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L'aventure du chat de Schrödinger

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Le sujet, c'était l'apologue narquois du chat de Schrödinger ? Non ?

    Le sujet, c'était l'apologue narquois du chat de Schrödinger ? Non ?

    Me gourre-je ?

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    encore !!!

    Et si vous alliez faire votre gue-guerre avec lui ailleur

    Cela dit entre un Physicien-Mathématcien diplomé (http://spoirier.lautre.net/these.html) et un journaliste d'investigation ! le choix est vite fait

    aller ciao

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Tu diras de ma part à S. P. qu'il est un imposteur

    Tu diras de ma part à Sylvain Poirier qu'il est un imposteur, et voici pourquoi :
    il ne prouve rien, il affirme ses intimes convictions sur autrui, qui ne reposent sur rien d'autre que sa propre intimité.

    J'ignorais que la page que tu as citée existât encore sur son site, n'ayant pas retrouvé un cheminement vers elle. Je croyais (à tort) qu'il s'était amendé. Tu m'apprends donc qu'il n'en est rien.

    Dans les premières semaines d'existence de mon site perso, j'ai reçu trois courriels catastrophés de Sylvain Poirier : "Vous devriez lire des livres ! Le mieux est de tout effacer". Le tout non argumenté, comme d'habitude chez lui. Tout à l'esbrouffe et à l'intimidation.

    Paragraphe supprimé : il attribuait à Sylvain Poirier un travail de physicien qu'il n'a jamais été capable de réaliser, et qui est dû en réalité à Antoine Moreau.

    Et trouve-t-on de la physique sur le site de Sylvain Poirier ? Rien, rien de rien, juste des maths.
    Et c'est du haut de cette absence totale de physique, que Poirier tance et méprise tous ses contemporains, ou peu s'en faut...
    Tu lui diras - puisque toi tu l'apprécies tant - que je le méprise, non pas en tant que physicien, car je me fous pas mal de ce qu'il fait dans la physique (absolument rien, du reste), mais comme pervers.

    C'est du reste comme pervers qu'il te plaît autant.
    Imposteurs de tous les pays, unissez-vous contre les témoins gênants !


    Et puis merci de me donner l'adresse de cet outrecuidant parasite, oublié depuis longtemps. Cela m'a permis d'ajouter une récréation sur mon site. Il la mérite amplement.
    Dernière modification par Caton, 07 janvier 2007, 00h27.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Hahahaa vous êtes trop drole M. Lavau

    Je n'est qu'une chose à dire, ce que Jean pierre Luminet (http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Luminet) dis lui même :

    Avis aux pseudo-scientifiques et auteurs de théories alternatives


    <<En étant aussi bref dans mon commentaire négatif, j'ai pu paraître arrogant, voire méprisant, ce qui n'est nullement le cas. Mais comprenez que les scientifiques professionnels reçoivent plusieurs fois par semaine des dossiers entiers de scientifiques amateurs (activité fort sympathique en soi) qui prétendent, avec deux poignées d'équations newtoniennes, remettre en cause un siècle de physique fondamentale (relativité, mécanique quantique). Et ils croient que "l'establishment" scientifique est obtus en ne leur répondant pas ou en ne s'intéressant pas à ce qu'ils font. C'est très simple : qu'ils publient leurs théories dans les revues internationales à referee, et leurs articles seront lus, discutés, critiqués ou acceptés! Je ne nie pas qu'il y ait des dérives dans le jugement des "pairs". Personnellement j'avais trouvé lamentable l'attitude de l'establishment médical dans l'affaire de la "mémoire de l'eau" proposée par Jacques Benveniste. Mais dans les sciences dites "dures", les critères de jugement scientifique sont plus objectifs.>>
    http://****************futura-scienc...read16366.html

    et aussi ça : http://spoirier.lautre.net/critique.htm
    Le problème avec eux, c'est qu'ils sont très nombreux. Ils se plaignent qu'on les ignore, qu'on n'examine pas leurs théories pour les réfuter et montrer où ils se trompent. Comme on les ignore et qu'on ne publie pas leurs théories, ils s'estiment injustement censurés. Quoi de plus naturel en effet de penser cela, mais comment pourrait-il en être autrement ? Examiner en détail, expliquer gentiment et réfuter la théorie de l'un d'eux ne poserait pas de problème. Faire de même avec trois ou quatre d'entre eux irait encore. Mais comme ils sont des centaines, que peut-on faire ?

