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Manifestation à Paris contre l'accueil d'une délégation du Polisario à l'Assemblée

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  • #61
    Abdelkamel science fiction

    Niveau habbate bazaf.

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    • #62
      Et l armée du makhzen elle fait quoi? techrab LATTTAYYY
      entre autre ..... y a tellement rien à faire , notre Sahara est tellement paisible
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #63
        Tellement paisible que le polisario construit un parlement a tifariti et fait la fete . il na plus peur de repressailles .L armée makhzenienne est PAISIBLE AVEC L EFFET DE latttayyy, qui fait dormirrrr d ailleurs bonne siesta

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        • #64
          Tellement paisible que le polisario construit un parlement .
          j'espére qu'il sera assuré contre les bombardement au naplam ......

          il na plus peur de reprtessailles
          ben attendons que les travaus soient términé , et on va la leur réapprendre ..... la peur

          l armée makhzenienne est PAISIBLE AVEC L EFFET DE latttayyy, qui fait dormirrrr d ailleurs bonne siesta
          c'est normal ; aprés l'effort le réconfort .... nos soldats l'ont bien mérité
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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          • #65
            Cell @ ... oui , l'aviation marocaine s'etait trés bien entrainé sur ce village . j'espére au moins que le polisario va construire du solide cette fois .
            Une tente et des missiles ces plus productif...... ?
            Pour savoir ou elle est cette TIFARITI que les téro... De la map & Go disent que ces un territoire Colonisé pour eux ......... http://www.minurso.unlb.org/MINURSO_Ceasefire.pdf

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            • #66
              C est vrai a pres l effort contre l armée espagnole , le recomnfort d avoir récupérer le CAILLOU persil ET recuperer les PRISONNIERS DE TINDOUF qui vont PROFITER du RÉCONFORT du makhzen apres 25 ans CHEZ LES ELDJAZYAER.oN LES A BIEN NOURRI d 'ailleurs ils sont encore envie, faut nous payer pour ca.

              Les victimes du polisario en colère

              En l'absence de bonne volonté de la part des autorités, les anciens détenus civils dans les camps de Tindouf ont décidé de manifester leur déception et leur colère face au ministère de l'Intérieur et le Parlement.


