Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le sloughi, une espèce en voie de disparition en Algérie?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le sloughi, une espèce en voie de disparition en Algérie?

    Le sloughi, une espèce en voie de disparition en Algérie? Le sloughi (ou slougui), appelé aussi lévrier arabe ou lévrier berbère, est une race de chiens originaire d’Algérie et d'Afrique du Nord en général. Il est utilisé pour la chasse et la garde des troupeaux. Il accompagne également les activités liées à la cavalerie.

    Le sloughi, avec un corps mince rappelant celui du guépard, se distingue par son élégance et sa rapidité. Selon la tradition, il est aussi très intelligent. Ainsi un vieux dicton dit : «Ce que le chacal a étudié, le sloughi l’a appris par cœur» (cela veut dire que le sloughi a toujours une longueur d’avance sur son rival de toujours). Le sloughi est aussi «noble», très courageux, digne et très attaché à son maître.

    L’écrivain et peintre orientaliste Eugène Fromentin a peint le sloughi dans plusieurs de ses tableaux dont ceux intitulés Départ pour la chasse (1857) et Arabes à la chasse (1865). Le peintre et sculpteur français Jean-Léon Gérôme a peint des sloughis dans ses œuvres intitulées Une plaisanterie, Arnaute fumant au nez d'un chien et Dans le désert.

    Selon des éleveurs de sloughi, cet animal est l’objet d’un «trafic» de l’Algérie vers l’étranger, notamment vers l’Europe où il serait très demandé par les éleveurs.

    Une loi pour protéger ce patrimoine vivant ?

    Kader Bakou- Le Soir d'Algérie.

  • #2
    lévrier berbère ou sloughi



    Le sloughi (aussi Slougui), lévrier berbère est un lévrier originaire d'Afrique du Nord (Maroc, Tunisie, Libye et Algérie d’après Dr Mohamed El Gtar
    Il est utilisé pour la chasse et la garde de troupeau.
    les principales qualités du sloughi, selon les éleveurs, sont l'instinct de chasseur, le courage, la rapidité, l'endurance et l'intelligence.

    Selon un dicton arabe : « quand un Sloughi voit une gazelle qui arrache un brin d'herbe, il se retrouve à sa hauteur avant qu'elle ait fini de la mâcher




    Les caractéristiques décrites dans le standard permettent d'évaluer rapidement la qualité d'un sujet : les proportions carrées, la longueur des pattes, la queue légèrement retroussée, la longueur du museau, la profondeur de la poitrine, le regard nostalgique, le poil toujours court, etc. Vitesse moyenne : environ 55 km/h sur 300 mètres.






    Cette race étant très ancienne, il est difficile d'en connaitre l'origine exacte. Ses ancêtres sont peut-être les lévriers de l'Égypte ancienne et de l'Afrique ancienne. Le Nord de l'Afrique a été envahi par les Romains, les Vandales et les Arabes. Il est impossible de savoir comment les chiens des envahisseurs ont pu se croiser avec les Lévriers autochtones et vice-versa.

    Le sloughi est une race distincte des Lévriers d'Asie avec lesquels il est souvent confondu, tels que le saluki à poil ras ou long, ou le lévrier afghan à poil ras ou long. Des études génétiques récentes le prouvent, de même que le fait que le sloughi ait toujours le poil court.

    Cette race de lévriers est à l'origine du lévrier du peuple berbère et a aussi été utilisée par les bédouins. De nos jours, du fait de réglementations sévères concernant la chasse et l'extinction des espèces dans les déserts et autres milieux, plusieurs de ces chiens sont utilisés par leurs maîtres comme gagne-pain lors de concours canins ou de courses de chiens. Même si cette race a été précisément sélectionnée pour la chasse dans le désert et les montagnes de l'Atlas, ceci n'en fait pas un moins bon compagnon pour autant, mais ces animaux nécessitent un plus grand nombre d'heures consacrées à l'exercice physique




    dz(0000/1111)dz

    Commentaire


    • #3
      La place du chien dans les civilisations

      Préhistoire
      L'homme primitif utilisa d'abord le chien pour le seconder à la chasse et le défendre contre les attaques des bêtes sauvages. Lorsque de nomade, il devint sédentaire, il parvint à se construire une habitation et à se constituer des réserves alimentaires. Le chien devint alors chasseur et gardien de ses biens et de ses troupeaux.