    et cette mise en garde contre ce genre de théories loufoques (y'a votre nom lol) :
    http://critique.spoirier.lautre.net/autres.htm
    - Jacques Lavau : quelqu'un qui a parfois quelques remarques intéressantes, mais en exagère largement la valeur; il méprise bien trop vite le reste du monde, et rejette la physique quantique (comme si en n'en gardant que la moitié des concepts on pourrait retrouver les mêmes résultats !!!)

    Et si vous contactiez une Physical Review ou Nature, vous pensez pas que ça irrais beaucoup plus vite ?
    c'est facile de vous prendre au jeune étudiant qu'est Jigsaw...

    à bon entendeur
    Dernière modification par absent, 06 janvier 2007, 18h13.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Pouvez-vous prouver une seule de vos théories ?

    Pouvez-vous prouver une seule de vos théories ?
    Et il y en avait un sacré paquet, là, trois messages plus haut.
    Des tas de théories sur la physique, sur l'histoire des sciences, sur les pathologies des institutions, etc. etc. etc.
    On demande des preuves, des démonstrations.
    Allez, au travail, l'anonyme planqué !
    Dernière modification par Caton, 06 janvier 2007, 15h38.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Envoyé par Caton
    Et vous avez des preuves ?
    Merci d'en faire état, en ce cas.
    Hahahaha qui fait l'autruche maintenant ?
    Vous nous prenez pour des cons ?
    Envoyé par Caton
    Mon article de 1999 est en ligne à http://lavaujac.club.fr/GEOMETRIE_infond.htm sous le titre L'hypothèse clandestine et dirimante de la géométrie
    suffit de cliquer http://lavaujac.club.fr/GEOMETRIE_infond.htm
    arrgghhh vous l'avez manqué celle là lol
    ayez au moins le courage d'assumer vos idées !
    Dernière modification par absent, 06 janvier 2007, 16h02.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Et vous avez des preuves ?

    Et vous avez des preuves ?
    Merci d'en faire état, en ce cas.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Caton

    mais qu'est ce que je vois là !?
    Mr Jacques Lavau lui même sur FA ? n'est ce pas ?

    Vous avez une théorie alternative à la mecanique quantique ? qu'est ce que vous attendez alors ? pourquoi vous n'envoyez pas votre article à la publication au lieu de sauter d'un forum à l'autre en fustigeant et acusant tout le monde et tout les physciens du 20ème siecle de faire l'autruche !!! ... pour ce qui est de l'humillité vous etes pas vraiment un exemple

    Vous croyez pas que c'est un chwiya osé de la part d'un "journaliste d'invstigation" (c'est vous qui le dites) de vouloir remettre en cause 1 siecle de physique !!!!! comment ? en gardant que la moitié de la théorie quantique, comme si le seul aspect ondulatoire expliquerait tout !!! croyez vous que les grands espris de la physique d'hier ou plutot d'aujourdhui sont aveugles et sont entain de tricher ?!!!!!!!!!

    Allons monsieur Lavau, toute cette paranoia de la conspiration c'est une blague hein ?

    Est ce que la sicence dit la verité, la réponse est NON, la science n'a que ses verités provisoires et c'est ce qui fait sa force de toujours pouvoir se remettre en cause.
    Dernière modification par absent, 06 janvier 2007, 14h54.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    De toutes façons, le sujet, simplissime, était épuisé.

    De toutes façons, le sujet, simplissime, était épuisé.

    Si la sottise est inépuisable, insondable et décourageante, hélas.