              Plus d'une quarantaine d'anciens prisonniers marocains dans les geôles du polisario, tous des civils, se sont retrouvés mardi matin à Rabat devant le ministère de l'Intérieur. Venus des quatre coins du Maroc, ces rescapés des camps de la mort ont voulu protester contre "le traitement inhumain qui leur a été réservé par l'Etat à la suite de leur libération".
              Pourquoi le ministère de l'Intérieur? La raison est bien simple. Dès leur libération, les prisonniers militaires ont été mis sous la responsabilité de leurs corps respectifs (FAR, Forces auxiliaires…). Quant aux civils, et ils sont nombreux, c'est le ministère de l'Intérieur qui est, en principe, chargé de les épauler.
              Quarante-deux anciens prisonniers, tous âgés et fatigués par des années de souffrance dans le désert algérien, se sont présentés à l'entrée principale du ministère de l'Intérieur. "Nous voulons rencontrer un responsable du ministère", ont-il demandé aux vigiles postés à l'entrée. Quelques minutes plus tard, un fonctionnaire est venu leur proposer de choisir, entre eux, deux ou trois personnes qui les représenteraient devant un haut cadre du ministère. Ils ont donc fait leur choix et trois personnes ont été autorisées à pénétrer au sein du département de l’Intérieur. La réunion a eu lieu avec un gouverneur. Elle a duré 45 minutes. A cette occasion, les anciens prisonniers civils ont présenté leurs revendications.
              "Nous voulons un logement décent et un dédommagement pour les années de souffrances que nous avons vécues pour la simple raison que nous étions des citoyens marocains". "La réponse du gouverneur a été claire", explique l'un des anciens prisonniers. "Il nous a expliqué que le ministère de l'Intérieur pourrait leur procurer trois choses: des agréments de taxis, un revenu mensuel symbolique (800 DH à 1.000 DH) et donnerait des instructions aux différents gouverneurs du Maroc pour nous procurer des soins de santé", a-t-il ajouté. Pour ce qui est des agréments de taxis, certains ne les ont jamais reçues. A titre d'exemple, dans des villes comme Tata, la location de l'agrément ne dépasse guère les 300 DH par mois. En outre, le revenu symbolique dont a parlé le gouverneur ne concerne pas tous les anciens détenus. A Casablanca, la wilaya a versé les 1.000 DH aux anciens détenus inscrits sous sa responsabilité, pendant trois mois. Et puis, plus rien. "A Tiznit, jamais aucun centime n'a été déboursé pour les anciens détenus civils". En revanche, à Agadir, les 1.000 DH ont été régulièrement versés.
              "Concernant les logements et les dédommagements, le gouverneur nous a clairement affirmé que ce n'était pas du ressort du ministère de l'Intérieur", assure Abdellah Lamani, un des rescapés civils des camps de Tindouf. Et d'ajouter: "Nous nous sommes dirigés vers le Parlement pour faire entendre nos voix aux élus du peuple et au gouvernement". Devant le Parlement, les manifestants ont été rapidement encerclés par les policiers (civils et CMI) ainsi que les forces anti-émeutes des forces auxiliaires. Les matraques à la main, les forces de l’ordre étaient sur les dents.
              Quelques minutes plus tard, un haut cadre de la wilaya de Rabat, s'est rendu sur place. Il a proposé aux manifestants de se rendre avec lui au deuxième arrondissement situé dans le quartier Hassan, pour entamer des discussions. Les manifestants ont obtempéré. Huit d'entre eux se sont dirigés vers le quartier Hassan et les autres sont restés devant le Parlement.
              En pleine guerre, le polisario a essayé d'enrôler les civils et de les utiliser comme "argument" dans sa propagande contre le Maroc. Mais jamais les civils n'ont accepté de jouer le jeu des polisariens. “Certains de nos compagnons d’infortune sont morts sous la torture des chefs de guerre séparatistes (qui ont rallié le Maroc au cours de ces dernières années) et enterrés dans le désert par leurs propres camarades”, lâche un rescapé en colère.
              Malgré cela, les anciens prisonniers marocains civils (beaucoup plus que leurs co-détenus militaires) sombrent depuis leur retour au Maroc dans une affreuse misère. Certains d'entre eux sont morts comme de vulgaires clochards dans la rue. D'autres ont succombé à leurs maladies et leurs corps, en complète décomposition, n'ont été découverts qu'après plusieurs jours.
              Comme pour les militaires, ces civils sont restés des années en détention, ont subi les pires exactions dans les camps de Tindouf et y ont laissé leur moral, leur santé et parfois même leur vie. Les entreprises qui les employaient, avant leur captivité (travaux publics, transport…), refusent aujourd'hui de leur venir en aide. Le pouvoir publics, responsable de l'intégrité physique de tout citoyen, a le devoir de ne pas les laisser tomber.

              ILS MÉRITENT AU MOINS DU RÉCONFORT EUX AUSSI NON

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              • #67
                Par cette invitation, le polisario montre encore une fois qu'il gagne sur le terrain diplomatique afin de consolider son droit à l'autodétermination et donc obtenir le referendum qui lui permettra Inchallah de chasser l'envahisseur hors de ses terres.

                Toutefois les risques d'affontement existent, et il est naif de croire que les forcées armées de sa majesté n'enferont qu'une bouchée.

                Le chiffres de 18000 soldats du makhzen abattus par le polisario est un chiffre donné par le magazine tel quel et confirmé par Association des fils des martyrs et des disparus du Sahara marocain (AFMDSM).

                Qui peut parler à leur place, certainement pas le makhzen ni son chef, le brigand Mohammed 6.

                Après 30 ans de captivité dans le désert, ils ont été libérés… puis abandonnés à leur sort. Aujourd’hui, ils réclament justice. Et dignité.
                “Nous voulons marcher vers le palais royal pour exposer notre situation directement au roi. Nous n'avons plus rien à perdre, les forces de l'ordre peuvent nous tabasser si elles le veulent”, souffle Amina, une veuve de soldat. Son mari est mort au Sahara pour défendre l'intégrité territoriale du Maroc, comme les 18 000 veuves de guerre que compte le Maroc, d'après les estimations de l'Association des fils des martyrs et des disparus du Sahara marocain (AFMDSM). Amina vivote à Sidi Slimane, ville de garnison où était stationné son époux. Une bourgade qui a donné son lot de chair à canon aux FAR lors du conflit du Sahara : “Plus de 64 veuves de guerre vivent ici”, explique Brahim Hajjam, président de l'Association. Il est lui-même orphelin de père. Son paternel, militaire de carrière, est mort en 1978 dans les premières années du conflit. “Ma mère a été convoquée à l'état major où on lui a annoncé la nouvelle sans ménagement”, se souvient Brahim Hajjam. L'annonce de la mort, justement : “Le service social des FAR a demandé une série de papiers administratifs à ma mère. Quand elle a demandé pourquoi, on lui a répondu de but en blanc que mon père était mort. Elle est tombée dans les pommes”, raconte Brahim. La mauvaise nouvelle tombe tel un couperet pour la mère de ce dernier. L'armée avait toujours refusé, jusque-là, de l'informer sur le sort de son mari.