      Antiquité
      Deux mille ans avant l'ère chrétienne, le chien figurait sur les monuments de l'ancienne Égypte et dans les hiéroglyphes, il signifiait la victoire, le courage ou la peur suivant qu'il était représenté avec la queue levée ou baissée. Les égyptiens vouaient au chien un véritable culte et l'adoraient sous le nom d'ANUBIS qu'il considéraient comme le génie du Nil dont le débordement fertilisait les terres. ANUBIS fut le gardien du cadavre d'OSIRIS et c'est grâce à lui qu'il put retrouver son épouse ISIS, d'où le défilé de chiens en tête de cortège que célébrait la déesse. Cette croyance traduisait en tout état de cause la fidélité du chien et son aptitude au pistage. Un corps d'homme à la tête de chien figurait cette divinité qui avait sa place dans tous les édifices. La mort d'un chien donnait lieu à de grandes cérémonies au cours desquelles le corps était embaumé et placé dans un sarcophage. En signe de deuil toutes les personnes de la maison se rasaient la tête et le corps tout entier. Enfin on punissait de mort celui qui tuait un animal et des châtiments corporels étaient infligés à celui qui le martyrisait.

      Chez les anciens perses le chien symbolisait le bon génie nommé CHAN, titre qu'ils donnaient aux grands personnages pour marquer leur respect, contrairement aux juifs et aux musulmans pour qui se nom exprime le mépris.

      Les égyptiens autant que les ariens avaient fait du chien l'égal des dieux. Israélites et Musulmans se sont insurgés contre cette zoolâtrie. Le nom du chien en hébreux Kélèb se retrouve dans l'orient actuel et même dans notre argot. Selon ELISER, serviteur fidèle d'ABRAHAM, le cadavre d'ABEL fut préservé des bêtes féroces par le chien que Dieu lui avait envoyé comme compagnon et comme aide comme celui d'OSIRIS le fut par ANUBIS dans la mythologie égyptienne. Pourtant le chien fut considéré par les hébreux comme impur, voire sans doute de la haine qu'ils nourrissaient envers leurs ennemis adorateurs d'ANUBIS.

      Dans l'islam, par l'autorité même du Coran, le chien a été promus aux régions célestes. Trois animaux, trois seulement sont en effet admis à partager les joies du Paradis de MAHOMET: le chameau qui porta MAHOMET lors de sa fuite à la MECQUE, l'âne de BALAAM et KITMER, le chien des sept dormants qui s'endormit séculairement avec ses maîtres dans la caverne mystérieuse et qu'avec eux, fut réveillé pour recevoir la récompense de sa vigilance et de sa fidélité. Si dans certaines régions, l'Islam ne fut et n'est encore que peu indulgent pour le chien, c'est parce qu'une légende s'est répandue qui prête que les chiens auraient dévorés le cadavre de Mahomet.

      Quand le Mexique était sous la domination espagnole ses premiers peuples enterraient les chiens avec les enfants parce qu'ils pensaient que ces animaux les guideraient sur le chemin du Paradis. D'après la mythologie indienne, le grand esprit aurait tiré de la matière de la création deux parties égales pour les animer de son souffle. De l'un il fit l'homme, de l'autre il retrancha un peu de ce qui allait être la femme et en tira le chien qu'il coucha aux pieds du couple. Dans les anciennes sépultures péruviennes., on a retrouvé des crânes et des momies de chien car, avant délit convertis au culte du soleil par les Incas, les péruviens adoraient ces animaux.

      Les japonais vénéraient le chien sous le nom de Mida et lorsqu'il mourait, son cadavre n'était pas entièrement enterré. Conformément à la croyance religieuse ils laissaient la tête hors du sol et lui apportaient à manger. Aux îles Célèbes, les habitants avaient l'esprit plus pratique puisqu'ils enfouissaient les cadavres canins dans la terre pour la rendre plus fertile. C'était attribuer à ces animaux, après leur mort le pouvoir d'un engrais.

      En Chine, 500 ans avant Jésus Christ, les chiens faisaient partie des animaux d'offrande pour les repas royaux avec le bouc, le bélier, le porc et le coq.

      Chez les grecs, à Athènes, les chiens étaient admis dans les palais, assistaient aux festins et prenaient part aux cérémonies ainsi qu'à tous les divertissements. Les spartiates et leurs lutteurs grecs sacrifiaient un chien à MARS, Dieu de la guerre, parce que cet animal symbolisait le courage. D'après PLUTARQUE, le temple d'ESCULAPE, Dieu de la médecine, était gardé par des chiens dont un, nommé CAPPARUS, poursuivit un voleur d'Athènes à Corinthe et le fit arrêter. Enfin XENOPHON raconte que les grecs employaient le chien pour lutter contre les animaux féroces et qu'ils pratiquaient la chasse aux castors avec une race spéciale que les latins et les mérovingiens désignèrent sous le nom de canis castorius. HOMERE, s'est ému de l'a fidélité du chien d'ULYSSE (ARGOS = nom des balises). ALEXANDRE fit construire la ville de Périte en l'honneur de son chien Périta...?, mort en Inde.