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  • Jigsaw
    a répondu
    Question de principe

    Ce n'était pas mon idée du problème rencontré dans la théorie de la décohérence, et ce 'était pas le sujet de la question non plus: on a déjà établi des modèles donnant la durée de vie d'un état superposé en fonction de la taille du systèmes pour les photons mais ça ne marche pas toujours.Bon, on ne va pas continuer à tourner autour du pot. En général, on pose une question pour gagner du temps, car tout le monde sait lire. Et je pense que les réponses du genre « allez plutôt lire ceci. » témoignent d’une véritable outrecuidance, sans parler des petites blagues sur deGaulle et les belges. Cette discussion n’est pas close, elle peut bien continuer mais sans moi.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Juste pour tromper l'ennemi au moyen de ses propres tromperies.

    Mais je l'ai déjà lu cet article et ça ne répond pas à la question. Le problème est tellement simple: ce qui est macroscopique n'est pas forcément classique, comment faire pour connaître le comportement d'un système donné.
    Je vois que tu n'as toujours pas compris un traître mot de l'apologue de Schrödinger. L'opposition sémantique "classique/quantique", ne vaut pas un clou, et n'a rien à voir dans cette histoire. Elle avait un but uniquement polémique, et comme telle est largement obsolète.

    Mettons qu'il s'agisse de radioactivité alpha. Mettons que le détecteur soit une chambre Geiger, qui déclenche son avalanche par l'ionisation ou pas. Hé bien voilà, dès la première ionisation déclenchée par le noyau alpha, le fuseau de Fermat de propagation entre l'émetteur (un noyau instable) et le premier absorbeur (un nuage électronique d'un des atomes ou d'une des molécules de gaz), il est refermé. D'autres fuseaux s'ouvrent en direction d'autres nuages à bousculer et ioniser aussi, mais en tout cas, la décohérence EST faite.

    Et toute l'histoire de l'observateur ceci et du chat cela, c'est juste pour tromper l'ennemi au moyen de ses propres tromperies.

    Ce qui était tout à fait inattendu, c'était que l'ennemi se laissât duper si longtemps par ses propres tromperies.

    Un belge dit à un autre belge : "Dis ? Tu connais l'histoire du guide, au musée du Caire, qui montre deux crânes. Il explique que le grand c'est celui de Cléopâtre âgée, et que le petit, c'est celui de Cléopâtre enfant."
    - Non, je ne la connais pas, ton histoire. Raconte !
    "

    C'est la même histoire belge, mais en plus longue.

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  • Jigsaw
    a répondu
    Mais je l'ai déjà lu cet article et ça ne répond pas à la question. Le problème est tellement simple: ce qui est macroscopique n'est pas forcément classique, comment faire pour connaître le comportement d'un système donné.

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Postulats clandestins, suite.

    Suite de la citation précédente.
    2 . Topologie plus grossière que prévue.

    Nous nous sommes vus buter sur une contradiction : il n’existe rien de plus petit que les électrons, les photons, et quelques autres entités similaires, qui puisse définir ce que pourrait bien signifier « petit », dans notre espace-temps humain. L’espace de la réalité physique est donc topologiquement bien moins fin que la droite R, et aussi moins fin que le principe d’exclusion de Pauli. Nous sommes incapables de localiser ni d’individualiser les deux électrons S d’un atome d’hélium neutre. Ils occupent à eux deux le même « emplacement géométrique » (au sens de notre espace-temps macroscopique, qui n’a aucune compétence prouvée à leur échelle) dont on connaît assez bien le flou et l’étalement gaussien. Seul le principe d’exclusion les sépare : spins opposés. De même, on est incapables de localiser les électrons de conduction d’un métal : chacun occupe à peu près tout le métal, et sa longueur d’onde dépasse largement les distances interatomiques.

    Il arrive encore une autre mésaventure à notre espace-temps humain : les quarks ne s’y individualisent jamais, ne s’y déconfinent jamais. On sait faire des expériences où les jets de hadrons trahissent un début de séparation de quarks, mais ça s’arrête là. La « couleur », et le principe d’exclusion de Pauli sont plus fins (au sens topologique) que notre espace macroscopique. Ces damnés quarks sont donc plus « petits » que le sens même du mot « petit ». En disant cela, on n’a pas vraiment dit quelque chose sur ce que les quarks sont ou ne sont pas; on a dit quelque chose sur ce que notre espace macroscopique humain n’est pas.