                “Du jour au lendemain, ma mère est devenue chef de famille, alors qu'elle ne sortait jamais de chez nous. Elle ignorait même le prix des denrées de base”, poursuit Hajjam. Elle s'est rattrapée depuis, par la force des choses : “J'ai raconté ma situation plusieurs fois à l'état major à Rabat qui m'a ignorée. Un jour de 1982, je me suis rendue avec une vingtaine d'autres femmes devant les portes du palais royal de Rabat. Au bout d'une journée d'attente sous le soleil, un secrétaire nous a reçues pour noter nos réclamations”, raconte la mère de Brahim Hajjam. Parmi les requêtes, percevoir la solde de son mari en totalité, amputée de la moitié suite à son décès au front, comme pour toutes les veuves de guerre du conflit saharien. La réponse sera loin d'être satisfaisante : “On nous a convoquées quelques semaines plus tard dans une salle à Sidi Slimane. La cérémonie était minable. Une table pleine de gâteaux et de limonade comme pour un anniversaire. Et des vêtements usés pour nos enfants ainsi que des albums-photo”, se souvient-elle. Des albums-photo à remplir sans le cliché du père absent.

                Résiste, prouve que tu existes !
                Brahim Hajjam décide de dénoncer cette situation en 1999, année où il crée son association. “On nous a mis des bâtons dans les roues d'entrée. On a aussi essayé de nous mettre en garde : attention, l'armée est un sujet dangereux !”. Fin de règne ou pas, Hassan II se n'est jamais départi d'un parti-pris définitif : refuser d'évoquer la question des militaires marocains détenus à Tindouf et, par ricochet, celle de leurs familles. Il a toujours préféré parler de “disparus”, euphémisme pour ne pas prononcer le mot de prisonniers. Le tabou.

                Cette négation totale est une position adoptée par Hassan II dès le début du conflit. Ne jamais reconnaître les détenus marocains de Tindouf pour ne pas avoir à reconnaître le Polisario, ipso facto. Tous les “disparus” devront d'ailleurs leur libération à la médiation de pays étrangers qui en ont fait une cause humanitaire. Jamais aux bons offices du Maroc qui en avait fait une question stratégique. Pire, en 1984, Hassan II aurait refusé le survol du territoire national à un avion du CICR (Croix rouge) où se trouvent des militaires marocains libérés de Tindouf. Durant cette même période, nous assure-t-on, une dizaine de libérés arrivés au Maroc sont expulsés en Suisse par Hassan II.

                À l'arrière, chez les familles des militaires détenus à Tindouf, le silence est aussi fortement conseillé. A partir des années 90, les damnés des camps du Polisario peuvent enfin correspondre avec leurs familles. Mais point trop n'en faut tout de même : “Les moqaddems et chioukh, chargés de distribuer le courrier des prisonniers à leurs familles, le faisaient avec mépris en menaçant ces dernières de tracasseries administratives. A cause de cette pression, certains parents ont demandé à leurs fils, détenus à Tindouf, d'arrêter de leur écrire afin de s'éviter des problèmes”, raconte un lieutenant. “Le courrier était si rare que celui qui recevait une lettre la lisait à beaucoup de ses camarades. Je vous laisse imaginer l'effet d'une telle nouvelle sur un prisonnier”.

                Un dernier recours : Mohammed VI
                “Tous les sit-in devant le Parlement et la délégation de l'ONU à Rabat n'ont servi à rien. Nous avons décidé de passer au stade supérieur : en appeler au roi”, martèle aujourd'hui Brahim Hajjam. La marche vers le palais royal que souhaite organiser son association regroupera toutes les veuves de soldats morts lors du conflit, ainsi que les épouses des militaires détenus à Tindouf. Une façon de souligner les dommages collatéraux de la guerre au Sahara : orphelins, veuves et familles séparées. S'adresser à Dieu plutôt qu'à ses saints est aussi le nouvel adage de l'Association marocaine des ex prisonniers de guerre de l'intégrité territoriale. Cet autre fer de lance du combat des ex de Tindouf a aussi décidé d'abattre la carte M6. Par l'intermédiaire du saint le plus proche de Dieu : Fouad Ali El Himma. “Je l'ai rencontré au Parlement pour lui exposer la situation dramatique des ex-prisonniers de Tindouf. Il m'a promis que le roi agirait à son retour de France”, raconte le capitaine Ali Najab, un pilote de chasse abattu dans le désert en 1978.