      Chez les romains, les Dieux domestiques LARES et PENNATES, tutélaires de leurs foyers et de leur patrie, étaient revêtus de peau de chien. Les meutes de chiens gardaient les temples des Dieux la naissance d'un fils donnait lieu au sacrifice d'un chien. L'espèce canine participait aussi à la guerre et aux jeux de l'arène, le personnel des empereurs romains comprenait deux officiers. Le procureur Cynégil, chargé de choisir les animaux de combat et l'inspecteur cynégil à qui était confié le dressage. C'est à ROME comme à ATHENES qu'il fut confié au chien, outre la garde des citadelles, celle des sanctuaires. L'espèce canine a fourni des fantassins qui servent à l'attaque comme auxiliaires fidèles et qui ne coûtent point de solde.

      Les gaulois lançaient contre leurs ennemis des mâtins aux colliers armés de pointes. Au Moyen-Age, les chiens portant un corset de lames et de torches étaient lancés contre les cavaliers
      dz(0000/1111)dz

      Commentaire


      • #4
        Moyen-Age
        La catégorie des chiens de chasse prit à cette époque une grande importance du fait que les Rois et les seigneurs féodaux, lorsqu'ils ne faisaient pas la guerre se livraient à la poursuite du gibier, car la chasse, sorte de guérilla, constituait leur passe-temps favori, le règne de CHARLEMAGNE, comme celui de ST- LOUIS marque le début de la vénerie. Les lévriers à poils long ou court, étaient de tous les chiens ceux qui avaient la faveur de la noblesse. Ils vivaient dans l'intimité de leur maître et figuraient sur leurs blasons. En orient dans les pays musulmans où le chien est considéré comme impur seul le Sloughi, lévrier des douars était admis sous la tente familiale et recevait des soins particuliers et les femmes allaitaient parfois sa progéniture.
        - XVI - XVII et XVIIIème Siècles, ces époques furent celles des grands veneurs qui organisaient les chasses à courre des souverains. De nombreuses races de chiens composaient les meutes royales.
        - LOUIS XII qui chassait en forêt de VOUVRAY actuellement le Bois de BOULOGNE, avait son chenil au parc des LOGES, dans la forêt de ST-GERMAIN.
        - Au siècle de LOUIS XIV, la fameuse "meute blanche du Roy" comprenait 260 chiens et occupait 491 personnes.
        - De LOUIS XV à NAPOLEON III, presque tous les souverains possédaient une vénerie et mettaient un point d'honneur à constituer de belles meutes de chiens courants. Chasseur, gardien ou guerrier, le chien a été, en plus, un animal d'agrément. Le goût ou plutôt la mode des petites races choyées et gâtées par leurs maîtresses s'est développé à partir du XVIème siècle.

        XXème Siècle
        Beaucoup plus près de nous, les chiens sont employés au combat. Ils vont participer aux deux guerres mondiales et autres conflits de ce siècle, ils sont affectés aux tâches les plus variées. Ils transmettent des messages, accompagnent les patrouilles, détectent les mines, surveillent les dépôts de munitions, certains sautent en parachute. Il y a aussi les chiens de guet, les chiens sanitaires, ils revêtent même parfois des tenues N.B.C. avec masque à gaz. D'autres seront sacrifiés par les soviétiques pour détruire les chars allemands.

        De nos jours, l'amateurisme et le snobisme canins coexistent et règlent en partie l'élevage du chien dans le Monde. Il faut reconnaître que depuis la fin du siècle dernier la cynophilie a fait d'immenses progrès grâce au développement des sciences zootechniques. Qu'il soit petit ou grand, racé ou bâtard, le chien se rencontre dans tous les milieux sociaux comme compagnon d'agrément ou d'utilité.

        Le développement de l'élevage du chien depuis plus d'un siècle a eu pour conséquence une étude plus approfondie de ses diverses maladies. Le chien, comme son maître bénéficie des progrès de la médecine de la thérapeutique et de la chirurgie même son hygiène et son alimentation sont étudiées d'une façon toute particulière. Malgré les diverses formes sous laquelle se manifeste l'intérêt que suscite l'espèce canine, notre planète n'est pas le Paradis terrestre pour les chiens, car à côté des privilégiés, beaucoup sont maltraités et même martyrisés. Des voix se sont élevées pour protester contre la brutalité et la cruauté humaine envers les animaux.