    3 . Bavures sur le temps

    Habitués à l’autosimilitude par l’analyse sur la droite R, nous avons aussi transporté sans méfiance cette présomption d’autosimilitude sur la dimension temps. Ainsi, nous nous sommes dispensés de toute espèce de preuve quant au transport du postulat d’irréversibilité du temps macroscopique, qui est d’origine statistique (et qui dans le domaine statistique, est bel et bien un théorème démontré), vers le temps individuel de chaque particule. C’est l’HM temporelle. Toutes les expériences démontrent le contraire, mais qu’importe ! Nous sommes obstinés; et aveugles à la demande.

    Chez les mathématiciens, pas d’ambivalence : le formalisme est présumé avoir toujours raison contre les objections qui s’appuient sur des faiblesses dans les significations. Nous sommes même facilement outrecuidants à ce sujet, n’extrapolant que les success stories de l’histoire de l’algèbre.

    Chez les physiciens, l’ambivalence se module selon les spécialités. En fait, la coupure historique vient de Dirac, de son équation pour l’électron (1928), de ses solutions à énergies négatives qui embarrassaient tout le monde, jusqu’à la découverte expérimentale du positron en 1932. Mais on a conservé complet, l’oubli des solutions à masses négatives, pourtant elles aussi présentes dès les équations de la Relativité restreinte de 1905, réécrites vers 1908 dans les concepts géométriques de Minkowski, et aussitôt oubliées :
    E^2 = m^2.c^4 + p^2.c^2 . On en jugeait la signification absurde. Seulement absurde si on regarde en macroscopique, soumis à la thermodynamique statistique. Mais certainement pas absurde si l’on se rappelle qu’à l’échelle d’une particule d’onde, d’une entité d’onde quantique en cours de propagation (fut-elle stationnaire), la causalité s’écoule simultanément depuis les deux réactions quantiques sommitales : la réaction de création, et la réaction d’annihilation. De nombreuses expériences (à commencer par celles d’Aspect & al. vers 1982) ont tranché : la réaction de création est inséparable de la réaction d’annihilation. Dire qu’un écran a reçu un électron de masse positive, est exactement la même chose que de dire qu’il a émis un antiélectron, de charge positive, d’énergie négative, et de masse négative, à rebours du temps macroscopique, et donc à fréquence négative. Les deux descriptions sont physiquement équivalentes. Mais seule la seconde description résout les paradoxes sur lesquels butait l’imaginaire de la quantique : l’onde électronique peut très bien se concentrer à sa réaction d’annihilation, tout en ayant été assez diluée dans l’espace, durant le trajet entre les deux réactions quantiques ; elle a donc pu se prêter à tous les phénomènes d’interférences constatés expérimentalement. Le principe de Fermat implique une certaine largeur des fuseaux de cohérence de phase, qui est facile à calculer. J’ai montré ailleurs[1] comment calculer la largeur des fuseaux de Fermat selon la longueur d’onde, et la longueur du trajet enjambé :

    = (1 + + + ...). Où z est la flèche au milieu du fuseau, a est la demi-corde, ou demi-distance entre émetteur et récepteur considérés comme ponctuels, e est le quotient de la longueur d’onde par a.

    Second exemple : dire qu’une molécule (grande de 5 Å environ) a absorbé un photon infrarouge un million de fois plus grand qu’elle, est la même chose que de dire qu’elle a émis un photon d’énergie négative, à rebrousse temps. Et vous avez résolu le problème de la convergence de cet immense photon sur cette minuscule molécule : au signe près, c’est le même que celui de la divergence de l’émission de l’antiphoton, d’énergie négative. En radioélectricité, le phénomène est bien connu : une antenne réceptrice concentre le champ dans son voisinage, et modifie l’impédance vue par l’émetteur. Mais l’orgueil corporatif est ainsi fait, que l’information ne percole pas des techniciens vers les théoriciens : un singe de rang élevé, est incapable de rien apprendre qui lui vienne d'un singe de rang hiérarchique inférieur. Cela a été amplement prouvé chez les macaques du Japon, et c'est vrai aussi des humains...

