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Le président français François Hollande a annoncé, le 29 avril, le projet d’une conférence de donateurs pour la Tunisie destinée à relancer les investissements dans ce pays dont l’économie a été anémiée par l’instabilité politique consécutive à la révolution de janvier 2011. «Nous avons l'objectif, la France et la Tunisie, d'organiser une conférence des amis de la Tunisie qui pourrait avoir comme thème, investir pour la Tunisie», a-t-il déclaré, en recevant le Premier ministre tunisien Mehdi Jomâa à l'Elysée.
«Cette conférence pourrait se tenir au mois de septembre prochain» a-t-il ajouté dans une déclaration conjointe avec M. Jomâa, précisant que «cette initiative dont la France est partie prenante réunira les bailleurs financiers, les institutions internationales qui sont d'ores et déjà prêtes à apporter un soutien à la Tunisie». «Il ne s'agit pas là de mobiliser des aides mais de mobiliser tous les investisseurs pour qu'ils puissent se porter sur les projets les plus attractifs et intéressants pour la Tunisie», a expliqué M. Hollande.
«La Tunisie est un excellent partenaire d'avenir» disposant «d'énormément d'atouts et d'opportunités», a pour sa part fait valoir M. Jomâa soulignant que la France était son «premier partenaire commercial et premier investisseur».
Le Premier ministre tunisien qui a effectué une visite de deux jours en France a aussi fait savoir que son pays est «en train de relancer l'investissement », tout en se félicitant du «regain d'intérêt» touristique pour la Tunisie. «Je connais l'affection et l'amitié des Français pour la Tunisie. On les attend en masse dans une nouvelle Tunisie, une Tunisie qui bouge, une Tunisie qui débat, une Tunisie qui s'exprime mais aussi une Tunisie qui est drapée dans sa nouvelle et jolie Constitution», a-t-il lancé
Ecofin
«Cette conférence pourrait se tenir au mois de septembre prochain» a-t-il ajouté dans une déclaration conjointe avec M. Jomâa, précisant que «cette initiative dont la France est partie prenante réunira les bailleurs financiers, les institutions internationales qui sont d'ores et déjà prêtes à apporter un soutien à la Tunisie». «Il ne s'agit pas là de mobiliser des aides mais de mobiliser tous les investisseurs pour qu'ils puissent se porter sur les projets les plus attractifs et intéressants pour la Tunisie», a expliqué M. Hollande.
«La Tunisie est un excellent partenaire d'avenir» disposant «d'énormément d'atouts et d'opportunités», a pour sa part fait valoir M. Jomâa soulignant que la France était son «premier partenaire commercial et premier investisseur».
Le Premier ministre tunisien qui a effectué une visite de deux jours en France a aussi fait savoir que son pays est «en train de relancer l'investissement », tout en se félicitant du «regain d'intérêt» touristique pour la Tunisie. «Je connais l'affection et l'amitié des Français pour la Tunisie. On les attend en masse dans une nouvelle Tunisie, une Tunisie qui bouge, une Tunisie qui débat, une Tunisie qui s'exprime mais aussi une Tunisie qui est drapée dans sa nouvelle et jolie Constitution», a-t-il lancé
Ecofin
il a fallu que la France endetté face cette proposition de donation.
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