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Le "machin" s'égare à El-Ayoun

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  • #31
    Il y a des marocains qui ont combattu pour liberer ton pays et qui ont été tués en algerie et d'autres sont encore vivants et ont la carte de moujahid.
    C'est du pipeau.

    Meme les Algeriens qui etaient planques aux frontieres n'ont pas fait la guerre.

    Il y a meme un village tunisien qui hebergait des FLN qui a été bombardé par la france.
    Ca par contre c'est vrai.

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    • #32
      C'est du pipeau.
      C'est comme la gamminerie du soutient Marocains au regime de .... tu dois avoir une idée

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      • #33
        C'est du pipeau.

        Meme les Algeriens qui etaient planques aux frontieres n'ont pas fait la guerre.
        Le pipeau c'est toi.




        Houari Benallal raconte...

        Houari Benallal est un Marocain né à Oran, en Algérie, en 1929. Il a été le fondateur d’une cellule de résistance algérienne dans la région de l’Oranais, à une époque où la résistance organisée était basée seulement dans la capitale, Alger, et les montagnes de l’Orasse. Houari Benallal fait partie d’une famille originaire du Rif, de la tribu Beni Chiguer. Son père a participé à la lutte armée aux côtés d’Abdelkrim Khatabi. En 1925, il décide de quitter sa région natale pour émigrer vers Oran. Selon Benallal, à cette époque, Oran était l’eldorado. Dans le Rif, il n’y avait que la misère et la désolation. Après avoir passé son enfance dans une école coranique, Benallal fonde un petit commerce à Oran et achète un camion avec lequel il fait de bonnes affaires. Ayant donc fondé en 1953 une cellule de résistance avec quatre Marocains dont deux ont disparu pendant la guerre d’indépendance d’Algérie, il a été arrêté et torturé par la police française, puis condamné à cinq ans de prison, faute de preuves. Gracié par le Général de gaulle après avoir passé trois ans et demi en détention, il devient la cible de l’organisation terroriste l’OAS qui était contre l’indépendance de l’Algérie.



        Comment en êtes-vous arrivé à devenir un résistant en Algérie ?

        JE suis né en Algérie en 1928 à Signa un petit village proche d’Oran. Mon père avait décidé de quitter le Rif pendant la guerre avec les Espagnols. Après des études à l’école coranique, j’ai travaillé avec mon père, puis j’ai fondé un petit commerce à Oran. Ensuite, j’ai pu avoir un poste dans les ponts et chaussées, grâce à une intervention. J’étais responsable du service automobile. Un jour, un chauffeur algérien a pris une voiture pour son service personnel. Je l’ai sanctionné. Comme il n’a pas digéré qu’un Marocain le sanctionne, il a commencé à dire que j’étais un fellaga, un terroriste. Je suis devenu le premier fellaga dans le service... Alors, j’ai décidé d’acheter un camion et de travailler pour mon propre compte. C’est à cette époque que j’ai décidé de créer une cellule à Oran. Nous étions cinq Marocains dont mon frère qui était chauffeur de bus et avait une connaissance de l’armement parce que c’était un ancien militaire. Moi-même j’ai passé mon service militaire chez les deuxièmes tirailleurs algériens, en 1955. Les opérations que j’ai faites ne prévoyaient pas des assassinats, seulement des actes de sabotage. Au début, nous n’avions même pas d’armes. C’est un peu plus tard que j’ai pu me procurer des armes que j’ai acheminées de Sidi Belabbas.

        D’où provenaient les armes ?

        On ne savait rien à ce sujet. Ce sont des rencontres entre deux hommes, pas plus, qui nous permettaient de recevoir les instructions.

        Pourquoi révéler maintenant toutes ces vérités ?

        C’est la demande d’indemnisation des Marocains expulsés d’Algérie qui m’a poussé à m’exprimer sur ce sujet. Les Algériens ont expulsé les Marocains avec brutalité. Il y a eu des couples qui ont été séparés de force. En plus des insultes... Une vraie épuration ! Je voulais rappeler le rôle de cinq Marocains dans la résistance algérienne.

        Comment vous est venue l’idée de fonder une cellule de la résistance ?