                À sa libération en 2003, le capitaine Najab crée une association regroupant des militaires ex-détenus dans le camp saharien. Tous attendent, avec leurs familles, la fin totale du tabou depuis la visite de Mohammed VI à des membres des FAR libérés en 2000. Le nouveau roi franchit ce jour-là le rubicond en les saluant devant les caméras de TVM et 2M. “On a cru que c'était la fin de notre calvaire. Sidna allait prendre les choses en main”, se souvient un soldat, survivant de 14 ans de détention à Tindouf. Sept ans après la visite royale, l'homme est désabusé : “On ne veut plus entendre parler de nous. Nous sommes des indésirables pour l'armée”, lâche-t-il dépité. Ce vétéran de la guerre du Sahara a vécu le désenchantement le premier jour de sa liberté au Maroc, à son arrivée à la base aérienne d'Agadir où ont été accueillis la majorité des libérés de Tindouf. Par vagues successives, les quelque 2300 prisonniers de Tindouf ont vécu le même choc. Au moment précis où ils ont posé le pied hors de l'avion.
                Pronsotic : ils peuvent attendre les pauvres fils de martyrs leur "roi" se la coule douce auprès de sa maman chérie, à Paris...

                Alors les bombardements au napalm et autres trucs pour gamins, il faut simplement les ranger dans sa poche et se contenter de voir les mouches voler en attendant mieux.

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                • #68
                  >>>wallahhh , on les eclate de rire en 2 jours

                  Ils ne demandent que çà les refugiés sahraouis, une ibtissama.
                  Dernière modification par citoyen, 20 juin 2008, 19h05.

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                  • #69
                    Salsa , dis moi la partie a gauche des pointillés , lArmée du makhzen s y trouve

                    Commentaire


                    • #70
                      Alors les bombardements au napalm et autres trucs pour gamins, il faut simplement les ranger dans sa poche et se contenter de voir les mouches voler en attendant mieux.
                      c'est pas les marocains qui rotissent à tondouf , et la situation actuelle nous arrange ...

                      wallahhh , on les eclate en 2 jours

                      COCO ,comme vous l'aviez fait pour les espagnols
                      avec les espagnole , on a meme pas eu besoin d'armes , juste une petite séance de randonnée et le tour était joué
                      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                      • #71
                        lA RANDONNÉE QUI A FAINIT AUX PORTES DE TIFARITI c est fini la premenade on descend lol khlass lattay

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                        • #72
                          lA RANDONNÉE QUI A FAINIT AUX PORTES DE TIFARITI
                          ona pris ce qui nous était utile ..... mission accompli
                          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                          • #73
                            avec les espagnole , on a meme pas eu besoin d'armes , juste une petite séance de randonnée et le tour était joué

                            Comme à chaque siècle et ça dure depuis 500 ans

                            Commentaire


                            • #74
                              >>>c'est pas les marocains qui rotissent à tondouf , et la situation actuelle nous arrange ...

                              Enfin on évite d'exhiber le napalam voire même d'en parler, on a compris enfin que les gesticulations dans le vide c'est pour les pigeons du moment que le pays de "sidna" n'a pas de quoi se payer un fusil de chasse.

                              Commentaire


                              • #75
                                MISSION ACCOMPLIE POUR LE MAKHZEN : faire la manche pour ses soldat paresseuxs



                                Emirats arabes unis vont accorder une aide de 300 millions de dollars au Maroc pour atténuer l'impact de la facture pétrolière du gouvernement marocain.








                                Selon l'AFP, les Emirats arabes unis vont accorder une aide de 300 millions de dollars au Maroc pour atténuer l'impact de la facture pétrolière du gouvernement marocain.

                                Le président des Emirats arabes unis, Cheikh Khalifa Ben Zayed Nahyane a décidé d'accorder ce « soutien financier » comme « contribution à l'allègement de l'impact de la hausse exceptionnelle de la facture énergétique du Royaume », a indiqué le ministère marocain des affaires étrangères, cité par l'AFP. « Cette décision est le témoignage de liens solides et de la solidarité agissante qui unissent en permanence les deux frères ».

                                La proposition des Emirats arabes unis aurait été transmise lors d'une audience accordée vendredi au ministre émirati de l'Energie par le Roi Mohamed VI.

                                Le 5 mai, le Maroc a reçu une première aide de 500 millions de dollars de l'Arabie saoudite. Une aide pour permettre à Rabat d'atténuer sa facture pétrolière. Le pays importe la majeure partie de ses besoins pétroliers pour un montant estimé à plus de 2,5 milliards de dollars par an.

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