    Oui, bien sûr, les physiciens avaient une seconde excuse pour oublier des choses aussi simples : il avaient peur qu’on les confonde avec les diseuses de bonne aventure, et être aussitôt exclus du club, s’ils osaient raisonner trop ouvertement et clairement sur la causalité microscopique à rebrousse temps. Mais si vous ne leur aviez pas martelé à ce point, dès l’enfance, le dogme de l’autosimilitude à toute échelle de la droite R, ils se seraient autorisés à distinguer l’échelle macroscopique de l’échelle particulaire, ce qu’ils ne savent toujours pas faire clairement. En particulier, ils sont à ce jour (1999) encore incapables de discerner entre l’échelle anthropocentrique, où l’on traite statistiquement des événements d’échelle quantique, et où l’on calcule des ondes d’ignorance statistique (à la dilution fulgurante), et l’échelle quantique, où aucune onde quantique individuelle ne diverge au hasard, mais a bien une destination définie. D’où leur malaise secret envers des concepts aussi pathologiques que la « réduction du paquet d’onde ». Concepts pathologiques, car issus de non-sens confusionnels. Là encore, non seulement on a cru que la topologie fine de la droite R, convenait pour décrire la partie temporelle de l’espace-temps, mais en plus, on a cru que ce temps est universellement partagé, « cinématiquement compatible » partout. Or, il n’y a rien de cinématiquement compatible entre les divers « grains » du temps. Voici l’exemple de grains d’espace-temps qui s’étalent sur une quinzaine de milliards de nos années macroscopiques : des photons du rayonnement fossile à 2,7 K, qui n’avaient plus interagi avec rien depuis que l’Univers leur est devenu transparent, arrivent maintenant dans nos radiotélescopes. Et pour eux, à temps propre nul, l’émission et la réception sont simultanées : c’est un seul et même grain de temps, individuel. Notre temps macroscopique, avec sa thermodynamique irréversible, n’est qu’une émergence statistique d’un immense réseau de granules tous discordants entre eux.

    Vous eussiez dû rappeler aux physiciens qu’en théorie des graphes, tout arc joint deux sommets... car en diagrammes de Feynman, quatre arcs sur cinq n’ont qu’un seul sommet. La faute de logique est ouvertement dessinée, aux yeux de tous. Mais l’aveuglement de chapelle isolationniste, joue à plein.

    Dans un diagramme de Feynman, la réaction quantique correspond aux apex du graphe. Deux apex sont reliés par un propagateur : propagation d'un photon, existence d'un électron, etc. Mais tout propagateur devrait relier deux apex, et on l’oublie.
    Ceci est extrait, avec pertes des figures et formules, de http://lavaujac.club.fr/GEOMETRIE_infond.htm qui est disponible en ligne depuis août 2003.
    Dernière modification par Caton, 06 janvier 2007, 12h51.

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    Invité a répondu
    La doctrine au pouvoir au temps de cet apologue était anthropocentriste

    La doctrine au pouvoir au temps de cet apologue était anthropocentriste. C'était l'observateur humain, donc macroscopique, qui était au centre de l'image, et qui était censé tout faire. C'était le psychisme de l'observateur qui était censé faire effondrer la fonction d'onde...
    L'apologue de Schrödinger n'avait d'autre but que grossir l'absurdité, pour la rendre visible aux yeux de tous.

    Je vais faire un copier-coller des postulats clandestins demeurés au pouvoir dans l'enseignement depuis ce temps-là :
    ... nous nous sommes rendus collectivement aveugles à l'énorme hypothèse technologique qui fonde la géométrie que nous enseignons à nos bambins et à nos étudiants.

    Nous verrons dans cet article, les conséquences désastreuses que le caractère inconscient et clandestin de cette énorme hypothèse injustifiable, a eu sur le développement de la physique fondamentale, depuis soixante-dix ans (en 1997... soixante-dix-neuf ans en 2006).

