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Maroc - Pas touche au prix du pain et du gaz butane!

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  • #16
    de toute façon si on arrive a faire 40 Milliards DH d'économie sa sera parfait !

    les investissements publique doivent atteindre 200 Milliards DH /an soit 1 000 Milliards DH par quinquennat de quoi allez bien en avant.

    le salaire minimum doit atteindre les 3 000 DH net par mois publique et privé pour 48h de travail par semaine et 1 mois de congé payé par an !

    au niveau du commerce pour favorisé l'exportation marocaine il faut dévalué le DH par au $ , 1$ doit valoir 10DH .

    pour contrôlé les importations il faut réduire le nombre d'importateur en changeant les réglementations pour les rendre très contraignante et au niveau de la grande distribution national il faudra faire en sorte de favorisé le produit marocain quitte a payé un peu plus cher au début en procédant ainsi en fait d'une pierre deux coup , 1 on réduit les importations et 2 on encourage la production locale et 3 les PIB augmentera de manière significative

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    • #17
      de toute façon en dévaluant le dirham il sera plus avantageux d'exporté que d'importé c'est mécanique

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      • #18
        moi l'assisté, j'étais surpris de découvrir que le Maroc aussi subventionne beaucoup de produits de première nécessite et importe beaucoup de denrées alimentaires.

        il est tout de même culotté de venir en donneur de leçon, dans un poste qui confirme la continuité des subventions

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        • #19
          citation

          Entièrement d'accord l'ami mais comment faire comprendre çelà à des gens habitués à l'assistanat et aux subventions..tant que le pompage le permet encore bien sur car comme dit l'adage "rira bien qui rira le dernier" !!


          @serpico

          Comment te faire comprendre que ton royaume ne doit sa survie qu'aux dons des pays tributaires du pompage tels que l'arabie saoudite,le quatar et le koweit (5 milliards de $).Cesses de cracher dans la soupe et insulter tes bienfaiteurs ; tu deviens lassant a force de t'attendre débiter a longueur de journée les mêmes anneries.Si l'algérien vit grace aux subventions accordées par son état ,le marocain vit en grande partie grace aux subventions payées par des pays tiers qui peuvent a tout moment cesser cette aide et le réduire a la misére.Pour le moment taches de respecter ceux qui te donnent le poisson en attendant qu'ils commencent a te donner des cours de pêche.Je serais la a chaque fois que c'est nécessaire pour te le rappeller et mettre fin a ton arrogange.

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          • #20
            cne
            j'étais surpris de découvrir que le Maroc aussi subventionne beaucoup de produits de première nécessite et importe beaucoup de denrées alimentaires.


            Ils se ruinent carrement pour assister les sujets de sa majesté le protecteur des touristes pédophiles

            La Caisse de compensation pèse lourdement sur le budget de l'Etat, et les responsables tiennent à souligner que des réformes urgentes sont nécessaires.
            "Pour la période 2013-2016, si aucune mesure n’est prise, la charge prévisionnelle de compensation pourrait atteindre plus de 200 milliards de dirhams, contre près de 123 milliards au titre de la période 2009-2011", selon les chiffres officiels du ministère de l’Economie et des Finances.
            Les prévisions pour 2013 tablent sur une charge prévisionnelle de compensation qui fluctuerait entre 45,9 et 49,3 milliards de dirhams, sur la base d'un cours du pétrole brut respectivement de 105 et 110 dollars le baril (taxe a l'import 86pc).
            Un prêt pour financer le déficit budgétaire

            Actuellement, le gouvernement négocierait auprès de la Banque islamique de développement (BID) un nouveau prêt de 2,4 milliards de dollars, soit environ 20,5 milliards de dirhams. Ce prêt, qui serait débloqué en quatre tranches sur quatre ans, devrait en partie servir à financer le déficit budgétaire, selon la TGR, rapporte L’économiste.

            Il faut dire que l’Etat chérifien, en grand besoin de financement, ne fait que s’endetter. Il prévoit une nouvelle sortie à l’international en juin ou juillet prochain. Ainsi, le Maroc pourrait émettre un emprunt obligataire sur le marché des sukuks, indique Reuters, citant un « fonctionnaire » au ministère de tutelle. D’après cette source, le gouvernement essayerait de trouver « l’option la moins coûteuse ». A cette allure, on peut envisager une hausse plus importante de la dette extérieure. A fin 2012 déjà, l’encours de la dette s’est lourdement aggravé atteignant 25,4% du PIB. Il était alors de 212,7 milliards de dirhams, soit une hausse de 23,6 milliards de dirhams comparé à fin 2011.

            Et pour boucler la fin du mois ils sont obligées de souhaiter la bienvenu aux DANIEL SERVATY et CIE
            Dernière modification par AARROU, 25 août 2013, 13h04.
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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            • #21
              C'est la feuille route de Nemat Chafik (directeur exécutif adjoint. du FMI) qui décidera du sort des marocains :

              • Un contrôle ferme des dépenses publiques;
              • Une réforme fiscale pour plus d’équité et de compétitivité mais aussi plus de rentrées fiscales;
              • Une modération salariale accrue;
              • Une baisse de la facture de la compensation des produits dits de première nécessité par une réforme globale, laquelle est cruciale;
              • Des dépenses sociales plus ciblées;
              • Enfin, l’adoption rapide de la loi organique sur la loi de finances, telle que prévue à l’article 75 de la Constitution.

              Si elle décide d'augmenter le pain et le Butane, ils augmenteront.

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              • #22
                citation ;


                C'est la feuille route de Nemat Chafik (directeur exécutif adjoint. du FMI) qui décidera du sort des marocains :

                • Un contrôle ferme des dépenses publiques;
                • Une réforme fiscale pour plus d’équité et de compétitivité mais aussi plus de rentrées fiscales;
                • Une modération salariale accrue;
                • Une baisse de la facture de la compensation des produits dits de première nécessité par une réforme globale, laquelle est cruciale;
                • Des dépenses sociales plus ciblées;
                • Enfin, l’adoption rapide de la loi organique sur la loi de finances, telle que prévue à l’article 75 de la Constitution
                je ne crois pas que c'est propre au FMI ,c'est l'ABC de toute réforme économique qu'exige la situation et permettre de moderniser le système de gestion des finances publiques qui répondaient auparavent aux problèmes conjoncturels au lieu de réformer pour des solutions à long terme et moderniser la gouvernance ,de plus c'est exigé par la constitution
                Dernière modification par haddou, 26 août 2013, 14h20.

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