        Nous étions cinq amis proches, à Oran. Nous avions décidé de participer à la résistance algérienne pour aider nos frères Algériens dans leur lutte contre le colonialisme français. Je me suis dit que les résistants sont des gens comme nous, alors pourquoi ne pas commencer, de notre propre initiative, à Oran ? Nous avons décidé de sacrifier notre vie pour la cause. Parmi les cinq de notre groupe, trois sont morts dans les combats. Il y a eu deux étapes à Oran. Dans la première, nous étions seuls à agir. Dans la deuxième, nous sommes devenus membres du FLN. La première opération que nous avions faite, c’était dans une rue commerçante où nous avions brûlé tout un marché, rue de la révolution. Nous avions utilisé un pistolet de peinture à compresseur que nous avions rempli d’essence. Nous avions commencé par enduire les magasins d’essence avant de jeter dessus le feu et de nous enfuir. Toute la ville avait été secouée par notre action. La deuxième opération que nous avions menée, c’était dans le quartier résidentiel français. Nous avions volé une traction avant pour brûler les voitures stationnées devant une célèbre boite de nuit appelée Darmand qui se trouvait à côté d’une fabrique de bière. Nous avions utilisé la même méthode pour brûler deux rangées de voitures. Après cette opération tout le monde a été terrorisé à Oran. De ces cinq Marocains, j’étais le seul qui était à l’aise financièrement. Les autres étaient de simples travailleurs. Nous financions nous mêmes les opérations. Un membre de notre groupe a été expulsé d’Algérie vers le Maroc, après sa sortie de prison.

        Quelles sont les opérations qui ont échoué, s’il y en a ?

        Une grande opération a échoué car la voiture est tombée en panne. J’avais planifié d’attaquer un autocar qui transportait des aviateurs français du camp Mougin. Nous avions décidé de l’attaquer au moment où il s’arrêterait à un passage à niveau. Le jour de l’opération, la voiture qui transportait le groupe est tombée en panne. Le groupe qui était chargé de l’opération a été arrêté. Si cette opération avait réussi, les Français auraient massacré tous les détenus de notre groupe d’Oran. Celui qui a avoué sous la torture qu’il envisageait d’attaquer le car des aviateurs a été abattu sur place.

        Vous agissiez toujours seul ?

        Toujours avec les quatre Marocains... Une fois, nous avions décidé d’attaquer une sentinelle à la Kasbah où se trouvait une prison. Nous avions planifié de forcer un barrage et de dérober les deux mitrailleuses des gardes. Mais une fois arrivés sur les lieux, les gardes étaient devant un poteau. Nous ne pouvions pas les atteindre de la voiture. La deuxième fois qu’on a essayé de la faire, ils ont vite armé leurs mitrailleuses et ont commencé à tirer sur nous, alors que nous prenions la fuite.

        Et quand la résistance s’est organisée à Oran ?

        C’est un Marocain dénommé Moulay qui travaillait comme peintre en bâtiment qui m’a contacté un jour, en me proposant d’aller chez quelqu’un, à la villa Halima, qui était le lieu de rencontre provisoire de la résistance. Ce quelqu’un, c’était Abdelwahab Telmssani, le chef de la résistance à Oran. Une fois chez Telmssani, Moulay m’a révélé son identité et sa fonction. Les deux hommes ont vite proposé de coordonner leur action avec la mienne. Ils m’ont nommé adjoint du chef de la résistance à Oran, chargé de l’action sur le terrain. Le côté politique relevait de Telmssani. Moulay et Telmssani ont été condamnés à mort en 1959, mais ils ont été graciés par De Gaulle au même moment où j’ai été gracié, moi, après avoir passé 3 ans de prison.

        Comment étiez-vous traité lors de la détention ?

        Vous ne pouvez imaginer ce qu’on a enduré de tortures dans les locaux de la police et chez les « Paras » français. On vous torture jusqu’à l’effondrement. La chose la plus horrible est l’électrocution sur les testicules. Puis, ils nous emmenaient à l’hôpital pour recommencer à nous torturer. Moi, personnellement, ils m’ont tellement torturé pour leur « balancer » l’organisation... Et comme j’étais un dur, ils ont décidé de me liquider. Une fois, en me transportant dans une jeep, deux militaires ont essayé de me jeter sur la route pour m’envoyer une rafale de mitraillette, mais comme je comprenais bien ce qu’ils disaient, je me suis vite roulé sous la jeep pour déjouer leur plan... C’était des pieds noirs qui détestaient tout ce qui est arabe. Je ne sais pas comment j’ai pu résister à cette torture, je me disais que j’étais mort sans aucun doute. En prison, nous étions gardés par des CRS armés de mitrailleuses. Leurs chefs leur avaient donné pour consigne de tirer au moindre mouvement.