    Les concepts premiers de notre géométrie sont fondés sur l’aventure technologique multimillénaire suivante : "On a toujours réussi à faire un pointage plus précis que le précédent, à faire un repérage géodésique, ou sur machine-outil, plus précis que le précédent, à tracer un trait ou usiner une arête, plus fins que les précédents, à dresser un marbre plus plan que le marbre précédent. » Nous crûmes correct d’en déduire : « Donc nous avons bien raison d'extrapoler qu'on pourra toujours faire mieux, plus fin, plus précis... NOUS NE BUTERONS JAMAIS SUR L'ATOMICITÉ DE LA MATIERE NI DE LA LUMIERE ! Donc nous avons raison de tabler sur les termes ultimes de notre extrapolation, que nous hypostasions : points, droites, lignes, plans, surfaces, positions, coordonnées, hypothèse du continu, suites de Cauchy, autosimilitude à toute échelle, et il y a autant de points sur l'ongle d'un bébé que dans l’Univers entier, etc. etc. etc. "

    C'est ce que dénommerons l'HYPOTHESE MACROSCOPIQUE (HM) : "Nous sommes tellement loin de la limite atomique, que nous ne l'atteindrons jamais." L'ennui, c'est que depuis un siècle, nous autres physiciens, et depuis quelques cinquante ans nous autres ingénieurs, butons en plein sur cette limite atomique. L’aventure technologique multimillénaire est épuisée !

    Familiarisons-nous avec les conséquences quotidiennes dans l'enseignement et dans la vulgarisation, de cette HM clandestine :

    Toute bonne animation vidéo, concernant des atomes et des électrons, nous amuse les yeux avec des petits grumeaux mauves, figurant les noyaux, encerclés de petites billes vertes, qui tourbillonnent autour, et qui sont censées figurer les électrons, conformément au modèle de Rutherford, conçu en 1911, et connu comme définitivement invalide quinze ans plus tard. C'est tellement mignon et fascinant, qu'on adore y croire... Sauf que tout y sacrifie à l'HM ! Pour que nous puissions ainsi voir les petites billes, avec une position, une forme, des ombres et des reflets, et même une couleur, il est indispensable qu'il existe quelque chose de plus petit que lesdites "billes", pour explorer des telles propriétés supposées (position, taille, forme), et les transmettre à notre œil. Pour les objets macroscopiques que peut manipuler notre main nue depuis 70 millions d'années (je désigne là notre ancêtre Purgatorius, présimien arboricole), cet informateur plus petit existe : c'est la lumière visible. En effet, la longueur d'onde de la lumière visible, et donc son pouvoir séparateur, est de l'ordre du demi micromètre. Mais cette lumière visible est bien incapable de nous renseigner sur les détails d'un atome : elle est au moins un million de fois trop grosse pour cela. Autant espérer être renseigné sur un bouchon qui flotte sur la mer, en observant comment est diffractée une macro-houle, dont l'intercrête soit de plusieurs kilomètres (de telles houles existent, et même d'encore plus longues ; j'en ai chronométrée une, d'une période de trois minutes et demi, en septembre 1965, dans le port de Lampaul, minuscule port d'Ouessant).

    En réalité, nous sommes en butée sur la limite atomique : il n'existe rien de plus petit qu'un électron, ni qu’un photon, et qui soit assez durable pour être accessible à nos expériences. Il n’est rien qui puisse nous définir la structure, la forme, ni la taille d'un électron, comme la lumière visible nous renseigne sur la forme d'une fleur, et sur sa réflectance spectrale (ses « couleurs », en termes humains). Et si on emploie de la lumière plus petite ? Des photons gammas, dont la longueur d’onde est plus petite, permettraient au moins de localiser l’électron ? Catastrophe ! Voilà que sous l’impact avec l’électron, ces gammas peuvent se matérialiser en une paire électron-positron, de masses positives ! Et tous les trois partent dans des directions différentes ! Fichu, le renseignement espéré sur la position de l’électron-cible, considéré comme un corpuscule à la Newton ! Plus grave encore : presque tous les calculs que l'on enseigne, permettant d'estimer un "diamètre classique de l'électron", ou ce genre de choses, sont basés sur l'HM, donc invalides dès le départ. Même le concept de "corpuscule" hérité de Newton et de son "point matériel", est entièrement dépendant de l'HM. Le concept de "corpuscule" est tout aussi invalide et indéfendable que l'HM, dès qu'on aborde la physique fondamentale. Malheureusement, il est enseigné partout, notamment sous la forme du "dualisme onde-corpuscule", commis par Einstein vers 1905, et transporté tel quel dans la vulgate de Copenhague, notamment par Niels Bohr. Il nous encombre donc partout.

