résumer celle-ci de la façon suivante. Des mutations génétiques aléatoires sont à l'origine d'une certaine diversité parmi les individus d'une même espèce. Les mutations favorisant la reproduction des individus qui les portent, dans l'environnement où ils vivent, se répandent dans la population au fil des générations : elles sont sélectionnées. À terme, cela peut conduire à l'apparition de nouvelles espèces. Et le code génétique porté par l'ADN contient seul les informations relatives à la structure et au fonctionnement des organismes.
                            Depuis quelques années, les découvertes liées aux mécanismes de l'épigénétique mettent à mal l'idée selon laquelle les modifications héréditaires de cette structure ou de ce fonctionnement sont exclusivement dues à des altérations de la séquence de l'ADN. Elles montrent que l'environnement et l'histoire individuelle influent sur l'expression des gènes*, sans les modifier eux-mêmes. Certaines de ces variations seraient même transmises de génération en génération, y compris après la disparition des facteurs environnementaux à l'origine de leur apparition (lire « L'hérédité ne passe pas seulement par l'ADN », p. 40).
                            Pour autant, cela n'impose pas la mise au rebut de la théorie de Darwin. Et en tout cas, certainement pas pour remplacer la sélection naturelle par une intelligence supérieure qui guiderait l'évolution, comme le clament les partisans du dessein intelligent, qui veulent remplacer le questionnement scientifique par des convictions religieuses. Les résultats de l'épigénétique ont bel et bien déclenché des débats parmi les biologistes eux-mêmes. Mais s'ils s'interrogent sur la façon de les prendre en compte, aucun d'entre eux ne remet en question le cadre darwinien.
                            Et pour cause : l'épigénétique ne contredit pas le principe d'évolution par sélection naturelle. L'environnement pourrait certes déclencher l'apparition (ou la disparition) de certains caractères chez un individu, mais il ne les détermine pas pour autant. Ces caractères ne sont pas forcément bénéfiques à la survie ou à la reproduction de l'individu en question.
                            Ensuite, la théorie de l'évolution par sélection naturelle ne dit rien quant à la nature des supports de l'hérédité. Pour une bonne raison : Darwin n'en connaissait aucun lorsqu'il l'a formulée. Les lois génétiques de l'hérédité, théorisées par Gregor Mendel dans les années 1860, sont restées confidentielles jusqu'à leur redécouverte au début du XXe siècle. Et le rôle des chromosomes n'a été élucidé par Thomas Morgan qu'en 1911.

                            Au-delà de la génétique

                            La théorie darwinienne n'est donc pas a priori une théorie génétique. « Les deux ont d'ailleurs pendant longtemps semblé incompatibles, insiste Thomas Heams, spécialiste de génomique fonctionnelle animale à AgroParis Tech. Tandis que Darwin insistait sur l'aspect graduel de l'évolution, la génétique mettait en lumière des variations discontinues. Par exemple, Mendel étudiait des pois qui pouvaient être lisses ou ridés. Puis on a compris qu'un caractère, tel que la production laitière d'une vache, peut dépendre de multiples caractères discontinus qui donnent l'apparence d'un changement continu. »
                            C'est justement l'un des acquis de la théorie synthétique de l'évolution, ou théorie néodarwinienne, élaborée dans les années 1930 et 1940, d'avoir accordé génétique et sélection naturelle. Cette extension de la théorie originale de Darwin repose sur deux piliers. « Elle affirme que la totalité des processus héréditaires obéissent aux lois mendéliennes et que la transformation des espèces s'explique pour l'essentiel par la sélection naturelle », résume Laurent Loison, historien de la biologie.
                            Mais voilà que l'épigénétique prouve l'existence de mécanismes héréditaires qui ne dépendent pas des gènes. Pis, elle réhabilite l'idée d'une hérédité des caractères acquis de son vivant par un individu, que la génétique considère comme impossible depuis les travaux d'August Weismann à la fin du XIXe siècle ! Aux Pays-Bas par exemple, des femmes enceintes touchées par la famine pendant la Seconde Guerre mondiale ont donné naissance à des enfants de petit poids : un phénomène compréhensible puisque le foetus est nourri par l'organisme maternel. Seulement ces enfants devenus grands ont eux-mêmes donné naissance à des bébés de faible poids, bien qu'ils n'aient jamais subi de famine et qu'aucune mutation génétique ne soit en mesure d'expliquer le phénomène. On comprend dès lors que l'épigénétique puisse apparaître aux yeux de certains comme la « renaissance de l'hérésie », pour paraphraser l'évolutionniste canadienne Susannah Varmuza [2].
                            Un consensus semble aujourd'hui se dégager au sein de la communauté scientifique pour modifier le cadre de pensée actuel, mais tous ne prônent pas un changement de la même importance. « L'épigénétique est une hypothèse ad hoc qu'on a ajoutée à la génétique pour combler des failles qui demeurent inexpliquées et faire tenir la théorie synthétique de l'évolution, qui est dépassée, assène Jean-Jacques Kupiec, biologiste moléculaire et épistémologue à l'École normale supérieure de Paris, darwinien convaincu. Le terme rappelle les épicycles* dans le système astronomique de Ptolémée. L'emballement autour de l'épigénétique est du même ordre ! [3]» En d'autres termes, on complexifierait inutilement la théorie, plutôt que d'en rechercher une autre qui intégrerait naturellement toutes les observations.

