D'abord, c'est le Maroc qui n'importe pas d'engrais puis il importe mais seulement ce qui n'est pas à base de phosphate puis même à base de phosphate il importe mais seulement ce qui n'est pas complexe. On finit par la SCEP n'est pas l'OCP !
Mais ce n'est pas grave, je te l'accorde, tu es pro en 2 choses: les graphiques coupés juste la ou tu veux et le bottage en touche.
Quand tu ne veux pas donner ton avis sur quelque chose, eh ben, rien n'y fera
C'est pas grave a sidi, je suis nul en français, je ne connais rien au sujet de l'OCP ou de la production des phosphates au Maroc. Tout ce que j'ai enonce ci-haut, sources a l'appui, n'a pas de sens, je l'ai inventé, et le Maroc re-importe ses engrais, son phosphate, son poisson, etc... apres l'avoir exporte a l'etranger...
Yak au moins j'ai repondu, maintenant voyons si toi aussi tu peux argumenter un point et nous expliquer ce que tu en penses, a savoir:
Comment expliques-tu que l'Algerie, re-importe en milliards de dollars du petrole?
Je cite:
Pays producteur et exportateur de pétrole, l’Algérie importe, malheureusement, de nombreux produits dérivés du pétrole, et aujourd’hui du gasoil et de l’essence sans plomb.
Les carburants et produits pétroliers commencent d’ailleurs à peser lourd sur la facture à l’importation puisque Sonatrach a importé en 2009 pour 1,4 milliard de dollars de produits raffinés. L’Algérie, qui importe déjà plus de 50% de ses lubrifiants ainsi qu’une bonne partie de ses besoins en bitume et en polymères, doit aujourd’hui recourir aux marchés extérieurs pour répondre à la demande interne sans cesse croissante en carburants.
Les carburants et produits pétroliers commencent d’ailleurs à peser lourd sur la facture à l’importation puisque Sonatrach a importé en 2009 pour 1,4 milliard de dollars de produits raffinés. L’Algérie, qui importe déjà plus de 50% de ses lubrifiants ainsi qu’une bonne partie de ses besoins en bitume et en polymères, doit aujourd’hui recourir aux marchés extérieurs pour répondre à la demande interne sans cesse croissante en carburants.
Or, le rythme de développement des capacités de raffinage est loin de correspondre au rythme de croissance de la consommation interne qui a atteint les 25% en 2010 pour un volume de 68 300 barils/jour. Il s’agit également de l’inadaptation des process de raffinage par rapport à l’évolution du marché ainsi que des motorisations des véhicules composant le parc automobile national.
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