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Ahmed Wahbi chante des poèmes de Mostefa Ben Brahim

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  • Ahmed Wahbi chante des poèmes de Mostefa Ben Brahim

    ya ben sidi ou ya khouya
    Cela se serait passé au milieu du XIXè siècle (!)



    Serej Ya Fares ltame fi wahran sakna ghzali


    Le même poème chanté par Nouri Koufi
    "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

  • #2
    merci

    BOnjour Benam.

    merci de rappeler à notre bon souvenir ces deux garnds monsieurs : oahbi et B Brahem.

    Koufi c'est bien ce qu'il a fait. mais je préfére la version Wahbi.plus sobre. donc peut être plus de sincérité peut être.
    "Soyez les gardiens de votre cœur et rendez-le propre et pur comme un lieu de prière." .

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    • #3
      Pragmatic

      Incontestablement, de grands messieurs.
      Pour "Ya ben sidi ya khouya", elle a été magnifiquement chantée par Ourad Boumediene mais c'est une version introuvable.

      Koufi c'est bien ce qu'il a fait. mais je préfére la version Wahbi.plus sobre. donc peut être plus de sincérité peut être.
      La composition de Wahbi est plus en phase avec les paroles.

      Quant à Koufi : il a chanté un poème bédoui en haouzi, et c'est ce qui fait le charme de sa version.

      Très heureux que ça t'aie plu.
      "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

      Commentaire


      • #4
        Pour "Ya ben sidi ya khouya", elle a été magnifiquement chantée par Ourad Boumediene mais c'est une version introuvable.
        Avec Noura...

        Commentaire


        • #5
          Merci beaucoup Passant.

          Depuis le temps que je la cherche !
          En plus, Nora était la chanteuse préférée de ma mère.

          _
          "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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          • #6
            Mostafa Ben Brahim, "le poète maudit" ou "le poète de l'exil". Ses textes Melhounes, peu orthodoxes, lui ont valu son exil à Ouejda.
            Il est l'auteur de la célèbre chanson Yamina, chantée notamment par Khaled.

            Mostafa Ben Brahim, c'est un peu le Si Mohand Ou Mhand de l'Ouest.
            "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
            Socrate.

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            • #7
              Envoyé par benam
              Quant à Koufi : il a chanté un poème bédoui en haouzi, et c'est ce qui fait le charme de sa version.
              Je ne pense pas qu'on puisse parler de poème bédoui ou de poème haouzi. Dans le melhoun, il n'existe pas de frontière entre le citadin et le bédouin: les thèmes, les signes, et donc le discours, sont les mêmes: la souffrance de l'amant, la cruauté de l'aimée, la séparation et l'exil, l'honneur, les thèmes érotiques et bachiques, etc... au niveau du texte, les différences sont souvent juste phonologiques. Pour rappel, des chanteurs haouzi comme Redouane Sari ont interprété des œuvres de Ben Guenoun ou Ben Brahem, et des chanteurs bédoui comme Cheikh Hammada ont chanté des "standards" haouzi ou chaâbi tels Ya Ahl Ezzine el Fassi et Hajou Lefkar...
              Dernière modification par Sidi Noun, 03 juillet 2010, 19h02. Motif: ortho...
              ¬((P(A)1)¬A)

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              • #8
                posté par Sidi Noun :
                Je ne pense pas qu'on puisse parler de poème bédoui ou de poème haouzi. Dans le melhoun, il n'existe pas de frontière entre le citadin et le bédouin: les thèmes, les signes, et donc le discours, sont les mêmes: la souffrance de l'amant, la cruauté de l'aimée, la séparation et l'exil, l'honneur, les thèmes érotiques et bachiques, etc... au niveau du texte, les différences sont souvent juste phonologiques.
                Autant pour moi.
                J'ai transposé une catégorisation (plutôt floue) des poètes de melhoune selon leur "origine" vers des genres musicaux :
                — poète citadin–> haouzi/chaâbi
                — poète "bédouin"–>bédoui/'aroubi/oranais

                Merci pour cette mise au point.


                @elfamilia

                Yamina par Cheb Khaled :



                A noter que Yamina à qui est dédié ce poème est une femme mariée :
                ندعي لله أنا زوجك __ نشرعه و الحق معانا
                "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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                • #9
                  Envoyé par benam
                  J'ai transposé une catégorisation (plutôt floue) des poètes de melhoune selon leur "origine" vers des genres musicaux :
                  — poète citadin–> haouzi/chaâbi
                  — poète "bédouin"–>bédoui/'aroubi/oranais
                  c'est un peu naturel de catégoriser ainsi, mais il y a cette idée (fausse) que le corpus du hawzi/malouf/chaâbi est exclusivement un héritage citadin, et de ce fait, plus "raffiné" que le bedoui/âroubi/sahraoui, qui lui serait en quelque sorte "arriéré"...

                  voilà Dhalma, l'œuvre du campagnard maâskri Ben Guenoun, version malouf de Fergani:



                  et version bedoui, par Cheikh Hamada:

                  ¬((P(A)1)¬A)

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                  • #10
                    benam,
                    Un autre texte de Mostafa Ben Brahim interprété par Ahmed Wahbi toujours, et dans lequel il évoque encore Yamina.

                    Djaya tchali

                    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                    Socrate.

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