                            Élargir la théorie

                            « Il faut révolutionner la théorie synthétique, clame également sans détour Étienne Danchin, du CNRS, qui a cosigné en juillet 2011 un appel en ce sens [4]. Au départ, la vision de Darwin était très ouverte. Celui-ci acceptait même l'idée d'une hérédité culturelle. Puis la découverte de la génétique, fascinante, nous a éblouis. Nous avons réduit l'hérédité à une seule composante, nous sommes devenus des obsessionnels de la génétique et nous avons oublié le reste : l'hérédité épigénétique, culturelle, environnementale, etc. »
                            Pour Eva Jablonka, de l'université de Tel Aviv, il faut aussi revoir les fondations. La théorie synthétique n'est plus tenable en l'état et doit radicalement changer [5]. « Néanmoins aucune proposition concrète n'a émergé pour le moment », précise Laurent Loison.
                            D'autres, à l'image de Massimo Pigliucci, philosophe au Lehman College à New York, jugent le cadre encore valable mais estiment qu'il faut l'étendre, pour laisser place à des mécanismes supplémentaires. D'autres enfin prédisent que l'épigénétique n'engendrera que des modifications théoriques négligeables, les mutations génétiques restant le mécanisme essentiel pour expliquer l'adaptation. « Les phénomènes épigénétiques sont réversibles, instables ; ils s'estompent avec le temps. Cela constitue un argument très fort pour douter qu'ils puissent ébranler le cadre actuel », souligne Jean Gayon, de l'Institut d'histoire et de philosophie des sciences et techniques à Paris.


                            L'organisme réhabilité
                            « L'épigenèse n'a pas la même capacité combinatoire que l'ADN, où chaque nucléotide ne signifie rien mais permet de coder ce que l'on veut, relève quant à lui Pierre-Henri Gouyon, du Muséum national d'histoire naturelle, à Paris. Elle fonctionne comme des hiéroglyphes, chaque variation a un sens en elle-même. Du coup la quantité d'information codée est beaucoup plus faible, ce qui laisse à penser que ce mécanisme restera marginal. »
                            En attendant de pouvoir évaluer l'ampleur des effets épigénétiques, un changement de perspective se confirme. « Avec la théorie synthétique, l'individu n'existe pas vraiment, analyse Laurent Loison. Comme le formulait à l'extrême le Britannique Richard Dawkins dans les années 1970, l'organisme n'est finalement qu'un "véhicule" qui porte et transmet les gènes : peu importe la manière dont l'individu se construit et réagit avec son environnement, cela n'a pas d'importance [6]. Mais depuis une trentaine d'années, avec notamment la découverte des gènes du développement et des processus épigénétiques, l'organisme redevient un point important. » Et nul besoin pour cela d'un concepteur intelligent !

                            Par Rafaële Brillaud

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                            • #44
                              Soufiane-Oujda
                              Par contre il y en a ici qui ont parler de harun yahya et je ne t'ai vu s'adresser a eux ni critiquer le charlatan harun yahya, pour ça que je croyais que tu été de cette école la .
                              Je suis d'accord à 100%.
                              Mais le fait que les créationnistes essayent d'exploiter la brèche ne doit pas interférer avec les recherches pour améliorer la compréhension du vivant.

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                              • #45
                                Bonsoir,

                                Elle stipule que la sélection naturelle est le mécanisme prédominant, rien n'empêche l'existence qu'autres mécanisme comme la dérive génétique qui joue un rôle dans certains cas.

                                Arrête de répéter ce genre de conneries. Avoir peur ?! Lorsque tu as quelque chose de solide à publier et des preuves, de quoi avoir peur ???!!! Tu te moques de qui là ?

                                -L’évolution c'est 25 % de "sélection naturelle des mutations aléatoires" et 75% d’épigénétique.
                                Ababaaa le mensonge sans honte bue !! Ahchem chwiya
                                ou alors tu t'es encore fait arnaqué par les marchants d'illusions ?? Renseigne toi bien, tu lances des affirmations complètement erronés sans prendre le soin de vérifier
                                C'est pas moi qui a affirmé cela, mais c'est le chercheur Français Yve Coppains




                                tu sais, après le coup de l'entropie,
                                Je te renvoi à mon ancien poste du même fil.
                                Le corps vivant peut consommer de l’énergie pour combattre l’entropie contrairement à la matière inerte.


                                du consensus sur l'origine extraterrestre de la vie et mnt avec ces chiffres farfelues, ta crédibilité commence à en prendre de sacrés coup. Ressaisi toi l'ami.
                                Google : hypothèses sur l'origine de la vie extraterrestre.
                                Google : recherches origine de la vie comète.


                                Pour revenir à la théorie synthétique de l’évolution et le soit disant le consensus, la présentation ci dessous parle de l'historique des différentes théories de l’évolution:
                                Google : canal u college_de_france_du_darwinisme_de_darwin_a_l_evol utionisme_d_aujourd_hui_laurent_loison 5278


                                Pour les reste : Prenez votre temps pour lire les nouvelles publications scientifiques.

                                Amicalement.
                                Dernière modification par Carthage, 12 octobre 2013, 19h09.

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