        Comment vous est venue l’idée de rentrer au Maroc ?

        Au lendemain de l’indépendance, j’ai entendu qu’on inscrivait les gens pour leur donner une carte nationale. Au bureau de police, un Algérien m’a refusé le dépôt de mon dossier parce que j’étais Marocain. En plus, nous étions tout le temps harcelés par la police qui nous insultait. Parfois ils nous disaient : « vous, les Marocains, rentrez chez vous ». Cette haine des Marocains, je l’ai constatée depuis mon enfance. L’expulsion des Marocains après la marche verte n’est qu’un exemple. Pendant la colonisation, les Français n’embauchaient pas les Algériens car ils étaient des bras cassés, tandis que les Marocains avaient une réputation de travailleurs. Petit à petit, j’ai vendu ma maison et tout ce que je possédais car j’avais le sentiment qu’un jour ils allaient nous expulser. J’ai dû attendre plusieurs mois avant d’avoir une autorisation pour quitter le territoire en 1967 et m’installer définitivement avec ma famille au Maroc.

        SOURCE / Le Reporter

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        • #34
          @mkhantre

          Tu es vraiment fatiguant avec ta debilite qui depasse de loins celle des autres analphabetes, alors fais moi le plaisir de ne plus citer mes commentaires ou t'adresser a moi dorenavant.

          Ma patience a des limites.

          Commentaire


          • #35
            Les blogs ne m'interessent ni de pres ni de loins.

            Commentaire


            • #36
              @mkhantre

              Tu es vraiment fatiguant avec ta debilite qui depasse de loins celle des autres analphabetes, alors fais moi le plaisir de ne plus citer mes commentaires ou t'adresser a moi dorenavant.

              Ma patience a des limites.
              Tu sais ou c'est la méditerrannée ? tu dois comprendre au moins que le sujet ici c'est Laayoune à Hbibi

              si tu te sens ridiculisé par les arguments , tu sais ce qu'il te reste à faire

              c'est pas autorisé de balancer des parlottes dans le vide , faudera argumenter ses dires mon ami

              PS : tu m'as fait tremblé sais tu

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              • #37
                @mkhantre

                Quelle est la part de "ne m'adresses pas la parole et ne cites pas mes commentaires" que tu ne comprends pas?

                Je n'ai vraiment pas de temps a perdre avec les analphabetes.

                http://www.algerie-dz.com/forums/sho...1&postcount=34
                Dernière modification par Berberousse, 02 janvier 2011, 04h16.

                Commentaire


                • #38
                  Envoyé par Berberousse
                  @mkhantre

                  Quelle est la part de "ne m'adresses pas la parole et ne cites pas mes commentaires" que tu ne comprends pas?
                  Tu te prends maintenant pour quelqun qui décide peut etre ? pauvre de toi .
                  alors , toujours pas d'arguments à tes dire cher ami ?

                  Commentaire


                  • #39
                    Lblaya, si on devait remercier le Maroc parce que 4 marocains ont aidé durant la guerre de liberation, on devrait aussi remercier les français puisqu'il y'avait pas mal de resistants communistes (comme maurice audin) qui y ont egalement participé .. ce qui est absurde puisque la france était l'ennemi. Il faut comprendre qu'il n'y avait pas d'action militaire de la part du Maroc , il s'agissait de décisions individuels de quelques rifains devenus d'ailleurs algeriens.

                    Commentaire


                    • #40
                      rien ne nous prouve qu ils se battaient au cote de la résistance s ils ont ete balances de l autre cote de la frontiere c est qu il y avait anguille sous roche et liberer l Algerie ppur mieux l exploiter par la suite non merci ce genre de service nous les algeriens nous pouvons nous en passer

                      !

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                      • #41
                        On parle de reprendre Tindouf, Kenadsa et même "Colomb Béchar (appellation de Béchar du temps de la colonisation)", et on cite, pour justifier l'expansionnisme
                        je suis sur qu'il n y'a pas 3 marocain qui cautionne cette thèse, c'est juste un fantasme de journaliste algerien ou peut etre polisarien , qui cherche par tous les moyen a sensibiliser les algerien a cette cause , car faut dire ce qu'il on est , l'algerien de base s'en fou royalement du SO, donc on essai encore de les manipuler on leur faisons croire que le maroc s’apprête a les envahir , ils vont peut etre un jour ce lasser a force de frapper le vent avec des gourdins ces crétins
                        tu tombe je tombe car mane e mane
                        après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                        Commentaire