        La plupart des grandes nations ont renforcé les lois de protection animale. La création de la société protectrice des animaux a permis de recueillir des chiens perdus ou abandonnés qui auraient été dirigé sur la fourrière pour y être asphyxiés ou livrés aux mains des vivisecteurs. L'origine du chien comme celle d'ailleurs de beaucoup d'autres animaux domestiques demeure encore incertaine, malgré les recherches approfondies des paléontologistes, des naturalistes, des zoologistes, des zootechniciens de toutes les époques et de tous les pays. Il est probable que cette question complexe qui remonte à des millions d'années, restera encore longtemps au stade des hypothèses et des probabilités. Peut-être un jour découvrira-t-on des indices qui nous donnerons plus de certitudes. Cependant, il semble que la pluralité des souches soit aujourd'hui universellement admise pour expliquer la diversité des races canines répandues dans le Monde. Par ailleurs. l'étude d'ossements de canidés, découverts dans diverses régions, fait remonter à l'époque quaternaire le pacte d'amitié conclu entre l'homme et le chien.

        En dehors des influences naturelles de l'hérédité du climat, de la nourriture et de l'habitation, il faut admettre que la domestication a eu une action modificatrice sur les caractères morphologiques et les instincts du chien. la multiplicité des races canines est la conséquence d'une adaptation à un rôle déterminé d'une sélection minutieuse, de croisements, de la fixation de variations brusques ou d'anomalies diverses comme aussi de certaines monstruosités. En tout état de cause, que le chien ait eu pour ancêtre le loup, le chacal, le renard ou une espèce particulière, qu'il provienne de croisements entre diverses espèces de canidés sauvages et qu'elle que soit l'époque de sa domestication, ce qu'on peut néanmoins affirmer c'est que depuis la plus haute antiquité cet animal a été estimé et utilisé par tous les peuples.

        Répandu dans toutes les parties du monde, le chien a été le premier ami comme le premier auxiliaire de l'homme. Il est bien, comme l'a dit CUVIER, la conquête la plus remarquable, la plus complète et la plus utile que l'homme ai jamais faite. Son extension sur le globe ne s'est jamais ralentie et s'il est acquit dans la société humaine une place toujours de plus en plus grande, preuve de ses nombreuses qualités et de ses multiples capacités.
        dz(0000/1111)dz

        Commentaire


        • #5
          Quand j'étais tout petit je ne connaissais que le nom de ce chien "slougui"...Faut bien dire que c'est un beau spécimen qu'il faut préserver...Katiaret merci pour le partage!
          Dernière modification par rosierbelda, 20 octobre 2014, 13h20.
          " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

          Commentaire


          • #6
            Qu'il est moche :22:

            Commentaire


            • #7
              Et oui le trafic...
              ...

              «Ce que le chacal a étudié, le sloughi l’a appris par cœur»
              Li qarih adib hafdou sloughi..

              et merci pour l'aperçu historique...

              Commentaire


              • #8
                @ Rose

                Change de lunettes !
                " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

                Commentaire


                • #9
                  Rosier

                  Rose a le droit de dire ce qu'elle ressent dalma walla madlouma je l'aime bien
                  il aurait était plus utile de lui faire découvrir et expliquer pourquoi tu le trouves très beau ... l'image du chien dans notre culture est assez ambigu

                  il y a même des insultes en prononçant le nom ... donc ce n'est pas simple

                  Commentaire


                  • #10
                    Rosier

                    non j'aime bien mes lunettes, une paire que tu n trouveras chez personne d'autre
                    mais je déteste bien ce chien oeilfermé


                    Merci Aloha

                    Commentaire


                    • #11
                      Rosier

                      non j'aime bien mes lunettes, une paire que tu n trouveras chez personne d'autre
                      mais je déteste bien ce chien oeilfermé
                      Pour les lunettes y a rien à dire. Je pense que le chien n'est pas agressif..J'espere qu'il t'a rien fait de mal ?
                      Dernière modification par rosierbelda, 22 octobre 2014, 17h05.
                      " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

                      Commentaire


                      • #12
                        Rosier

                        je n l'ai jamais croisé de ma vie

                        Commentaire


                        • #13
                          Tant mieux pour toi et pour lui...Comme ça il n'y aura pas de regard d'appréhension des deux côtés ( c'est pour rire Rose)
                          " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

                          Commentaire


                          • #14
                            @Aloha;
                            Du calme kho !...J'aime bien aussi Rose en tant que frére et, surtout, je ne suis pas un concurrent.
                            " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

                            Commentaire


                            • #15
                              Rosier Bonsoir

                              ya aucun souci avec Aloha, il te taquinait .. et aucune concurrence non plus !!

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X