    Nous avons commis l'erreur infantile de croire que, bien que physiquement rien au monde ne put nous renseigner sur la structure, la forme, ni même la taille d'un électron, néanmoins ce genre de choses devaient exister et avoir un sens. Si nous étions des mathématiciens conséquents et rigoureux, nous aurions depuis longtemps posé cette question embarrassante: "ET VOUS DÉMONTREZ CELA COMMENT ? que ce genre de trucs soient pourvus de sens ? ".

    Car justement, cette conviction héritée, n'a aucun fondement, et n'en aura jamais. Tous les jours, aussi bien l'expérience, que la cohérence interne du formalisme quantique, démentent tout espoir de validité de l'HM, et de ses conséquences : existence de position, forme, taille, etc. des particules élémentaires telles que photons, électrons, ou neutrinos. Toute la gent mathématicienne a oublié de procéder à un inventaire critique de l’héritage platonicien, selon lequel « l’idée » est plus forte que la réalité matérielle, et peut donc se passer de toute épreuve de réalité : on prétend n’avoir pas besoin qu’il existât une opération expérimentale, puisqu’il nous suffit d’imaginer. Autrement dit : l’hallucination (ici: des points matériels, et corpuscules, et de leurs coordonnées ayant la puissance du continu) vaut mieux que l’expérience vérifiable, et par conséquent, nous en dispense !

    Si le formalisme quantique réussit si bien à produire des calculs de prédictions statistiques valides, à partir d'hypothèses invalides, c’est parce qu'il n’utilise en fait jamais les hypothèses invalides, strictement hallucinées, par lesquelles on l'enseigne. Le formalisme quantique est strictement ondulatoire : il n’y a QUE des ondes. Tandis que nous, êtres macroscopiques et massifs, résidons à distance inaccessible des périodes brogliennes où battent ces ondes brogliennes :

    Tau0 = = 4,4016 . 10^-24 s/cycle pour un neutron à basse vitesse. Nous sommes réduits à ne constater que le résultat global et durable de transactions entre émetteur et récepteur qui se sont déroulés en des durées qui nous inaccessibles. Ce résultat global à notre échelle humaine, est quantifié. Toutefois, l’exactitude des calculs a exigé que nous tenions compte de ces transactions ondulatoires, par le biais du concept de « particules virtuelles, hors de leur couche de masse ». Nous sommes comme un observateur de Sirius qui se demanderait comment font les camions (les objets les plus fins qu’il puisse discerner) pour découvrir leurs clients à livrer, et solvables, s’imaginant qu’ils partent en maraude sur les routes (en maraude sur les rails, pour les wagons de marchandises), et ignorant tout des flux d’écriture et de voix, de télex ou fax entre fournisseurs, clients et banquiers; il aurait peut-être inventé lui aussi le concept de « camions virtuels et wagons virtuels ». Ou du point de vue de la puéricultrice qui saurait tenir la comptabilité des arrivées et départs de bébés dans sa crèche, tout en ignorant tout de l’amour et de la biologie de la reproduction : elle pourrait suppléer à son ignorance de tous les flirts et brouilles, de toutes les péripéties sentimentales et sexuelles de ses contemporains, de leurs orages et de leurs deuils, par la théorie des « bébés virtuels ».
    Coupé pour taille limite dépassée. Suite après.
    Dernière modification par Caton, 06 janvier 2007, 12h53.

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  • Jigsaw
    a répondu
    Bon, ça recommence. Au début je n'ai pas dit: "Lire le hors série de Science et Avenir concernant le paradoxe du chat de Schrödinger.", j'ai fait le résumé en une heure et je l'ai mis sur FA, j'espère que vous en ferez autant.
    PS:
    La théorie de la décohérence a été abordée dans l'article de Science et Avenir, elle donne une explication de la disparition de la fameuse superposition (état de chat) mais ne dit à partir de quelle limite le chaton devient chat, c'est justement la question que je viens de poser.
    Dernière modification par Jigsaw, 06 janvier 2007, 12h27.

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