                        • #42
                          je suis sur qu'il n y'a pas 3 marocain qui cautionne cette thèse,
                          T es sur de rien ! les journaux rapportent ce que disent les officiels marocains ?
                          le malheur c est les officiels marocains qui revendiquent et non le peuple marocain .
                          Le Maroc franchit la ligne rouge!
                          Voilà qui ferait se retourner dans sa tombe le président Houari Boumediene. En 2009, Abbas El Fassi déterre une fabulation oubliée par le plus téméraire des Marocains.
                          Le Premier ministre du Maroc et secrétaire général de l’Istiqlal a tenu de très graves propos en déterrant une fabulation abandonnée depuis longtemps par les plus téméraires des responsables politiques marocains. Tenez-vous bien, en 2009, Abbas El Fassi n’a pas trouvé mieux que de revendiquer l’appartenance de Tindouf au Royaume marocain, qu’il appelle dans son jargon les territoires marocains orientaux. «L’Istiqlal reste attaché au droit du Maroc vis-à-vis de son Sahara oriental», a-t-il déclaré lors de la tenu du 15e congrès du Parti nationaliste de l’Istiqlal (PI), qui s’est achevé il y a trois jours à Rabat. Voilà qui ferait retourner dans sa tombe le défunt président Houari Boumediene. Là, M El Fassi fait fausse route, totalement, il n’y a pas de soi-disant Sahara oriental. Il n’y a jamais eu de Sahara oriental marocain.
                          Et si jamais un tel fait aurait existé, il a été résolu par le traité d’Ifrane, de 1972, qui officialise les frontières existantes, telles qu’elles sont aujourd’hui, entre l’Algérie et le Maroc. Aussi, Abbas El Fassi ferait bien de revoir un peu l’histoire et la géographie de son pays pour comprendre ce qu’il y a de vain, sinon de ridicule, dans les visées expansionnistes du Royaume chérifien qui revendiquait encore, au milieu des années 60, la Mauritanie. Rappelons que le Maroc n’a reconnu cet Etat qu’à la fin des années 1960, alors que ce pays a accédé à l’indépendance en 1960, dans la foulée de la guerre d’Algérie qui a donné l’élan à la libération de nombre de pays africains francophones. Ne s’arrêtant pas à cette histoire de «territoires orientaux du Maroc», M El Fassi, s’attaque à l’Algérie avec une perfidie déconcertante en l’accusant de tous les maux dont souffre son pays. Il cite alors le problème de la réouverture des frontières. A ce sujet, il semble que le Premier ministre marocain n’a toujours pas compris qu’il s’agit là de la souveraineté nationale de l’Algérie et surtout que cette réouverture relève de la mise à plat de tous les contentieux opposant Alger à Rabat. …[…….]….
                          Mohamed Sadek Loucif
                          Y a aussi une réponse officielle carabinée à Abbas El Fassi par l état algérien !
                          Dernière modification par houari16, 02 janvier 2011, 11h27.
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #43
                            je suis sur qu'il n y'a pas 3 marocain qui cautionne cette thèse, c'est juste un fantasme de journaliste algerien ou peut etre polisarien , qui cherche par tous les moyen a sensibiliser les algerien a cette cause , car faut dire ce qu'il on est , l'algerien de base s'en fou royalement du SO, donc on essai encore de les manipuler on leur faisons croire que le maroc s’apprête a les envahir , ils vont peut etre un jour ce lasser a force de frapper le vent avec des gourdins ces crétins
                            c'est l'excuse qu'ils ont trouvé pour justifier aux algériens le pourquoi du comment de l'implication de l'argent du peuple dans une cause qui ne le concerne guère, t'imagine dire a un jeune chômeur que son argent sert a "délivrer le peuple sahrawi du joug de l'oppresseur marocain" xD

                            Commentaire


                            • #44
                              mdr le machin, comme quoi la colonisation est tellement vertueuse qu'on reprend les these de l'ex colon.

                              L'Algerie est dans une impasse c'est surtout ce qu'il faut comprendre, elle veut pas le comprendre apres 35 ans d'urine dans le sable, elle finira bien par le comprendre un jour, malgré les articles mythique des journaux algeriens, msaken.
                              "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

                              Commentaire


                              • #45
                                @kimiHD / COM/43
                                Qu est ce que tu en dis sur le rêve des officiels sur le « Grand Machin ? »
                                Si tu n as rien à dire , alors évite de dire n importe quoi et les HS
                                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                                Commentaire

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